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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientMitchell : ‘la paix toujours à portée de main’Les négociations directes israélo-palestiniennes sont pratiquement dans l’impasse, mais Israël et les Etats-Unis refusent de renoncer à l’espoir, et maintiennent un optimisme prudent quand à l’avenir des négociations.
Le ministre de la défense Ehoud Barak a déclaré samedi que malgré l’annonce palestinienne, « la porte n’est pas fermée, et les efforts se poursuivent. » Barak et le premier ministre Benyamin Netanyahou, aux côtés des Etats-Unis, tentent de parvenir à une formule qui maintiendra les pourparlers sur une bonne voie, tandis que des sources à Jérusalem déclarent que certaines pressions internationales se font déjà sentir.
La pression sur Israël, disent-ils, est susceptible d’augmenter dans les prochains jours, si la menace de rupture des négociations passe par le sommet de la Ligue Arabe.
Des sources gouvernementales ont déclaré que d’importants responsables internationaux sont attendus en Israël pour faire personnellement pression sur Benyamin Netanyahou, mais le bureau du premier ministre a nié ces prochaines visites.
Quand à la poursuite du gel, des sources disent que les américains ne suggèrent pas une extension du gel de deux mois seulement pour gagner du temps. Les temps, disent-ils, devrait servir a tenter de résoudre la questions des frontières.
L’envoyé spécial au Proche Orient, George Mitchell, qui est arrivé au Caire samedi soir, a confirmé qu’Israël et les palestiniens ont demandé aux Etats-Unis de poursuivre ses efforts pour surmonter les obstacles et faire avancer les négociations.
« Les deux parties, israéliens et palestiniens, nous ont demandé de poursuivre nos discussions avec elles et d’autres gouvernements sur la meilleure façon d’atteindre l’objectif des négociations, » a déclaré Mitchell aux medias après sa rencontre avec le secrétaire général de la Ligue Arabe, Amr Moussa.
« La paix dans la région et un état (palestinien) indépendant et viable peuvent êtres atteint, de façon réaliste, par des négociations directes entre les parties, » a-t-il dit.
Mitchell est arrivé au Caire en provenance du Qatar, où il a rencontré le premier ministre, Cheikh Hamad Bin Jassem Bin Jabr Al-Khalifa (…), et l’a informé sur la situation actuelle des pourparlers de paix.
Mitchell doit rencontrer le président égyptien Hosni Moubarak, dimanche, avant de se diriger vers la Jordanie.
Pendant ce temps, des sources au sein de l’autorité palestinienne ont déclaré samedi que bien que les américains poursuivront sans doute leurs efforts pour trouver une solution qui permettrait d’éviter l’impasse dans les pourparlers de paix, « nous avons clairement indiqué que la construction dans les implantations, comme elles avaient lieu avant le gel, ne permettra pas une reprise des pourparlers. »
Selon un haut responsable palestinien, même si les Etats-Unis tentent de convaincre l’autorité palestinienne que Netanyahou est sérieux pour un accord de paix, « mais même ainsi, nous attendons une série de gestes de sa part, a d’abord qu’il mette un terme à la construction dans les implantations. »
Les pourparlers de paix directs sont suspendus, a ajouté cette source, mais il a refusé de confirmer si un gel partiel de la construction pourrait satisfaire l’autorité palestinienne en ce moment. Néanmoins, les palestiniens sont sous pression par des éléments arabes, ainsi que par les Etats-Unis, pour s’abstenir d’abandonner les négociations.
Egalement samedi, des hauts responsables du Likoud, qui avaient déjà exprimé leur opposition à la poursuite du gel, ont déclaré que sous certaines conditions, et avec des assurances « significatives » des Etats-Unis, ils seraient prêts à soutenir la poursuite du gel pour un temps limité.
Dans le même temps, des rumeurs se répandent à travers le monde politique sur des contacts entre le Likoud et Kadima, ou entre Netanyahou et la présidente de Kadima Tzipi Livni, peut être pour tenter de créer un axe qui permettrait à Livni d’entrer au gouvernement, si l’évolution de la situation conduisant à un effondrement de la coalition actuelle. Articles connexes
82 commentaires
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Ils ont le droit de garder le silence !
Israël respecte ses engagements en recommençant les constructions, quand abbas a repris ces négociations, il savait que le moratoire s'achevait le 26 septembre !
Perso, je ne comprend pas ces tentatives illogiques venant poser des conditions alors que cette nouvelles reprise des discussions excluaient expressément toute forme de condition !
1) Qu' il se refuse à reconnaitre un état Juif
2)Qu' il ne veut plus d'UN SEUL Israélien dans son futur état!!!
Mais bien sûr qu'il parte, qu'il dégage, qu'il aille se faire voir chez les ......Jordaniens , où il veut !!! d'ailleurs, Netanyahu aurait aussi de quoi se fâcher et quitter la table, en entendant, ce qu'à sorti ce négationniste. c'est pourquoi je ne comprends pas du tout ces appels , ses supplications pour le faire revenir!! il ne faut pas s'abaisser après avoir entendu cela !! un état de Mr Abbas, ENTIEREMENT JUDENREIN!!!!! vous n'allez pas lui courir après, tout de même.
son maitre babama qui le tient en laisse , lui promet des tas de cadeau plus de l argent
l essensiel c est qu il l écoute et fait tout ce qui lui demande , pour clore son voeux
et la promesse à ses frères muzz et à son père ,'(' son reve d enfant ) il sait bien que
babas n est pas apte à diriger un pays; c est un homme de paille , mais un vrai tueur,
rusé babama quand au ( mort..rat..toi ..rrrrrr ? il savait d avance que BiBi dirait NON !!!
et naturellement , le ministre égyptien des affaires étrangères abou gheit lequel soutient l ' olp ,lequel n ' a pas jugé utile de dénoncer les propos injurieux de hossam zaki , son porte-parole du ministère égyptien des affaires étrangères , qui a fait l ' apologie de l ' antisémitisme et qui s 'est vanté d ' être lui-même plus antisémite que les nazis . il ne faut pas oublier que abou gheit , qui brigue la présidence égyptienne , s 'est accoquiné avec les frères musulmans , sans oublier amr moussa , le patron de la ligue arabe , avec les memes options !
incroyable : il a été conclu un accord , un contrat en bonne et due forme pour " un gel " des constructions jusqu'au 26 septembre 2010 , avec la garantie obamienne , entre israël et les palestiniens , tout était nickel , les négociations directes israëlo-palestiniennes ont repris ... mais voilà que abbas , le caméléon , demande à nouveau un autre gel pour poursuivre les négociations déjà fluctuantes , tout comme le hamas , qui demande des tr^ves à répétition ...
mais B i B i s 'en tient à ce contrat , à cet accord avec témoins , mais abbas ne veut rien entendre : de ce contrat il n 'en veut pas , il exige , il menace , il gesticule , il piétinne et avec lui le monde arabe et le monde occidental : et tout ce beau monde qui accuse israël de bloquer les négociations,aux fous !
D'abord rend les vies que tu as volées !!!
La question de la paix ne dépend-elle que des palestiniens ? Il faudrait demander cela aux enfants à venir, palestiniens, mais aussi israéliens. Parce que si on veut que ce conflit dure encore 60 ans de plus, ils naîtront tous avec un ennemi en cadeau de naissance.
La causalité implique aussi qu'à côté des effets désirables d'une cause, on ne contrôle pas non plus les effets indésirables. Plus le conflit s'internationalise, et plus la potentialité qu'Israël se retrouve fragilisé augmente. Aucun rapport de force, dans l'Histoire, n'a favorisé éternellement le plus fort du moment. Hitler pensait aussi que le règne du nazisme durerait mille ans. L'Histoire a démontré que l'on ne peut pas prévoir l'avenir, même à moyen terme. Ça aussi, c'est une leçon de l'Histoire qu'il faut prendre en compte.
Pensez à vos enfants.
Pierre Meur,
Humaniste et libre-penseur