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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa Maison Blanche nie que le discours d’Obama a été divulguéLa Maison Blanche a démenti mardi comme « complètement fausses » les informations selon lesquelles un projet de discours du président américain Barack Obama sur le Proche Orient, demandant à Israël de revenir aux frontières de 1967, avait été montré à des responsables israéliens.
Yedioth Ahronoth avait annoncé mardi qu’Obama classifierait les implantations d’ « illégales » et demanderait à Israël de revenir aux frontières de 1967, avec des ajustements frontaliers négociés, lors de son discours prévu pour jeudi. Le rapport disait que c’était le message qui avait émergé des discussion que le nouveau conseiller nationale à la sécurité, Yaakov Amidror, et son prédécesseur, Uzi Arad, avaient tenues à Washington ces dernier jours avec le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Tom Donilon. Le rapport disait qu’Amidror et Arad avaient demandé que des modifications soient apportées au projet de discours d’Obama.
« Nous n’avons pas partagé un projet de discours avec quiconque en dehors de l’administration, » a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney, lors d’une conférence de presse. Carney ne précise pas si Obama parlera des frontières de 1967 dans le discours, et n’a voulu donné aucun détail à ce sujet.
Amidror a rejeté lui aussi sans équivoque le rapport lors d’une interview sur la radio de l’armée, mardi, disant que le discours d’Obama « n’a pas été soulevé lors des réunions entre moi et le conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis, pas plus qu’avec ses collaborateurs. Pas d’une manière ou d’une autre, » a-t-il dit.
L’ambassadeur aux Etats-Unis, Michael Oren, a déclaré mercredi à la radio de l’armée qu’il avait aussi été présent à ces réunions, et que le discours d’Obama n’avait pas été discuté.
Des sources à Washington, entre temps, s’attendent à ce qu’Obama prenne un ton sans confrontation vis-à-vis d’Israël dans son discours sur le Proche Orient de jeudi, ainsi que lors de sa rencontre avec le premier ministre Benyamin Netanyahou.
Il y a peu d’espoir que Barack Obama se risque à rentrer dans les détails du processus de paix israélo-palestinien, et encore moins de répondre aux questions controversées sur le statut final.
Au lieu de cela, des sources à Washington estiment que la Maison Blanche fera un recadrage de la formule que la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton a longtemps utilisé comme base pour résoudre le conflit.
« Nous pensons que via des négociations de bonne foi les parties peuvent s’entendre sur un résultat qui mettrait fin au conflit et propose un état palestinien indépendant et viable basé sur les lignes de 1967, avec des échanges convenus, et donnerait à l’état juif des frontières sures et reconnues qui reflètent les développements ultérieurs et répondent aux exigences de sécurité d’Israël, » a dit Clinton en 2009, après l’annonce par Netanyahou d’un gel partiel des constructions en Judée Samarie. Articles connexes
90 commentaires
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J'étais hier soir à une conférence de Guy Millière donnée à Ashdod.
Celui-ci nous as donné quelques informations intéressantes sur le parcours d'Obama et sur son idéologie:
* Il pense que le monde va mal parce que les USA sont trop forts, d'où sa politique intérieure qui vise à DIMINUER l'influence des Etats-Unis;
* Sur le plan international, sa politique consiste à amoindrir les Etats amis des USA, et à favoriser les étas qui s'opposent à son pays. D'autre part, il pense que nous (Israel) sommes la cause de bien des problêmes, et donc, qu'il faut que nous disparaissions.
Je vous invite à lire ce livre de Millière: La résistible ascension de Barack Obama, L'APART DE L'ESPRIT, 2010.
C'est tout simplement ahurissant !!!
Enfin, lors des réponses aux questions du public, il nous indique sa conviction qu'en Europe, les choses vont très mal.
Cordial shalom d'Ashkelon.
L'onu ne sert qu'à entériner des idées stupides... Il ne faut pas s'en trop soucier.
Julia,
Obama peut dire ce qu'il veut... Pour l'instant il est un peu paralysé par sa campagne. Il faut lui répondre "à la niche !".
Ayeh ?, Ayeh,? Ayeh,?