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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientObama : « on ne peut pas s’attendre à ce qu’Israël négocie avec le Hamas »On ne peut pas s’attendre a ce qu’Israël négocie avec le Hamas, a déclaré le président américain Barack Obama à la conférence annuelle de l’AIPAC dimanche. La conférence se tient à Washington en présence de 10 000 personnes.
« On ne peut attendre d’aucun pays de négocier avec un groupe terroriste qui vise sa destruction, » a dit Obama en se referant au récent accord d’union entre le Hamas et le Fatah.
Obama a également appelé le Hamas à libérer le soldat israélien retenu en otage, Guilad Shalit.
« Nous appelons le Hamas à libérer Guilad Shalit, qui a été tenu éloigné de sa famille pendant cinq longues années, » a-t-il déclaré.
« Nous devons reconnaître que l’échec d’essayer n’est pas une option, » a poursuivi Obama. « Le statu quo n’est pas viable. »
« C’est précisément du fait de notre engagement à la sécurité d’Israël que nous avons avancé la paix entre Israël et les palestiniens, » a déclaré Obama à la conférence.
« Le lien entre Israël et les Etats-Unis est incassable et notre engagement à la sécurité d’Israël est à toute épreuve, » a poursuivi Obama. « Tant en paroles qu’en actes, nous avons été inébranlables dans notre appui a la sécurité d’Israël. »
« Ne vous méprenez pas, nous allons maintenir la supériorité militaire qualitative d’Israël, » a-t-il dit.
Le discours d’Obama vient trois jours après qu’il ait donné un des discours les plus important au sujet d’Israël depuis ses deux années au poste de président. Suite aux critiques sur son plan pour les futures frontières d’un état palestinien, qui seraient basées sur les lignes d’avant 1967, Obama a déjà changé de ton dimanche. Dans une interview à la BBC, le président américain a déclaré que « les conditions sur le terrain ont changé, et il y aura besoin d’échanges pour concilier les intérêts des deux parties, » reflétant le langage utilisé par les dirigeants israéliens qui disent que des ajustements devront êtres faits à la ligne de 1967 pour inclure les larges blocs d’implantations qui comprennent des centaines de logements pour des milliers d’israéliens.
Les juifs américains et les responsables de l’AIPAC ont spéculé ces derniers jours disant que le discours du président américain pourrait recevoir un accueil plutôt froid de la part des personnes présentes à la conférence du principal lobby pro-israélien. « Obama a de bonnes raisons de s’inquiéter d’une mauvaise réception lors de son discours du très pro-israélien AIPAC ce dimanche, » a écrit Tevi Troy, ancien chargé de liaison juif lors de la présidence de George W. Bush, sur son blog National Review Online.
L’AIPAC espère que le président américain Barack Obama va profiter de l’occasion de son discours devant le lobby pro Israël pour adopter une approche plus conciliante envers Israël que lors de son discours sur le Proche Orient, jeudi, a déclaré l’ancien porte-parole du groupe, Josh Block, lors d’une interview avec la radio de l’armée dimanche.
« Le président serait judicieux de profiter de l’occasion pour pleinement expliquer et préciser ce qu’il entendait dans son discours de jeudi, » a déclaré Block, faisant allusion aux propos controversés d’Obama dans lesquels il a déclaré qu’un futur accord de paix doit être fondé sur les lignes de 1967 avec un accord sur des échanges de terres. Articles connexes
166 commentaires
| Membre Juif.org
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Il y a 37 minutes - Juif.org
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Il y a 30 minutes par Claude_107
Il y a 12 heures par Blaise_001
11 Mai 2025 par Claude_107
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27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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Dernière mise à jour, il y a 18 minutes
mais ce la est Tout à fait Comprehensible dir NON!!!
-entre nous!! serieusment il y'a un ou une qui attandu un quelconque "oui" sur cette question!?
j'ai le sentiment que la frontière du 67 ce déjà fait o "non"
Le contenu réel du « processus de paix » israélo-palestinien
La chaîne publique qatarie Al-Jazeera est entrée en possession de l’ensemble des documents produits par l’Autorité palestinienne au cours d’une décennie dans le cadre du prétendu « processus de paix ». Elle les a transmis au Guardian qui les a authentifiés. Il font à la fois apparaître l’ampleur de cette farce et le rôle occulte et permanent des services secrets britanniques. Nous reproduisons l’article qu’y a consacré le Guardian.
25 janvier 2011
Pays
Palestine/Israël
La plus grande fuite de documents confidentiels dans l’histoire du conflit du Proche-Orient a révélé que les négociateurs palestiniens avaient secrètement convenu d’accepter l’annexion par Israël de toutes les colonies construites illégalement à Jérusalem-Est occupée à l’exception d’une seule.
Cette proposition sans précédent n’est que l’une d’une série de concessions susceptibles de provoquer une onde de choc chez les Palestiniens et dans le reste du monde arabe.
Des milliers de pages de documents palestiniens confidentiels couvrant plus d’une décennie de négociations avec Israël et les États-Unis ont été obtenues par Al-Jazeera TV et partagées en exclusivité avec le Guardian. Ces documents fournissent un aperçu extraordinaire et vivant sur la désintégration d’un processus de paix vieux de 20 années, qui peut maintenant être considéré comme mort.
Les documents —dont beaucoup seront publiés par le Guardian dans les prochains jours— révèlent également :
• L’ampleur des concessions confidentielles offertes par les négociateurs palestiniens, y compris sur la question très sensible du droit au retour des réfugiés palestiniens.
• Comment les dirigeants israéliens ont demandé en privé que certains citoyens arabes soient déportés dans un nouvel État palestinien.
• Le caractère très étroit de la coopération secrète entre les forces de sécurité israéliennes et l’Autorité Palestinienne.
• Le rôle central des services de renseignement britanniques dans l’élaboration d’un plan secret visant à écraser le Hamas dans les territoires palestiniens.
• Comment les dirigeants de l’Autorité Palestinienne (AP) ont été informés en privé au sujet de la guerre menée par Israël à Gaza en 2008-2009.
De même que l’annexion de toutes les colonies de Jérusalem-Est à l’exception d’Har Homa, les documents palestiniens montrent que les dirigeants de l’OLP ont, en privé, suggéré d’échanger une partie de Sheikh Jarrah, quartier arabe très sensible de Jérusalem-Est, contre des terrains situés ailleurs.
Sujet encore plus controversé : ils ont également proposé qu’un comité conjoint prenne en charge les lieux saints d’Haram al-Sharif/Mont du Temple dans la vieille ville de Jérusalem —question névralgique qui avait contribué à couler les pourparlers de Camp David en 2000 après que Yasser Arafat ait refusé de concéder la souveraineté autour du Dôme du Rocher et des mosquées d’al-Aqsa—.
Ces offres ont été faites en 2008-2009, dans la foulée de la Conférence d’Annapolis organisée par le président George Bush, et ont été saluées, en privé, par le négociateur en chef palestinien Saeb Erekat, comme offrant à Israël « le plus grand Yerushalayim (nom hébraïque de Jérusalem) de l’histoire » afin de résoudre le conflit le plus insoluble du monde. Les dirigeants israéliens, soutenus par le gouvernement des États-Unis, ont déclaré que ces offres étaient insuffisantes.
Les efforts intensifs de l’administration Obama pour relancer les pourparlers ont échoué l’an dernier à la suite du refus d’Israël de prolonger de 10 mois le gel partiel de la construction de colonies. Dans un contexte où la « solution à deux États » apparaît de plus en plus irréalisable, et où l’on craint une Dominique Gaston André Strauss-Kahn guerre, les perspectives sont désormais incertaines.
La plupart des 1 600 documents divulgués —rédigés par des fonctionnaires de l’AP et par des juristes travaillant pour l’Unité de soutien aux négociations de l’OLP financée par les Britanniques et qui comprennent de très nombreux compte rendus de réunions privées— ont été authentifiés de façon indépendante par le Guardian et corroborés par d’anciens participants aux pourparlers et par des sources des milieux diplomatiques et du renseignement.
La couverture par le Guardian est complétée par des cables WikiLeaks, émanant du consulat des États-Unis à Jérusalem et de l’ambassade des Etats-Unis à Tel-Aviv. Les responsables israéliens ont également conservé leurs propres compte rendus des pourparlers, qui peuvent différer des compte rendus confidentiels palestiniens.
La concession faite en mai 2008 par les dirigeants palestiniens pour permettre à Israël d’annexer les colonies à Jérusalem-Est —y compris Gilo, qui est aujourd’hui au centre des controverses après que les autorités israéliennes aient donné leur feu vert à 1 400 nouveaux logements— n’avait jamais été rendue publique auparavant.
Toutes les colonies construites sur les territoires occupés par Israël lors de la guerre de 1967 sont illégales en vertu du droit international, mais les maisons de Jérusalem sont régulièrement décrites, et perçues, par Israël comme des « quartiers » municipaux. Les gouvernements israéliens ont toujours cherché à annexer les colonies les plus importantes dans le cadre d’un accord de paix —et ils ont été sur le point d’y parvenir à Camp David—.
Erekat a dit aux dirigeants israéliens en 2008 : « C’est la première fois dans l’histoire israélo-palestinienne qu’une telle suggestion est officiellement faite. » Aucune concession de ce genre n’avait été faite à Camp David. Mais l’offre a été rejetée d’emblée par Israël parce qu’elle ne comprenait pas une grande colonie près de la ville de Ma’ale Adumim de même qu’Har Homa et plusieurs autres colonies plus à l’intérieur de la Cisjordanie, y compris Ariel. « Nous n’aimons pas cette suggestion car elle ne répond pas à nos exigences, » a répondu aux Palestiniens Tzipi Livni, alors ministre des Affaires étrangères d’Israël, « et sans doute il n’a pas été facile pour vous d’y penser, mais je l’apprécie vraiment ».
L’impression générale qui se dégage de ces documents, qui s’étendent de 1999 à 2010, est celle de la faiblesse et du désespoir croissant des dirigeants de l’AP, alors que leur échec à parvenir à un accord, ou même à stopper temporairement la colonisation, sape leur crédibilité par rapport à leurs rivaux du Hamas ; les documents révèlent aussi la confiance inébranlable des négociateurs israéliens et l’attitude souvent hautaine des politiciens états-uniens envers les représentants palestiniens.
Les responsables israéliens aussi bien que palestiniens soulignent que toute position prise dans les négociations est soumise au principe selon lequel « rien n’est convenu tant que tout n’est pas convenu » et donc n’est pas valide sans un accord global. Mais les dirigeants de l’AP risquent fort d’être embarrassés par la révélation des concessions qu’ils ont faites en privé et qui vont bien au-delà de ce que la majorité de leur peuple considèrerait comme acceptable —d’autant plus que le mandat de Mahmoud Abbas comme président palestinien a expiré en 2009—.
L’Autorité Palestinienne, mise en place comme une administration de transition après l’accord d’Oslo de 1993 entre Israël et l’OLP, est sous la pression du mécontentement de l’opinion palestinienne et du Hamas, le mouvement de résistance islamique. Le Hamas a remporté les élections palestiniennes en 2006 et contrôle la bande de Gaza depuis sa prise du pouvoir en 2007.
Contrairement à l’OLP, le Hamas rejette les négociations avec Israël, sauf pour un cessez-le-feu à long terme, et refuse de le reconnaître. Sa charte fondatrice contiendrait des éléments antisémites. Soutenu par l’Iran et la Syrie, il est sanctionné comme organisation terroriste par Israël, les États-Unis et l’Union Européenne, malgré les pressions pour qu’il soit inclus dans un processus politique plus large.
l ' âge d ' or musulman va-t-il réussir à s 'imposer grâce au laxisme destructeur de la communauté internationale ?
comment se serait déroulait le pourvoi de la part terrestre revenant à ce " foyer pour le peuple juif ?" lors de la donnation d 'un côté pour le peuple arabe , et de l 'autre pour le peuple juif ... 126.400 km2...e n ' est pas rien par rapport à 26.400 km2 ( 20.000 km2 pour israêl et 6.400 km2 pour les palestiniens , n 'est-ce pas ? )... car la palestine de 126.400 km2 aurait été partagée entre ces deux peuples ... même au prorata ...autrement dit israël aurait eu droit à 126.400 km 2 à diviser par deux , soit 63.400 km km2 , pour israël et 63.400 km2 pour les arabes vivant en palestine , ce qui veut dire que l 'angleterre a fauté ... elle a bel et bien outrepassé son mandat , un mandat qui ne lui permettait pas de céder une terre qui ne lui a jamais appartenu , pour faire plaisir au roi d 'arabie d 'alors ... qu ' on le veuille ou non l ' angleterre connaissait la loi Balfour de 1917 , alors que la jordanie n 'était même pas mentionnée pour ce cadeau mirifique cedée par l ' angleterre au roi abdallas n°1, d 'une terre qui ne lui appartenait pas...
obama se doit de convoquer une assemblée générale de l ' onu pour dénoncer le comportement de l 'angleterre et rectifier le tir !
Envoyé par Jacques_079 - le Lundi 23 Mai 2011
boker tov Jacques
Je n'ai pas beaucoups de temps en ce moment , mais je voulais prendre la peine de repondre à ton post pour te dire que tu as tout à fait raison, et qu'il faudrait meme commencer par la pour retablir un peu la situation geopolitique, car finalement c'est bien nous qui somme volés dans cette histoire. Donc tout accord de paix devrait passer par une revision du partage de la region et la remise en cause de tous les accords violé depuis 1917