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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe gel silencieux de Netanyahou et BarakMalgré la fin du moratoire sur les constructions en Judée Samarie, la construction de milliers de logements prévus est arrêtée dans la pratique, alors que les responsables gouvernementaux ne donnent pas leur accord définitif.
Entre autre logements, environ 1 300 logements prévus à Jérusalem, qui ont passé toutes les procédures de planification et de construction, n’obtiennent toujours pas le feu vert qui permettra de voir leur mise ne chantier.
Le premier ministre Benyamin Netanyahou a récemment reçu une liste sensible qui comprend 3 600 nouveaux logements en Judée Samarie. Comme nous l’avons indiqué, la plupart de ces plans ne reçoivent pas l’approbation finale pour le moment.
Récemment, le premier ministre a informé les Etats-Unis avant son plan de publier des appels d’offres pour la construction de 240 nouveaux logements à Jérusalem, assurant une réponse américaine mineure. Toutefois, le premier ministre a apparemment été obligé de renoncer à des appels d’offres pour 600 autres appartements à Har Homa, qui, d’après l’administration américaine, aurait indiqué clairement la fin des pourparlers de paix avec les palestiniens.
« C’est une catastrophe pour Jérusalem, » déclaré un agent immobilier de la capitale. « Le gel de l’année dernière créera une immense pénurie d’appartements dans un an ou deux, et des hausses de prix spectaculaires. »
« Nous sommes certainement dans un piège, » a déclaré un responsable gouvernemental. « Des anciens quartiers de Jérusalem sont gelés dans la pratique déjà en ce moment, tout comme les blocs d’implantations. Chaque appel d’offre créerait d’énormes résonances dans le monde pour le moment… si Netanyahou devait accorder son feu vert, les travaux de construction reprendraient, mais cela n’arrivera pas de si tôt apparemment. »
Pendant ce temps, 3 727 logements en Judée Samarie ont également été finalisés et attendent l’approbation du ministre de la défense Ehoud Barak. Ces projets, qui ne sont toujours pas approuvés en ce moment, comprennent 1 500 logements à Beitar, 500 à Guivat Zev, et 500 autres à Karnei Shomron. Articles connexes
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mais en france helas c est une autre histoire, mais ca viendra toujours en retard comme dab
Durant plus de 700 ans – du début du 8ème siècle à pratiquement la fin du 15ème siècle – des dirigeants musulmans ont gouverné l’Espagne, et l’islam prospéra sur la péninsule ibérique. En 732 apr. J.-C., une armée musulmane aux ordres de l’émir Abd al-Rahman se retrouva à environ 250 kilomètres de Paris, avant d’être stoppée à mi-chemin entre Tours et Poitiers, en France. L’islam se répandait en Europe et atteignit son apogée au 8ème siècle. Ensuite, les forces non musulmanes reprirent du terrain et, finalement, en 1492, les armées du roi Ferdinand et de la reine Isabelle reprirent le dernier bastion musulman : Grenade. Après cette date, l’Espagne fut débarrassée de la domination musulmane. En quelques années, le reste de la population musulmane se convertit à d’autres croyances, et l’islam disparut des contrées qu’il avait soumises.
Cinq siècles plus tard, de nouveaux convertis en Espagne, associés à des immigrants musulmans, pour inaugurer la nouvelle grande mosquée de Grenade, provoquèrent l’étonnement d’un grand nombre d’Européens : « Se pourrait-il que l’histoire se répète ? » A l’avenir, l’histoire conflictuelle entre l’Europe et l’islam aura des conséquences importantes sur les événements. Nous devons prendre conscience des faits historiques, et savoir où aura lieu, d’après la Bible, ce conflit inévitable.
Cette prescience politique pourrait nous inviter à considérer avec un peu d'inquiétude une autre de ses formules, énoncée lors de la campagne présidentielle de 1974: «Politiquement, l'unité de l'Europe est une utopie. Il faudrait un ennemi commun pour l'unité politique de l'Europe, mais le seul ennemi commun qui pourrait exister serait l'islam.» L'actualité européenne de ces derniers mois donne en effet l'impression que dans la plupart des pays membres l'islam est devenu sinon un ennemi, du moins un problème commun (lire les reportages en Allemagne, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas et au Danemark). D'un seul coup, cet espace de tolérance ne supporte plus ce qu'il acceptait il y a encore peu. La Grande-Bretagne, qui a perdu son flegme, ne veut plus qu'on brûle les livres de Salman Rushdie à Bradford, l'Allemagne s'inquiète soudain des prières installées de longue date dans les jardins publics de Mannheim, l'Espagne se met à condamner des imams qui s'inspirent de trop près du Coran. Partout semble décrétée «la fin de la dictature de l'euphémisme», selon la formule du ministre français de l'Intérieur annonçant que nous sommes «en guerre» contre le «djihadisme global».