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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas ne négociera pas ‘un seul jour’ si le gel prend finLe président palestinien Mahmoud Abbas a déclaré lundi qu’il ne participera pas aux pourparlers de paix soutenus par les américains « un seul jour » si Israël n’étend pas le gel des constructions dans les implantations à la fin du mois.
« Les négociations se poursuivront aussi longtemps que les constructions restent gelées, mais je ne suis pas prêt à négocier un accord pendant une seule journée de plus, » a déclaré Abbas à l’AFP.
Abbas doit donner un discours à l’assemblée générale des Nations Unies a New York cette semaine sur « les efforts pour mettre fin à l’occupation israélienne des terres palestiniennes depuis 1967 pour créer un état palestinien indépendant avec Jérusalem pour capitale, » selon son porte parole, Nabil Abou Roudeina.
Israël et les palestiniens ont entamé des négociations de paix sous la médiation des Etats-Unis le 2 septembre.
Mais jusqu'à pressent, Israël a obstinément refusé d’étendre l’interdiction partielle de 10 mois sur les nouvelles constructions, et les palestiniens ont promis de se retirer des pourparlers si ces constructions reprenaient.
S’exprimant en route vers New York lundi, Abbas a souligné qu’il n’était « pas opposé à un gel des constructions pendant un mois ou deux, » et qu’il était possible « de conclure un accord de paix sur toutes les questions portant sur le statut final si le gel des constructions était prolongé. »
« Si Israël arrête les constructions et montre de la bonne volonté, alors nous pouvons parvenir à un accord sur les frontières et la sécurité, et un accord sur d’autres questions comme le statut de Jérusalem, l’eau, et les implantations suivront en temps voulu » a-t-il ajouté.
Les commentaires du président palestinien arrivent un jour après que le premier ministre Benyamin Netanyahou ait déclaré aux ministres que le moratoire sur les implantations prendra fin comme prévu.
« La semaine dernière, j’ai eu des entretiens politiques à Charm el-Cheikh et Jérusalem. Je ne peux donner aucun détail sur le contenu des négociations en raison de leur sensibilité. Ce que je peux dire, c’est qu’en ce qui concerne le gel, il n’y a eu aucun changement dans notre position, » a indiqué Netanyahou.
Les deux séries de pourparlers, qui ont réunis Abbas, Netanyahou et la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton, n’ont pas réussis à sortir de l’impasse.
Des responsables palestiniens ont déclaré dimanche que des efforts étaient en cours pour organiser une rencontre entre Abbas et le président américain Barack Obama.
S’exprimant à l’AFP lundi, Abbas a réitéré que la question des prisonniers palestiniens détenus en Israël devait être résolue dans le cadre de tout accord.
Le bureau de Netanyahou a déclaré qu’il n’a pas l’intention de se rendre aux Etats-Unis cette semaine, mais que le président Shimon Pères et le ministre de la défense Ehoud Barak y sont déjà, la présence de Pères étant justifiée par sa prise de parole au sommet des Nations Unies, et celle de Barak pour discuter avec des responsables sécuritaires américains.
La date limite pour la fin du gel des constructions est connue pour tomber le 26 septembre, exactement 10 mois et un jour après la décision d’origine du cabinet.
Mais les ordres de l’armée israélienne en ce qui concerne le moratoire ne s’arrêteront que le 30 septembre à minuit. Articles connexes
56 commentaires
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Etant donne qu’un precedent historique a deja pris place, il est tres logique qu’un second soit possible
Mais etant donnees les circonstances sous lesquelles Israël ne s'ait jamais servie de cette ligne d'explication logique au eternelles Jeremiades des soit disant " Palestiniens" il y aurait tres peux de chances qu'elle ne s'en serve maintenant.
Pour des raisons ethniques internes, les dirigeants Israeliens se sont toujours servis de la "Shoah" pour ramollir et creer des sympathies avec les generations Europeennes coupables, directement ou indirectement, de l'holocauste.
En realite Israel devait et doit toujours rappeler au monde, d’une maniere inebranlable, que la majorite de ses citoyens sont réfugiés ou descendants de réfugiés de pays Arabes ou Musulmans, parce qu'il n'est pas logique, aux yeux de l’Occident de punir les Arabes pour les crimes nazi.
Ainsi donneront ils une reponse finale au « droit de retour » revendique par les « Palestiniens » et la legitimation de l’Etat d’Israël come etant le refuge des Juifs
AM ISRAEL HAY
quand aux torchons que vous citez je préfère m'abstenir j'ai fait des voeux que je ne voudrais pas rompre pour cette nouvelle année HAG SAMEAH
G-d bless Benyamin Natanyaou and his family
HAG SAMEAH
En 1939, Winston Churchill déclarait: "Loin d’être persécutés, les arabes ont pullulé dans le pays et se sont multipliés jusqu’à augmenter la population , au point que même si la Juiverie mondiale dans son entier venait en Palestine, elle ne parviendrait pas par sa population juive [locale] à dépasser celle des Arabes."
Il s'agit d'un point important (quoique beaucoup critique), car il dissipe le mythe que le peuple palestinien y ait vécu pendant des générations. Et lorsque l’on pose le problème des réfugiés palestiniens comme conséquence de la création de l’état d'Israël, il faut considérer que nombre d'entre eux furent aussi des immigrants au même titre que les nouvelles générations d’immigrants juifs !
Au début des années 1930, une famine éclata en Hauran ce qui rendit la vie difficile à ses habitants.
Sous les conquetes Arabes et plus tard Ottomanes, les descendants d'Israel, sans cadre religieux ou culturel, se convertirent a l'Islam. Certains de force, d'autre comme en Bosnie et Albanie, pour eviter la "Jazya" (impots pour non Musulmans). Peut etre que la solution est d'offrir aux descendants genetiques d'Israel le retour au bercail comme "Chavei Tzion"?????????