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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAP : « Israël puni nos dirigeants »Suite au refus israélien de laisser passer l’ancien premier ministre de l’autorité palestinienne Ahmed Qoreï en Jordanie en voiture, des responsables palestiniens affirment que l’état d’Israël est en train de les punir pour leurs positions dans les négociations de paix.
Des soldats de Tsahal qui gardent la frontière entre Israël et la Jordanie ont refusé d’autoriser Qoreï, membre du comité exécutif de l’OLP, de traverser le pont Allenby avec sa voiture, mercredi, et leur a suggéré, à lui et sa femme, de prendre le bus comme les autres voyageurs.
D’autres responsables palestiniens affirment avoir reçu un message disant qu’Israël allait leur refuser les « prestations » auxquelles ils avaient droit dans le cadre des accords d’Oslo.
Le porte-parole Ghassan Khatib appelle cette mesure une « nouvelle étape prise par Israël pour limiter les activités des dirigeants palestiniens. »
Des responsables sécuritaires israéliens ont déclaré mercredi que la décision de refuser l’entrée en Jordanie à Qoreï en voiture a été influencée en partie par ses récentes déclarations contre Israël. « Ces déclarations sont injustifiées et tendancieuses, » a déclaré un responsable.
Qoreï a récemment déclaré que les palestiniens ont beaucoup d’options si les négociations de paix échouaient, y compris la résistance, ce qui signifie, dans le langage palestinien, des attaques terroristes. Des responsables de l’AP ont déclaré que les actions d’Israël sont une punition pour ses positions.
Les palestiniens ne semblent pas comprendre ce que eux-mêmes affirment, si il y a punition, comme ils le disent, c’est qu’il y a eu une action punissable. Et les menaces de Qoreï, en plein processus de paix, méritent effectivement une punition. Il serait toutefois raisonnable de reconnaître que la réponse israélienne à des menaces de meurtres en série est une fois encore, disproportionnée. Finalement, suggérer de prendre le bus, et non pas de le faire exploser comme le suggère Qoreï, est une punition très douce, voir même amusante.
Entre-temps, le ministre de la défense Ehoud Barak a rencontré le chef des renseignements égyptien, Omar Suleiman, pour discuter du processus de paix.
« Suleiman est venu ici en tant que représentant du président Moubarak, dans un effort pour examiner ce qui peut être fait pour sortir de l’impasse dans laquelle se trouvent les pourparlers directs avec les palestiniens, » a déclaré Barak. Articles connexes
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Quel Israël voulons-nous ?
http://www.akadem.org/sommaire/themes/politique/module_8806.php
1949/1967, la Jordanie administra la partie est de la ville, y compris le quartier juif :
-toutes les synagogues, 58 au total, furent saccagées et démolies, dont les grandes synagogues anciennes « Hurva » et « Tiferet Israël », dont les vastes coupoles dominaient le quartier juif,
-les prisonniers juifs de Jérusalem furent décapités et leurs têtes coupées promenées au bout de piques dans la vieille ville,
-le mur « des lamentations », seul vestige du Temple, vénéré par les juifs, fut transformé en dépôt d’ordures,
-les cimetières juifs furent profanés et les pierres tombales anciennes utilisées pour des latrines, etc..
-et l’accès à la vieille ville sous administration jordanienne fut strictement interdit au juifs qui, majoritaires dans la vieille ville avant les combats, en avaient été tous chassés ou massacrés.