Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Cher Daniel,
Tout à fait d'accord. Churchill a, sous le couvert du Livre Blanc de 1939, ordonné - ou couvert - le coulage en Méditerranée, en 1941 ou 42, je ne me rappelle plus, de navires qui avaient à leur bord des dizaines de familles de réfugiés juifs qui cherchaient à gagner la Palestine. Et il n'a rien fait, non plus que Roosevelt, ainsi que vous le rappelez, pour freiner ou gêner les déportations vers les camps de la mort ni pour bombarder ces camps ( demande que les organisations de Résistance à l'intérieur des camps - notamment Buchenwald - avaient réussi à faire passer à l'extérieur ).
J'aurais dû me borner à dire que Churchill, dans la période 1945-1947-49, soutient fermement ( mais il n'est pas au pouvoir à ce moment-là ) la création d'un Etat juif.

Amical chabbat chalom pour vous et votre famille.

Armand, bonjour. Entre le vote de novembre 1947, à l'ONU, en faveur de la création d'un Etat juif et la déclaration d'indépendance de mai 1948, la Grande-Bretagne continue d'assumer les responsabilités, notamment de maintien de l'ordre, que lui confère son statut de puissance mandataire. Or, dans un pays que les bandes arabes mettent, dès le lendemain du vote de lONU, à feu et à sang, multipliant les pogroms et les attentats, les Anglais protègent les Arabes et empêchent la Haganah de réagir. Lorsque, le lendemain de la Déclaration d'Indépendance, les Etats arabes attaquent Israël, la soldatesque de la tristement célèbre Légion Arabe est encadrée par des officiers britannique.

Mais tous ces Goliaths se sont cassé le nez sur le maguen David ! Et il en irait de même pour quiconque prétendrait suivre leur chemin maudit.

Chabbat chalom pour vous-même et votre famille.

Merci Edmond , à mon tour de te souhaiter Shabbat Chalom pour toi et les tiens

tous des connards

ne peut-on quelques fois ignorer les élécubrations, de ces chers Islamisés, qui ne comprennent rien a l'histoire et surtout a la géographie qu'ils ont eux mêmes créé. Pauvre Elisabeth, je crois qu"ell a hate de rejoindre Churchill pour se plaindre de ces mal-faisants