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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas insiste sur un gel de la construction avant la reprise des pourparlersLe président palestinien Mahmoud Abbas a insisté dimanche pour qu’Israël gèle la construction dans les implantations avant de retourner aux pourparlers de paix, selon une déclaration faite en Jordanie.
« Bien entendu, nous ne cesserons pas les contacts avec les américains, » explique la déclaration du palais royal suite à une entrevue avec le roi Abdallah de Jordanie.
« Nous allons continuer à communiquer avec eux pour trouver une solution au problème de la construction israélienne, qui doit s’arrêter avant de nous ne retournions aux négociations, » a déclaré le palais citant Abbas.
Les négociations, soutenues par les américains et qui ont débutées le 2 septembre, ont été sur le bord de l’effondrement depuis qu’Israël a refusé de prolonger un moratoire de 10 mois sur les nouvelles constructions en Judée Samarie, un moratoire qui a expiré il y a une semaine.
« Israël a refusé de renouveler le gel de la construction, et nous ne pouvions pas poursuivre les pourparlers. Alors maintenant, il y a un problème, et nous ferons le suivi à travers la coordination arabe, » a ajouté Abbas.
Le comité de suivi de la Ligue Arabe pour les pourparlers de paix doit se réunir vendredi pour définir sa position dans la ville libyenne de Syrte.
L’organisation de libération de la Palestine (OLP), un groupe de coordination qui comprend la plupart des groupes terroristes palestiniens hormis le Hamas, a appelé samedi Abbas à se retirer des pourparlers à cause de la construction continue dans les implantations juives de Judée Samarie.
Le roi jordanien a également rencontré séparément l’émissaire américain George Mitchell, qui est en tournée dans la région depuis mardi, dans un ultime effort pour sauver les négociations directes naissantes.
Mitchell, qui est arrivé à Amman en provenance du Caire, où il a insisté sur le fait que les palestiniens veulent continuer les pourparlers avec Israël, a informé le roi des efforts de paix des Etats-Unis, a déclaré le palais.
« Malgré leurs différentiels, tant le gouvernement d’Israël et l’autorité palestiniennes nous ont demandé de poursuivre ces discussions dans le but d’établir les conditions dans lesquelles les pourparlers directs pourraient se poursuivre, » a déclaré Mitchell aux journalistes après avoir rencontré le président égyptien Hosni Moubarak. Articles connexes
82 commentaires
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Il oublie comme mème,que Sa Père, Hussein Roi de Yordanie,est fait la Guerre en Yordanie contre les Terroristes de Arafat!!
http://eli-d-ashdod.over-blog.com/article-un-yishouv-qu-est-ce-57866797.html
Bonne lecture.
Eli d'Ashdod
Personne ne veut plus de ce qu'en on fait ces dictatures et si ils pouvaient faire comme l'irak et l'iran, en envoyer quelques millions se battre contre "l'ennemi", avec des clés du "paradis"en plastique et avec des kalachnikov et des sabres aussi en plastique, ce serait pour ces criminels, le bonheur !
Que font les mollahs, ils envoient tous leurs criminels condamnés à mort ou à de lourdes peines, au liban, c'est ou le liban ou la corde !
Les pressions sont énormes et prendre la mauvaise habitude de faire le sale boulot pour l'ensemble des dictateurs du coin avec la complicité des pourfendeurs des droits de l'homme déguisés en braves humanitaires qui se font plein de blé avec ce business, c'est pas gâteau non plus !
Alors que faire, éviter les coups ?
Taper ?
Faire ce que faisait Sharon ; Taper les têtes, les terroriser, mais seulement les gros bonnets !
C'est la seule technique pour calmer cette meute de salopards, cheick machin, chaid chose, tous ceux dont la tête dépasse, boum !!!!
Moubarak, si il veut vraiment sauver les pourparlers de paix, n'a qu'une chose à faire: rapatrier chez lui ses voyous du hamas, puisque ces derniers sont ses ressortissants, des égyptiens qui ont été largués à gaza "sur le dos d'Israêl" parce qu'ils foutaient la pagaille chez lui en égypte (meurtres de touristes au pied des pyramides, attentats au caire, agressions de femmes qui ne portaient pas le voile, etc..etc...).
Chacun chez soi et ça ira déjà beaucoup mieux dans cette fourmillière!!! Et qu'on FOUTE LA PAIX A ISRAEL.
AM ISRAEL HAY
de "TOUT FAIRE POUR SAUVER LE PROCESSUS DE PAIX", comme par exemple
de stopper définitivement les attaques terroristes, ou bien d'arrêter de parler
de territoires occupés, ou encore d'oser discuter sur JERUSALEM, et
surtout d'admettre une fois pour toute qu'il existe dans le monde un pays JUIF, et que ce pays
s'appelle I S R A E L .
Cette paix là, personne n'en veut puisqu'elle débouche sur du concret, cad, une vraie paix qui rendrait l'amitié possible entre Juifs et Arabes et qui précipiterait les antisémites (au sens générique du terme) dans l'enfer où se recycle le feu dévorant de leur haine.
Cette paix, si elle devait se profiler un jour, nous saurons la reconnaître sans l'aide des pompiers pyromanes qui ont le culot de se travestir en humanistes mais dont la morale ne vise qu'à asseoir leur prétendue supériorité.
Et puis, si cette paix était réellement souhaitée par les pays qui se disent les amis d'Israël, leurs média ne tronqueraient pas autant l'information, l'antisémitisme ne serait pas combattu avec si peu de conviction et les braves gens cesseraient de s'incliner devant la fatalité.
Et puis encore, le phénomène de mode qui s'inspire de la politique arabe de la France ne détiendrait pas le record de l'unanimité dans le temps et dans l'espace terrien.
Ceci, tout extra-terrestre peut le déduire sans difficulté. Il suffit de prendre le recul qui s'impose.
AIH
J'y faisais des supputations sur l'intérêt qu'il pouvait y avoir, pour Israël, de troquer une prorogation du moratoire sur les constructions contre un engagement de Baraq 'Hussein Obama à respecter les engagements de son prédécesseur George W. Bush.
Je considérais deux cas de figure : l'un, où Obama perdrait les " midterm elections " du 2 novembre ; l'autre où, sans les gagner franchement, il ne les perdrait pas non plus nettement;
Dans le premier cas, je demandais s'il valait la peine, s'il était bien nécessaire de prendre - en cédant sur la prolongation du moratoire - le risque d'une crise ministérielle grave, la prolongation du moratoire pouvant amener certains ministres ( j'évoquais les noms d'Elie Yishaï, d'Avigdor Lieberman, entre autres ) à quitter le gouvernement , ce qui, remarquais-je, serait précisément tomber dans un piège puisque ce départ permettrait précisément la réalisation de la recomposition politique de la coalition gouvernementale, les vides créés par le départ des ministres cités étant comblés par l'arrivée notamment de ministres venus de " Kadimah " - conformément à ce que souhaitent depuis des mois et Washington et ce que j'appelle une aile " chamberlainienne " ( Michaël Eytan, par exemple, qui s'en est pris à Avigdor Lieberman tout