Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Encore une prostituée de la politique a des fins personnelles qui n'hésite pas a faire payer par avance ses futurs services a l'AP.
Les paroles de nos prophètes doivent s'accomplir. Nous n'accepteront jamais l'abandon de Jérusalem, Hebron Kever Rachel ni les autres symboles de notre existence par la seule volonté de HM. Devant ces refus, les armées du Nord viendront s'emparer par la force de nos symboles, pour finaliser le projet divin de leur destruction absolue et définitive. La mitzva des juifs , a savoir la dernière a être éclairée par la lumière divine, est celle de jeter leurs cadavres dans la fosse de l'oubli définitif. Arabes et Chrétiens se disputent le droit de détruire le peuple juif. Chacun avec sa surenchère, pour créer un monde a leur manière. Mais ils n'ont pas compris que D n'accepte pas les mondes dont il n'est pas le créateur.

Ces hébergeurs de relents du Nazisme ?

Le gouvernement argentin reconnais la Palestine comme un état libre et indépendant dans les frontières définies en 1967

1. état libre ? de Juifs ? le concept de liberté n'existant pas dans ces sociétés archaiques
2.indépendant ?Dans quel domaine :financier soins de santé
3. "frontières de 67 ?? Ce sont des simples lignes d'armistice, signé a Rhodes en 1949
Tout le monde aura compris que les pétrodollars seoudiens auront encore agi dans ce theatre de marionettes ridicules

revenir à état palestinien de 1967 ?
mais existait-il ?
et nos morts , alors vont-ils revenir ?
ils ont pris un billet en 1967 ... et ils n ' ont pas trouvé de billet de retour ...

et les accords d 'oslo ?

comment abbas , lui le pantin de la ligue arabo-musulmande , ose-t-il remettre en question les acoords d 'oslo , autrement dit le " oui " de yasser arafat " ?

que l ' on nous rende nos morts ... d 'abord ... et puis in chellah !

un état palestinien verra le jour tôt ou tard , le reste c'est du bla ..bla...

Mais, Elabied, vous retardez, mon vieux ; et pas qu'un peu ! Un Etat palestinien existe bien ; et depuis belle lurette : depuis exactement 88 ans. Et vous ne le saviez pas ? ! On vous avait caché ça ! ! Eh oui, cet Etat palestinien, c'est la Jordanie ( anciennement dénommée Transjordanie ).

Mais vous voulez peut-être dire que vous envisagez la création d'un deuxième Etat palestinien ( et 23è Etat arabe ) ? - Alors, là, je crois que vos formules à la docteur Coué sont un peu à côté de la plaque ... Ce n'est pas la bénédiction de l'Argentine ni même celle du Brésil qui vont faire passer le Néant à l'Etre : Mme Cristina Kirchner n'a pas ce pouvoir ; ni même M. Luiz Inàcio Lula da Silva. C'est d'ailleurs pour cela qu'ils se permettent des déclarations dont ils savent bien qu'elles ne mangent guère de pain ... C'est ce qui me fait dire, voyez-vous, que le " bla ... bla " , il est plutôt dans leurs déclarations : " Words ... words ... words ... "

Il y aurait beaucoup à dire sur cette " reconnaissance " ( dont le maître d'oeuvre est, au premier plan, Luiz Inacio Lula da Silva, pour les raisons que donne " Guysen Israel News " : le désir de " Lula " de se voir appointer comme majordome de l'Organisation des Nations de l'Umma ( ONU ) par l'OCI, qui y règne en maître.; Nul doute que Lula ne soit à ce poste un employé encore plus zélé que Ban Ki-Moon ; mais, derrière Lula, ,il faut voir l'ALBA de Hugo Chàvez, c'est-à-dire un organisme qui est maintenant à la solde et à la botte de l'Iran ).

Mais il faut aussi rappeler qu'il y a deux régions du monde où le nazisme avait, dès les années 30, poussé des pseudopodes : le monde arabo-musulman et ... l'Amérique latine. Dans les deux régions, l'antisémitisme avait constitué un puissant vecteur.

Prenons l'Argentine. Mme Cristina Kirchner est, comme l'était son mari et prédécesseur à la Présidence, fortement inscrite dans la tradition péroniste. Or, si se sont produits d'innombrables " golpes " , dans un sens ou dans un autre, s'il y a une chose qui n'a jamais été faite par les milieux politiques et intellectuels argentins, c'est l'analyse critique de ce qu'avait été le péronisme, et notamment de ses liens de toutes sortes avec le nazisme.
Le colonel Juan Domingo Peron et son épouse, la fameuse " Evita " devant laquelle, de nos jours, la gauche européenne tombe en pâmoison, admiraient le nazisme ( et " Evita " a pris une part importante dans l'accueil des nazis

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que l'organisation ODESSA s'occupait de mettre à l'abri - il n'est pas impossible qu'ODESSA l'ait grassement rétribuée pour cela, les petits cadeaux ne nuisant pas aux convictions profondes ... Cela expliquerait une bonne partie des ressources dont disposait la " Fondation Eva Peron " ).

Dans le péronisme d'après le " golpe " du général Aramburu, en 1955, le " tri " n'a jamais été fait. Le côté populisto-fasciste a toujours existé et été valorisé. C'est un peu comme si, mutatis mutandis, les éléments plébéiens et révolutionnaires que Daniel Guérin avait bien nettement décelés et décrits dans le nazisme, en particulier dans les SA, avaient conservé, dans le péronisme, toute la charge émotionnelle et sociale des années de triomphe du couple Peron et deson régime.

Il ne faut pas s'étonner, après cela, de l'existence, dans les années 50, 60, 70, de groupes antisémites fortement implantés, dans l'armée, dans la police, dans la CGT, dans le parti justicialiste. Des groupes comme la " Garde Restauratrice Antisémite " ou la " Tacuara " . Ces groupes sont très actifs dans le régime de la dictature militaire à partir de 1976.

On comprend que l'actuel ministre de la Défense iranien, Ahmad Vahidi, n'ait pas eu de mal à trouver d'utiles complicités, et jusqu'au plus haut niveau ( notamment Carlos Menem, Président de la République péroniste ), lorsque, en 1994, il organisa un attentat contre le Centre Communautaire Juif de Buenos Aires ( plus de 80 morts et de 200 blessés )

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( Il est d'ailleurs à noter que Carlos Menem se situait à la charnière de différents groupes et courants : péronisme historique ; milieux de l'immigration arabe ; maffia ... )

Pour le Brésil, là non plus - et notamment du fait que le Brésil se retrouvait " du bon côté " en 1945, allié précieux ( le minerai de fer ) des Etats-Unis en guerre - letravail de clarification n'a jamais étév fait dans l'héritage laissé par un autre caudillo populisto-fasciste, Getulio Vargas. Rappelons que Vargas était violemment antisémite et qu'il avait donné des ordres stricts pour que les ambassades et consulats brésiliens ne délivrent aucun certificat de complaisance aux juifs persécutés ( ce fut l'honneur de celui qui est peut-être le plus grand écrivain brésilien du XXè siècle, Joao Guimaraes Rosa, vice-consul à Hambourg de 1938 à 1942, d'avoir, avec son épouse Aracy, enfreint ces consignes : tous deux sont Justes des Nations ).

Après la Seconde Guerre Mondiale, le Brésil connaît bien des vicissitudes politiques, mais le " gétulisme " continue d'inspirer des partis de gauche notamment, comme le puissant parti travailliste.

Je connais moins encore le cas de l'Uruguay ; mais, dans ce pays aussi existe, dans certains secteurs de l'armée notamment, une forte tradition antisémite.

Il faut noter ceci : de même qu'en Asie les Etats-Unis avaient, pour faire barrage au communisme, misé sur l'Islâm et, souvent sur les pires d'entre les pires islamistes ( par exemple,

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sur Gulbuddin Hekmatyâr en Afghanistan ), de même, en Amérique latine, ils n'ont pas hésité à s'allier, dans le même but ( faire barrage au communisme ) avec les pires bandes de l'extrême-droite ... et à protéger d'anciens nazis ( Klaus Barbie, par exemple ) qui pouvaient " rendre des services " contre le communisme et ses alliés réels ou fantasmés.

Où veux-je en venir ? - A ceci : le " ménage " , le tri n'a jamais été fait, en Amérique latine ( pas plus que dans le monde arabo-musulman ), dans la grande marmite populiste. ;Le nazisme y avait laissé des germes puissants, qui s'y sont développés et qui fusionnent maintenant avec des formes et des configurations nouvelles, dominées par la présence très forte de l'immigration arabe et, maintenant, de l'Iran.