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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Israël furieux par la position russe vis-à-vis du Hamas

Israël furieux par la position russe vis-à-vis du Hamas - © Juif.org
Le ministère des affaires étrangères a émis une réponse étonnement forte mercredi après l’appel de la Russie et de la Turquie a inclure le Hamas dans le processus diplomatique, établissant un parallèle entre le Hamas et les terroristes tchétchènes, insistant sur le fait qu’il ne fallait pas faire de différence entre « bons » et « mauvais » terroristes.
 
La déclaration, publiée à la directive du ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman, actuellement à Tokyo, dit que le Hamas est une organisation terroriste qui a pour but de détruire Israël.
 
« Les hommes du Hamas sont responsables de l’assassinat de centaines de civils innocents, y compris des gens venant de l’ancienne Union Soviétique, ainsi que des citoyens russes, » explique la déclaration. « Il est interdit pour un pays éclairé de diviser les terroristes en bons et mauvais sur une base géographique ».
 
Elle souligne qu’ « un terroriste est un terroriste » et qu’Israël ne voit aucune différence entre le terrorisme du Hamas contre Israël et le terrorisme que les tchétchènes utilisent contre Israël.
 
« Il n’y a aucune différence entre Khaled Mashaal et Shamil Bassaiev (un chef tchétchène tué en 2006), » peut-on lire.
 
La déclaration du ministère des affaires étrangères dit aussi : « Israël s’est toujours tenu aux côtés de la Russie dans son combat contre le terrorisme tchétchène, et on aurait espéré un traitement similaire concernant le terrorisme du Hamas contre Israël ».
 
Ce qui a soulevé l’ire d’Israël est un commentaire que le président russe Dmitry Medvedev a fait à Ankara, mercredi, lors d’une visite au président turc Recep Tayyip Erdogan, disant, dans une référence claire au Hamas, que nul ne doit être exclu du processus de paix au Proche Orient.
 
Medvedev a aussi rencontre le chef du groupe terroriste Khaled Mashaal a Damas, mardi, après une réunion avec le dictateur syrien Bashar Assad.
 
Bien que la Russie soit un membre du Quartette pour le Proche Orient, qui comprend également les Etats-Unis, l’UE et l’ONU, elle n’a jamais accepté les principes du Quartette disant qu’il ne doit y avoir aucun engagement avec le Hamas, jusqu'à ce que le groupe rejette le terrorisme, reconnaisse Israël et accepte les accords précédents. La Russie est un des trois pays européens à continuer à maintenir des contacts avec le Hamas, les deux autres étant la Turquie et la Norvège.
 
Alors que ce n’est pas la première fois que des dirigeants russes rencontrent Mashaal, c’est la réponse la plus dure qu’Israël ait jamais publié au sujet de la question, un responsable disant qu’elle reflète la profonde frustration de Jérusalem.
 
Dans le même temps, un responsable a déclaré qu’il y avait très peu de préoccupations que parce que la Turquie et la Russie veulent voir un engagement du Hamas, que d’autres pays puissent vouloir les imiter.
175 commentaires
Et le fait qu'ils ont été "déportés", déplacés en profondeur de l'Union Soviétique, en Asie Centrale, Sibérie ou ailleurs, tant mieux, ......

Envoyé par Aleksander - le Jeudi 13 Mai 2010 à 18:27

Drôle de façon de tourner une vérité !
Les goulags étains pour toi une colonie des vacances peut-être ? Car c'est ça de qui on parle .
Mais tu est si imbibé de ton vérité que tu résumes - faute de traduction ! Mais bien sur j'ai oubliée que tu est en super grand linguiste et que tu as pas besoin de etre corrigé dans ton erreur .
Plus que je te lis , plus c'est contre mes convictions .
Envoyé par Sonia_004 - le Jeudi 13 Mai 2010 à 21:08
bonsoir edmond, je l'avais remarqué depuis un moment, je peux le signalé c'est tout en bas de la page en zone rouge,ils surveilleront sa prose, aleksander on parle de toi, il vaut mieux que tu aille ailleurs, d'ici quelques jours tu n'aura plus personne avec qui dialogué, un conseil oublie ce site; merci
Envoyé par Elie_043 - le Jeudi 13 Mai 2010 à 21:35
aleksander le service que tu m'accorde,c'est ce que je lis, tu es malade ou quoi, casse toi ,tu es un pourri et je ne veux plus te voir sur le site,personne dorenavant ne te repondra.va sur les sites qui te plaisent mais va t'en de ce site.
Envoyé par Elie_043 - le Jeudi 13 Mai 2010 à 22:38
Elie 043

Il y a longtemps qu'Edmond et moi l'avons débusqué.
Envoyé par Armand_022 - le Jeudi 13 Mai 2010 à 23:15
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Aleksander - le Vendredi 14 Mai 2010 à 00:07
Cher Men ! Je m’adresse a toi car te tu déclare un juif religieux, c’est pour ca que je veux te poser quelques questions !
-Que dois faire un chrétien qui cherche à s’approcher de son Créateur ?
-Est-il possible selon toi que HACHEM peut entendre la prière d’un chrétien ?
-Est-ce -qu’un chrétien est responsable de l’enseignement qu’il a reçu ?
-Je veux que tu sache qu’il y a des chrétiens qui prient un Créateur seul et unique, et ils sont des chrétiens car ils ne sont pas juifs.
-Je connais des chrétiens qui croient que grâce a la mort de Jésus ils peuvent être sauvé et ils font tout leur mieux pour plaire à leur Dieu.
-préfère tu un amis qui te ressemble sur la forme ou sur le font ?
-Est-ce que les juifs d’aujourd’hui doivent respecter tout les misvots comme a l’époque de Moise ?
-Est-ce-que l’évolution dans la pratique des croyants est possible et nécessaire ?
- préfère tu vivre parmi les musulmans et sur la charia islamique, ou parmi des chrétiens et leurs lois laïques ?
Moi je t’avoue que je me sens pas un bon chrétien, je refuse d’être humilier par les musulmans qui montrent leurs supériorité et leur mépris envers nous.
Si D.ieu nous aime Il nous donne la force pour combattre L’islamisme et on le repoussera en dehors de nos frontières !

Envoyé par Helmut_001 - le Vendredi 14 Mai 2010 à 00:41
Vice-président du Pen Club russe, correspondant de la Literatournaïa Gazeta à Paris, Arcadi Vaksberg est un familier des archives soviétiques. Il a pu ainsi publier sur le communisme des ouvrages importants traduits en français: Hôtel Lux et Alexandra Kollontaï, chez Fayard, ainsi que Vychinski, le procureur de Staline, ou plus récemment Le Mystère Gorki, pour Albin Michel. Le concert de protestations contre Le Livre noir du communisme (Laffont) laisse Vaksberg pantois. Pour L'Express, il verse au débat des éléments inédits, extraits des archives de l'ex-ministère soviétique des Affaires étrangères, qu'il a consultées, et qui concernent un épisode édifiant et mal connu de la collaboration Hitler-Staline: la livraison par l'URSS à la Gestapo d'un millier environ de communistes allemands réfugiés sur son sol et de quelque 60 000 autres Allemands, juifs pour la plupart, qui fuyaient le nazisme.

- L'Express: Vous avez travaillé sur la collaboration entre les gouvernements soviétique et allemand après l'arrivée de Hitler au pouvoir. Il est notamment question de la livraison aux nazis des communistes allemands réfugiés en URSS...
- Arcadi Vaksberg: Tout à fait. C'est un épisode dont témoigne notamment Margarete Buber-Neumann, qui était la femme de Heinz Neumann, n° 2 du Parti communiste allemand. L'un et l'autre avaient fui ensemble l'Allemagne pour Moscou. Lui a été exécuté assez rapidement par le NKVD, et elle, envoyée dans un camp, à Karaganda, puis, en application des clauses secrètes du pacte germano-soviétique (1939), livrée aux Allemands, qui l'ont déportée aussitôt à Ravensbrück. Après guerre, Buber-Neumann a publié un livre (Prisonnière de Staline et d'Hitler, Seuil) et témoigné de son odyssée au procès Kravchenko, en 1949, à Paris. Or, en consultant les archives de la politique extérieure de l'URSS au ministère des Affaires étrangères à Moscou, j'ai pu observer que cette collaboration n'avait rien de fortuit. Et surtout que le nombre de réfugiés allemands que Staline a remis à Berlin est bien plus important qu'on ne l'imaginait. Rappelez-vous ce que dit Molotov, le nouveau ministre des Affaires étrangères, à son prédécesseur Litvinov, limogé le 3 mai 1939: «Nous sommes ici pour disperser la synagogue.»

- A quand remontent les premiers pourparlers à propos des ressortissants allemands?
- Très tôt. En tout cas, bien avant la signature du pacte germano-soviétique, en 1939: soit au minimum dès la fin de l'année 1935, ainsi que je l'ai développé dans mon livre Stalin Against the Jews, paru aux Etats-Unis en 1994 (1). Ce sont les services diplomatiques du Reich à Moscou qui prennent l'initiative, en demandant au Kremlin des informations sur les «citoyens allemands» en URSS. Un euphémisme, puisqu'il s'agit d'abord des militants et responsables communistes. D'ailleurs, le voile est levé, le 7 octobre 1938, dans une note du conseiller allemand à l'ambassade. M. Schwiner précise bien qu'il s'agit de «communistes». Dans le rapport à sa hiérarchie de son correspondant soviétique, M. Grigori Wenstein - chef à titre temporaire du deuxième département du commissariat du peuple aux Affaires étrangères - on enregistre que, selon Berlin, «le nombre des citoyens allemands visés dépasse les 500 personnes (2)».

- Trouvez-vous du côté soviétique une marque quelconque de surprise, de réserve ou encore d'hostilité dans cet échange?
- Pas la moindre. Au contraire, les négociations vont de l'avant. Le 21 novembre 1939, Vladimir Potemkine, vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères, qui rend compte quotidiennement de ses activités à ses supérieurs dans un «journal diplomatique», titre ainsi la synthèse concernant sa rencontre avec le chargé d'affaires von Tippelskirch: «Sur la question des citoyens allemands arrêtés en URSS». Et Potemkine rapporte ce qu'il a notifié à son interlocuteur: «Maintenant, le travail est en marche. Et, dans le plus proche avenir, je n'exclus pas que je puisse vous informer sur quelques décisions pratiques.» Logique. Nous sommes en effet cinq jours après la signature de l'accord secret germano-soviétique, qui stipule dans son article 14 que «tous les citoyens allemands qui se trouvent encore sur le territoire soviétique, dans les prisons ou les colonies, ou exilés, doivent être sans aucun retard renvoyés en Allemagne». Nouvelle preuve que le dossier suit son cours, Potemkine relate ainsi son entrevue - le 11 janvier 1940 - avec son homologue allemand: «J'ai donné à Tippelskirch la dixième liste des Allemands arrêtés qui seront expulsés.» Soit 15 personnes de plus.

- Et pourtant, les Allemands estiment que c'est lent...
- Oui. Sans doute parce que les autorités soviétiques doivent contrôler un à un chaque dossier. Mais, c'est exact, l'ambassadeur allemand à Moscou, von Schulenburg, hausse le ton, le 9 avril 1940, auprès du ministre des Affaires étrangères, Molotov: «Je suis très étonné qu'une grande partie des citoyens allemands qui doivent nous être remis selon l'accord déjà conclu restent encore en Union soviétique.» Réponse compréhensive, et sans la moindre contestation, de Molotov: «Je ferai tout ce qui est dans ma compétence pour raccourcir ce retard.» Ce fut fait. Non seulement pour les 500 communistes allemands identifiés dès le début par Berlin et qui furent expulsés. Mais aussi pour des centaines d'autres, qui avaient fui l'Allemagne pour l'URSS sans papiers et sous des noms d'emprunt... J'estime le chiffre total des «rapatriés» à un millier environ.

- Et bien d'autres vont subir le même sort...
- Oui, car les communistes, le plus souvent des cadres, ne représentent qu'une toute petite partie des Allemands qui ont gagné le sol soviétique. Beaucoup d'autres sont simplement de gauche ou antifascistes. Et la plupart sont des juifs qui ont fui par l'est, via la Pologne.

- Combien?
- C'est précisément l'objet de la note du vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères, Vladimir Dekanozov, l'oeil de Beria dans la diplomatie, après sa rencontre, le 19 mai 1940, avec von Schulenburg. Ecoutez bien: «L'ambassadeur allemand rappela que, au début des pourparlers entre les gouvernements allemand et soviétique, ce dernier avait demandé que la partie allemande puisse accueillir 20 000 réfugiés allemands installés sur le territoire de l'URSS. Mais, au cours des discussions, la partie soviétique a augmenté ce chiffre jusqu'à 60 000 (3).» Dekanozov ajoute, mais sans le moindre soupçon d'ironie: «Le gouvernement allemand soulignait les sentiments humanitaires qui le conduisaient à accepter 60 000 réfugiés.» Pour qu'il n'y ait aucun doute sur la connivence régnant alors entre les deux régimes, citons la fin du compte rendu de Dekanozov: «Le conseiller de l'ambassade allemande Tippelskirch rappela que Potemkine - l'ancien vice-commissaire aux Affaires étrangères, passé depuis à l'Education - avait bien précisé que, parmi ces 60 000 personnes, seulement une petite partie est d'origine ethnique allemande.»

- C'est donc très clair pour Berlin et le Kremlin: il s'agit d'Allemands non ethniquement allemands. Autrement dit des juifs. Et pourtant les Allemands n'hésitent pas à afficher une vocation humanitaire auprès des Soviétiques, qui font semblant de les croire!
- Tout à fait. Voyez ce mémorandum officiel, mais «strictement secret», du gouvernement allemand, le 27 août 1940, à l'adresse des autorités soviétiques: «Selon l'opinion du gouvernement allemand, le rapatriement des citoyens allemands répond aux principes humanitaires qui constituent le principal but de l'Etat allemand actuel.» Dans ce mémorandum, Berlin se paie même le luxe de souligner que, selon ses informations, «ces citoyens se trouvent dans des conditions extrêmement défavorables». Du coup, Molotov ajoute cette phrase de sa main au mémorandum qu'il fait suivre au ministère de l'Intérieur: «Camarade Beria, je vous prie de vérifier cette information, d'y répondre immédiatement par toutes mesures nécessaires, de libérer puis d'expulser les citoyens allemands.»

- Il y a les juifs allemands qu'on expulse, mais aussi ceux qu'on refoule à la frontière lorsqu'ils se présentent...
- Oui. Le 17 décembre 1939, Vladimir Potemkine, vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères, entretient même l'ambassadeur de Berlin sur ce sujet: «J'ai invité Schulenburg pour l'informer de cas qui nous inquiètent. De temps en temps, de très nombreux groupes de population juive essaient - parfois jusqu'à 5 000 personnes - de passer la frontière. Ils sont entre l'armée allemande et l'armée soviétique. Nous ne pouvons pas accepter ces groupes et nous faisons tout pour les refouler. Or les soldats allemands commencent à tirer et en conséquence nous dénombrons des dizaines de cadavres. Nous ne pouvons accepter ces groupes de population juive. J'ai donc prié M. l'Ambassadeur de contacter Berlin pour faire cesser ces incidents, car à l'avenir nous ne les accepterons plus. Les Allemands doivent les régler (4).» Toujours selon Potemkine, l'ambassadeur exprime sa «stupéfaction» et contacte son gouvernement pour «demander que les soldats allemands ne repoussent plus cette population», qui, assure-t-il, peut mener une «vie normale».

- Comment comprendre qu'un tel cynisme inspire encore tant d'indulgence?
- Sans doute cela tient-il au caractère foncièrement mensonger de l'idéologie communiste, qui a exhibé d'une main une Constitution soviétique merveilleuse pour l'époque, suscité enthousiasme et sympathie durable, mais qui forgeait une tout autre réalité: un univers concentrationnaire et de peur. Vous savez, si je racontais aujourd'hui l'empoignade franco-française à la suite de la publication du Livre noir du communisme dans mon journal Literatournaïa Gazeta, mes lecteurs ne comprendraient même pas l'intérêt du sujet, tant ils sont convaincus depuis longtemps qu'un camp est un camp ou que le «génocide de classe» peut être comparé au «génocide de race»...

(1) Ed. Alfred Knopp, New York.
(2) Numéro d'archives: Allemagne 2/88/21154.
(3) Note diplomatique de Dekanozov, 19 mai 1940, p. 49.
(4) Archives Allemagne 1939/4/92/32/102.
Envoyé par Sonia_004 - le Vendredi 14 Mai 2010 à 00:48
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Aleksander - le Vendredi 14 Mai 2010 à 01:01
Fais tes recherches , sur internet tu trouves beaucoup . Des livres que parlent de ça , même que c'est surtout sur les communistes on parle beaucoup du antisémetisme de époque quand même .
C'est bien connu que ni le armée rouge , ni les alliées ont fait la moindre geste pour stopper le Shoah en attaquent des KZ par exemple , en détruisant les voies ferrée vers ces KZ ou les fours d'crématoires . Le sort des Juifs été pas leur " priorité " ni de un et ni de autre !
Apres la Shoah par balles , souvent ça étains des russes avec les allemands que ont commis cet horreur .
Alors les livres ou articles sur le net manquent pas.
Envoyé par Sonia_004 - le Vendredi 14 Mai 2010 à 01:03
lA rUSSIE N'A PAS HÉSITÉ UN INSTANT A MASSACRER plus de 300 de ses enfants, afin de ne passer au chantage de Moussaiev et sa cligue de sauvages Chechénes, nous les JUIFS (contrairement aux rouges) nous respectons chaque goutte de sang juif.....Bien sur les rUSSES SONT6 FIERS DE LEUR PASSÉ QUI LEUR RAPPEL STALINE QUI A FAIT TUER froidement des centaines vois des milliers de ses citoyens opposants a son regime.....alors SVP laissez M Medvedev vos discours, pour vos ouailles, nous en a que battre de vos hallucinations suicidaires, Quand il existe deux langages un de trop.....alors alignez vous sur le quartet......et continuez a aider les musulmans qui un JOUR vous remercierons a prenant la place ROUGE comme ultime destination........
Envoyé par Guido_001 - le Vendredi 14 Mai 2010 à 04:52
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 40 minutes