|
Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa réunion entre Ayalon et Fayyad se termine malLe premier ministre palestinien Salam Fayyad a quitté une réunion avec le vice-ministre des affaires étrangères Daniel Ayalon « indigné » suite à un différend sur la terminologie à utiliser dans le résumé de la rencontre, un show dont les palestiniens sont friands.
Une conférence de presse qui devait se tenir suite à la réunion a été annulée.
Le différend suivait la demande d’Ayalon que le compte rendu de la rencontre se réfère à la notion de « deux états pour deux peuples », plutôt que simplement « deux états ».
« Je voulais que, à tout le moins, il note deux états pour deux peuples. J’ai demandé à savoir ce qu’ils entendaient. Un état palestinien et un état binational, ou un autre état palestinien ? » a souligné le vice-ministre lors d’une interview. « J’ai clairement fait savoir que nous étions hors du cadre si le compte rendu ne mentionnait pas deux états pour deux peuples. »
Lors de la réunion, Ayalon a déclaré qu’Israël continuera à soutenir l’économie palestinienne, même sans son consentement, mais a noté que les besoins sécuritaires d’Israël devaient également êtres pris en considération.
Fayyad a demandé de continuer à faciliter la circulation des palestiniens en Judée Samarie, une demande à laquelle Ayalon a répondu : « nous ne compromettrons pas la sécurité d’Israël et son avenir. Tout dépend de la situation sécuritaire, et je suis d’accord sur la solution politique. »
Le vice-ministre des affaires étrangères a également demandé des garanties que l’argent donné ne sera pas utilisé pour des incitations ou pour boycotter des produits israéliens.
Le compte rendu de la réunion a été écrit par le représentant norvégien, dont le pays dirige le comité de liaison ad hoc, qui organisait la réunion en question.
L’envoyé spécial américain pour le Proche Orient George Mitchell et l’envoyé du Quartet Tony Blair ont participé à la première partie de la réunion. Blair a soutenu la position israélienne. Les représentants palestiniens étaient Fayyad et le négociateur palestinien en chef Saeb Erekat.
Le négociateur israélien Yitzhak Molcho est lui aussi actuellement à New York, et tient des réunions avec Erekat. Articles connexes
15 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 6 heures - i24 News
Il y a 9 heures - Times of Israel
3 Mai 2024 - Slate .fr
3 Mai 2024 - Le Figaro
3 Mai 2024 - Le Figaro
Il y a 9 heures par Jcl
4 Mai 2024 par Jcl
4 Mai 2024 par Jcl
3 Mai 2024 par Rafael_003
3 Mai 2024 par Jcl
2 Mai 2024 - Torah-Box
2 Mai 2024 - Torah-Box
1 Mai 2024 - Identité Juive .com
1 Mai 2024 - Identité Juive .com
25 Avril 2024 - Lettres d'Israel
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 6 minutes
http://www.jforum.fr/forum/israel/politique/internationale/article/carte-interactives-sur-les
sous prétexte de ceci ou cela ils sont en position de faiblesse et leur
économie est tenue a bout de bras par Israel l UE les USA
Alors ils ont une idée arabe
on est ok pour ce qui va nous être donne et on va vous noyauter avec les arabes israéliens jusqu a obtenir un etat binational en Israel et comme toutes les occupations arabes leur sens de l egemonie fait qu ils ne tolère au un citoyen qui soit de religion différente dans les pays arabes on le vois en öre en Afrique ou des milliers de chretiens onete chasses par les arabes
ces négociations vont se terminer brutalement la construction reprendra de plus belle Obama va se faire rembarer lors des prochaines élections et lU E est déchirée
la meilleure solution serait le fait accompli la sécurité a tout va
et s il le faut en öre de murs de béton pour séparer les populations
Les couplets rugueux de la chanson À force de le dire du rappeur Youssoupha seront examinés par le tribunal correctionnel de Paris. Le désormais célèbre chroniqueur Éric Zemmour avait porté plainte pour injure publique et menace de crime en raison de la phrase suivante : "J'mets un billet sur la tête de celui qui fera taire ce con d'Éric Zemmour". La juge d'instruction Céline Hildebrandt a estimé qu'il y avait suffisamment d'éléments pour renvoyer devant le tribunal correctionnel non seulement le rappeur Youssoupha M'Mabiki, mais également tous ceux qui ont mis en ligne la chanson litigieuse.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/emmanuel-berretta/l-affaire-zemmour-vs-youssoupha-renvoyee-devant-le-tribunal-correctionnel-16-09-2010-1237020_52.php