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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe Hamas insatisfait par l’ouverture du passage de RafahUne guerre des mots a éclaté entre l’Egypte et le Hamas, quatre jours seulement après la première ouverture du passage de Rafah entre Gaza et le Sinaï.
L’agence de presse palestinienne Maan a déclaré mardi soir que chacune des parties accuse l’autre d’avoir omis de fournir un système qui permettrait aux résidents palestiniens de Gaza de franchir la frontière.
Le Hamas affirme que l’Egypte a seulement permis aux gens de traverser samedi, lorsque le passage a été ouvert, et les leaders terroristes de Gaza examinent cette défaillance de la part de l’état de s’acquitter de ses obligations. Ils accusent également les gardes-frontières d’interdire de manière arbitraire le passage aux habitants de Gaza.
Mais des responsables sécuritaires en Egypte ont déclaré à Maan que leur état a favorisé de manière sans précédente les services aux palestiniens, et que l’Egypte a « tenu tête à Israël afin d’ouvrir le passage de Rafah pour de bon. »
Une source anonyme a dit à l’agence de presse palestinienne que certains palestiniens ont été empêchés d’entrer en Egypte en raison de « problèmes sécuritaires », ce qui implique qu’ils sont sur une liste noire reprenant les terroristes ou qu’ils soient liés à la contrebande via les tunnels.
Maan a dit que la liste des personnes interdites de passage contient environ 5000 noms, et que les dirigeants égyptiens ainsi que les dirigeants du groupe terroriste Hamas se réuniront bientôt pour discuter de son impact. L’agence de presse ajoute que le passage ne fonctionne actuellement pas à son plein potentiel en raison d’un manque d’équipements sécuritaires.
Les deux parties ont déjà tenu une réunion afin de discuter de l’effet de l’ouverture de la frontière. Les rapports indiquent qu’ils ont décidé de permettre à 400 personnes de traverser chaque jour, leur nom devant être donné un jour à l’avance. Toute personne malade qui souhaite traverser doit accepter d’être contrôlé par un médecin égyptien avant d’entrer dans le pays.
Entre-temps, le ‘premier ministre’ du Hamas, Ismail Haniyeh, a appelé tous les habitants de Gaza se rendant en Egypte à « respecter sa sécurité et sa souveraineté ». Il a dit qu’il ne permettrait pas que la sécurité de l’Egypte soit touchée.
« Nous insistons devant nos frères égyptiens que votre sécurité est notre sécurité, et votre stabilité est notre stabilité, pour la levée du siège, la libération de la terre et le retour des droits, » a dit Haniyeh, félicitant l’Egypte pour l’ouverture de passage, malgré la pression d’Israël et des Etats-Unis. Articles connexes
25 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 54 minutes
-et les plusparts se revinnent avec des caisses des munitions!!
Heureux pour " la " population ? ... Laquelle, au juste ? - Celle de Sdérot, ou celle d'Ashkelon, qui risquent de se chopper des missiles encore plus performants ,introduits à Gaza grâce à " cette libre circulation " ? ...
"À la fin du conflit israélo-arabe de 1948, la bande de Gaza est occupée par l'Égypte. Le territoire voit l'arrivée d'environ 170 000 réfugiés installés dans huit camps. En 1950, la population est de 254 000 habitants."
"Les frontières actuelles de la bande de Gaza résultent des lignes d'armistice de 1949. Ces accords établissent que les frontières résultent exclusivement de considérations militaires dans le cadre de l'armistice et qu'elles n'entérinent aucun changement sur les statuts des territoires concernés"
" À la fin du conflit israélo-arabe de 1948, la bande de Gaza est occupée par l'Égypte. Le territoire voit l'arrivée d'environ 170 000 réfugiés installés dans huit camps. En 1950, la population est de 254 000 habitants.
" La bande de Gaza n'est pas annexée par l'Égypte, à la différence de la Cisjordanie occupée par la Transjordanie en 1949 dans les mêmes circonstances, et annexée en 1950. L'administration de ce territoire est contrôlée par l'armée égyptienne. La citoyenneté égyptienne n'est pas non plus proposée aux habitants de la bande de Gaza, ni aux réfugiés."
" En 1956, quand Israël intervient dans la crise du canal de Suez en soutien de l'opération anglo-française contre l'Égypte, l'armée israélienne s'empare de la Bande de Gaza et de la péninsule du Sinaï. Les pressions des superpuissances (États-Unis et Union soviétique) conduisent au retour d'Israël derrière ses frontières de 1949, et au retour de l'administration égyptienne sur Gaza."
Envoyé par Arturo
bon jour,
je crois sans être sure que il faut que le Égypte assume la paternité de gaza ! ils lâchent les enfants que ne veulent pas reconnaitre comme tel, des citoyens de la république islamique de l'Égypte. En fait gaza est un cheval troyen donné de cadeaux par les égyptiens. j'ai le sentiment que il faut ce préparer pour la guerre total mais sans perdre de vu une mince et possible paix. Je suis pour décaler gaza de la palestine et ne pas accepter que Gaza rentre dans la république islamique de Palestine ! ce la guerre de la usure psychologique !
Et on dirait que le Égypte bascule vers une dictature militaire islamique et que veule maintenir le statu quoi pour mater la vrais démocratie. Maintent la turquie arrogant
allume encore le feux, la Turquie crois que parce que elle est dans l'Otan qu'elle a le droit a faire son prosélytisme islamique impérialiste ! Et la Europe pourrie et indolent avec du mépris pour la histoire du peuple juifs est comme un roi malade de lui même de avoir avalé le poisson islamiste !
Chalom Jérusalem !