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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Abbas : ‘Netanyahou craint pour son gouvernement’

Abbas : ‘Netanyahou craint pour son gouvernement’ - © Juif.org
Le président palestinien Mahmoud Abbas est déterminé à ne pas reprendre les pourparlers de paix tant qu’Israël ne renouvelle pas son gel de la construction en Judée Samarie. Dans une interview diffusée dimanche soir sur la première chaîne de télévision israélienne, Abbas a déclaré : « quand Obama est devenu président, il est celui qui a déclaré que ‘la construction dans les implantations doit être arrêtée’, les Etats-Unis le disent, l’Europe le dit, et le monde entier le dit, pourquoi ne devrais-je pas aussi le dire ? »
 
Abbas a déclaré au journaliste israélien qu’il existe un consensus à travers le monde au sujet du moratoire sur la construction.
 
« Quand nous sommes allés à Annapolis, toutes les personnes présentes, plus de 50 nations, ont dit que la construction dans les implantations devait être arrêtée. En même temps, le président Bush a déclaré : ‘nous allons mener à bien cette mission et la superviser. Nous devons créer un comité pour le gel qui supervisera la construction dans les implantation.’ Nous nous sommes appuyés sur la déclaration de Bush et sommes allé de l’avant dans les négociations. »
 
Abbas a en outre déclaré que le premier ministre Benyamin Netanyahou lui a dit qu’il ne pouvait pas répondre positivement à la demande de prolonger le moratoire. « Netanyahou m’a dit : ‘je ne le peux en aucun cas. Je crains pour mon gouvernement.’ Le gouvernement n’est pas plus précieux que la paix. Le gouvernement n’est pas plus précieux que le futur des deux peuples, » a-t-il dit.
 
Vendredi, Abbas a réitéré sa déclaration disant qu’il ne reconnaître pas Israël en tant qu’état juif. Abordant la question lors de l’interview, il a dit : « évidemment, nous reconnaissons l’état d’Israël. C’est évidemment un état juif. Si vous voulez qu’il soit reconnu comme état juif, vous êtes libres de le faire. Mais vous n’avez pas demandé cette reconnaissance de la part de l’Egypte, la Jordanie, ou tout autre état dans le monde. Vous pouvez faire ce que vous voulez, mais ce ne sont pas mes affaires. »
 
Interrogé sur les déclarations du ministre des affaires étrangères, Avigdor Lieberman, disant que le refus de reconnaître Israël comme état juif invite des futures revendications nationales de la part des arabes israéliens, Abbas a déclaré : « ces allégations sont sans fondement. Nous avons reconnu l’état d’Israël en 1993, nous avons négocié, l’OLP est venue ici et nous avons signé des dizaines d’accords. Nous reconnaissons que l’état palestinien doit être établi sur les frontières de 1967. Si nous arrivons à cela, et c’est quelque chose d’important, c’est la fin du conflit. »
 
« Nous sommes prêts à le faire. Nous sommes prêts à mettre un terme aux demandes historiques. Mais quand Lieberman arrive avec des telles exigences, c’est qu’il n’est pas intéressé par la paix. »
 
Le dirigeant palestinien a également évoqué la possibilité que l’autorité palestinienne soit démantelée si les pourparlers échouaient. « Le démantèlement de l’AP n’est pas encore pertinent, et nous n’en avons pas discuté, mais toutes les options sont ouvertes… Aujourd’hui Israël occupe les territoires, mais ne porte aucune responsabilité. »
45 commentaires
et bien qu'il ne negocie pas c'est son probleme quand a la france elle ferait mieux de s'occuper de ses problemes quanf a son ministre kouchner ce faux juif n'a qu'a aller a la retraite car la gauche ne le reprendre surement pas pour moi c'est de la traitrise donc il ne lui reste plus qu'à porter de nouveau des sac de riz d'ailleurs ca lui va très bien
Envoyé par Francine_002 - le Mardi 19 Octobre 2010 à 16:13
Abbas peu dire ce qui veux, Obama et 50 pays ont dit ça. Il peut dire se qu il veux nous avons l habitude de l entendre n importe quoi. Qu il arrête les pourparlers se n est pas important notre sécurité avant tout qu on est la paix ou rien avec eux, nous serons toujours sur le qui vivent nous le voyons avec l Egypte, ils laisse le Hamas de nous envoyer des Kasams depuis le Sinaï. D abord ce sont nos terres et pas celle des palestiniens leur pays avant tout cs est la Jordanie.
Envoyé par Moshe_012 - le Mardi 19 Octobre 2010 à 19:26
une majeure partie des pays europeens ont dit stop a l islam, l europe s organise contre la barbarie, il n est jamais trop tard quand il s agit des arabos muzz, le danemark a refuser la construction de mosquees, tant que les saoudiens refusent la construction d eglises sur leur territoire, enfin l europe se reveille, angella merkel reconnait que l allemagne a echoue quant a lintegration de ses immigres, les barbares ne peuvent pas s integrer
mais en france helas c est une autre histoire, mais ca viendra toujours en retard comme dab
Envoyé par Roland_002 - le Mardi 19 Octobre 2010 à 20:18
Lorsque la grande mosquée de Grenade ouvrit ses portes, en 2003, édifiée à l’emplacement d’une ancienne église, le porte-parole de la mosquée Abdel Haqq Salaberria déclara sur BBC News que cette nouvelle installation était « le symbole du retour de l’islam, au milieu des Espagnols ». Salaberria formula l’espoir que la mosquée « serait le point central de la résurrection islamique, en Europe ».

Durant plus de 700 ans – du début du 8ème siècle à pratiquement la fin du 15ème siècle – des dirigeants musulmans ont gouverné l’Espagne, et l’islam prospéra sur la péninsule ibérique. En 732 apr. J.-C., une armée musulmane aux ordres de l’émir Abd al-Rahman se retrouva à environ 250 kilomètres de Paris, avant d’être stoppée à mi-chemin entre Tours et Poitiers, en France. L’islam se répandait en Europe et atteignit son apogée au 8ème siècle. Ensuite, les forces non musulmanes reprirent du terrain et, finalement, en 1492, les armées du roi Ferdinand et de la reine Isabelle reprirent le dernier bastion musulman : Grenade. Après cette date, l’Espagne fut débarrassée de la domination musulmane. En quelques années, le reste de la population musulmane se convertit à d’autres croyances, et l’islam disparut des contrées qu’il avait soumises.

Cinq siècles plus tard, de nouveaux convertis en Espagne, associés à des immigrants musulmans, pour inaugurer la nouvelle grande mosquée de Grenade, provoquèrent l’étonnement d’un grand nombre d’Européens : « Se pourrait-il que l’histoire se répète ? » A l’avenir, l’histoire conflictuelle entre l’Europe et l’islam aura des conséquences importantes sur les événements. Nous devons prendre conscience des faits historiques, et savoir où aura lieu, d’après la Bible, ce conflit inévitable.
Envoyé par Roland_002 - le Mardi 19 Octobre 2010 à 20:21
Si l'on cite et récite une prédiction qu'André Malraux n'a jamais écrite - «Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas» - une autre de ses prophéties semble moins connue: «C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles.» Dès 1956, à l'orée de la décolonisation, le grand visionnaire avait ainsi balayé l'horizon, ajoutant que «les formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe», que «l'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce phénomène» et que «le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème».

Cette prescience politique pourrait nous inviter à considérer avec un peu d'inquiétude une autre de ses formules, énoncée lors de la campagne présidentielle de 1974: «Politiquement, l'unité de l'Europe est une utopie. Il faudrait un ennemi commun pour l'unité politique de l'Europe, mais le seul ennemi commun qui pourrait exister serait l'islam.» L'actualité européenne de ces derniers mois donne en effet l'impression que dans la plupart des pays membres l'islam est devenu sinon un ennemi, du moins un problème commun (lire les reportages en Allemagne, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas et au Danemark). D'un seul coup, cet espace de tolérance ne supporte plus ce qu'il acceptait il y a encore peu. La Grande-Bretagne, qui a perdu son flegme, ne veut plus qu'on brûle les livres de Salman Rushdie à Bradford, l'Allemagne s'inquiète soudain des prières installées de longue date dans les jardins publics de Mannheim, l'Espagne se met à condamner des imams qui s'inspirent de trop près du Coran. Partout semble décrétée «la fin de la dictature de l'euphémisme», selon la formule du ministre français de l'Intérieur annonçant que nous sommes «en guerre» contre le «djihadisme global».
Envoyé par Roland_002 - le Mardi 19 Octobre 2010 à 20:26
Membre Juif.org





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