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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL’histoire derrière les fuites parues sur Al JazeeraComment a eu lieu la fuite de documents sur les négociations de paix ? Pourquoi maintenant et par qui ? Le journal britannique The Guardian, qui a coopéré avec Al Jazeera dans la publication des documents, a illustré les tensions entre les négociateurs palestiniens dans le but de préciser les raisons pour lesquelles l’information a été divulguée sans exposer ceux à l’origine de la fuite.
Les 1 600 documents confidentiels qui ont été divulgués par Al Jazeera couvrent 10 années de négociations de paix entre Israël et les palestiniens, de l’échec du sommet de Camp David en 2000 à des discussions privées tenues l’année dernière, impliquant des hauts responsables et politiciens de l’administration Obama.
Le journal britannique a dit que la plupart des documents parlent des pourparlers tenus ces dernières années, avant la conférence de paix d’Annapolis qui s’est tenue fin 2007. Les documents, notes et traductions ont été établis par l’unité de soutien de l’équipe de négociation palestinienne (NSU), une équipe qui est la principale source des sauvegardes techniques et juridiques de la partie palestinienne. D’autres documents se rapportent aux négociations menées entre l’autorité palestinienne et les appareils sécuritaires américains et britanniques.
The Guardian a expliqué que les documents lui ont été divulgués au cours d’une période s’étalant sur plusieurs mois, depuis un certain nombre de sources.
Le journal britannique a présenté certains documents à des éléments impliqués dans les pourparlers de paix, ainsi que des éléments diplomatiques et sécuritaires pour vérifier leur fiabilité.
La NSU est une partie officielle de l’OLP basée à Ramallah, et fonctionne en dessous du négociateur en chef palestinien, Saeb Erekat. La NSU reçoit des fonds du Royaume-Uni et est aidée par des éléments américano-palestiniens.
Le journal note que dans le cas d’une rencontre en tête à tête entre les dirigeants palestiniens et israéliens, en particulier entre le président Mahmoud Abbas et le premier ministre Ehoud Olmert, les fonctionnaires de la NSU n’étaient pas présents, mais les rapports sur les résultats de la rencontre ont souvent été donnés plus tard à l’unité.
Le journal britannique a révélé trois personnages clés : l’avocat arabo-américain Zeinah Salahi, l’avocat franco-palestinien Ziyad Clot, auteur d’un livre sur les négociations intitulé « Il n’y aura pas d’état palestinien, » et Rami Dajani, qui travaille pour Tony Blair dans son rôle d’envoyé du Quartet au Proche Orient.
The Guardian a noté que le rôle de la NSU dans les négociations a provoqué des tensions entre les dirigeants de l’AP et des responsables. Pendant ce temps, le mécontentement parmi le personnel de la NSU a augmenté, alors que les négociations étant de plus en plus considérées comme ayant échouées, et la direction palestinienne basée à Ramallah a perdu sa légitimité. Cela a causé le départ de nombreuses personnes de la NSU. Il y avait également un mécontentement général dans l’organisation quant à la nature et la proportion des concessions faites dans les négociations.
Le journal a indiqué que certains dirigeants du Fatah sont susceptibles d’accuser Al Jazeera d’avoir un programme anti-AP qui, selon eux, bénéficiera à ses rivaux du Hamas, soutenus par l’Iran, comme cela est indiqué dans les commentaires critiques sur la chaîne qui sont déjà repris dans les documents eux-mêmes. Ila a souligné que les documents ont été rédigés de manière à supprimer les détails tels que les adresses email, numéros de téléphone ou autres informations qui pourraient identifier ceux qui sont à l’origine des fuites.
Le rédacteur en chef du Guardian, Alan Rusbridger, a déclaré que la publication des documents avait pour but d’assurer la disponibilité des contenus.
« The Guardian a authentifié la majeure partie des documents de façon indépendante, mais nous n’avons pas demandé ou obtenus l’accès aux sources de ces documents, » a-t-il dit.
Il a également noté : « au cours de notre travail de plusieurs semaines sur les documents, The Guardian a formé son propre jugement sur des histoires particulières et conservé le contrôle éditorial complet de sa couverture. » Articles connexes
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Quant au christianisme - sauf si l'on joue sur les mots ( il est certain que ce qu'on appelle Turquie ne portait pas ce nom avant l'invasion turque, vers l'an mil, en gros : le terme " Turquie " apparaissant un siècle plus tard ) - il est largement né dans les communautés juives hellénisées d'Asie mineure : celui que l'on peut considérer comme son fondateur, Paul ( Shaul ) de Tarse appartenait à l'une de ces communautés. Il était juif et connaissait les langues religieuses juives ( hébreu et araméen ) mais sa langue maternelle était le grec.
Vous savez que le mot " Christos " est la traduction grecque approximative de " Mashia'h " ( " Messie " ), Yeshua se disant tel ( et étant considéré comme tel par ses disciples ). Quant au mot " chrétien " , il semble qu'il soit apparu, au Ier siècle de l'ère vulgaire, à Antioche, en Syrie par conséquent.
J'ajoute que l'Asie mineure était la contrée la plus profondément christianisée de l'empire romain ( avec l' " Afrique " , c'est- à-dire, en gros, l'actuelle Tunisie et l'est de l'Algérie d'aujourd'hui ) et que les premiers conciles - les conciles importants, fondateurs : ceux qui ont fixé la croyance, la doctrine, l' " opinion droite " ( " orthè doxa " ) - de l'Eglise catholique se sont tous tenus en Asie mineure : Nicée, Constantinople, Ephèse, Chalcédoine
Quant à l´article que nous commentons, attendons de connaitre l´implication des partis israéliens.
l'Ingèrence Britannique!!il's se mettent leur ne par tout!!
HIER APRES MIDI vers 14h30 SUR ELJAZIRA LE COMMENTATEUR A DIT CLAIREMENT QUE LE FILS DE MOUBARAK SON EPOUSE ET SES ENFANTS ETAIENT ARRIVES EN AVION PRIVE A LONDRES
L’information a été démentie par le consulat égyptien de Grande-Bretagne, précise le journal britannique qui ajoute que le ministère de l’intérieur britannique s’est refusé à tout commentaire.
Par ailleurs, des folles rumeurs circulent sur Facebook et parlent le décès du Raïs qui aurait succombé à une attaque cardiaque. Ce qui aurait poussé son fils Gamal à quitter le pays dans la précipitation.
Au fait, merci Edmond pour votre commentaire rectificateur: Antioche serait dans l´actuelle Syrie, toutes mes excuses.