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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL'Iran se dit prêt à parler de son nucléaireUne équipe de hauts responsables de l'ONU chargés du nucléaire pourrait se rendre en Iran en janvier, a déclaré l'ambassadeur de la dictature islamique à l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Ali Asghar Soltanieh a déclaré jeudi que l'Iran avait renouvelé une invitation pour qu'une équipe de l'AIEA se rende à Téhéran, et il a suggéré que les responsables iraniens seraient prêts à discuter des préoccupations internationales au sujet de son programme nucléaire. Des dispositions préliminaires à cette visite seront prises dans la première semaine de janvier, a-t-il dit. "N'importe quand après cela, après que la composition de l'équipe soit finalisée, ils sont les bienvenus pour venir. C'est pourquoi je suppose que cette visite sera peut-être faite en janvier," a déclaré Soltanieh. Cette dernière "ouverture" de Téhéran vis-à-vis de l'agence onusienne, qui exhorte depuis longtemps les iraniens à régler les différends au sujet de son programme nucléaire, coïncide avec une aggravation des sanctions internationales imposées à l'Iran à cause de son programme nucléaire. Les diplomates occidentaux ont tendance à voir de telles invitations comme des tentatives de l'Iran de gagner du temps et de réduire la pression internationale sans tenir compte des demandes de l'ONU pour freiner ses activités qui pourraient avoir pour but de construire des bombes nucléaires. Un émissaire occidental a rejeté cette semaine la nouvelle offre de l'Iran pour des pourparlers comme faisant partie d'une "offensive de charme" sans aucune engagement de Téhéran de parler "substance". Les craintes occidentales concernant un programme nucléaire militaire en Iran ont été renforcées par un rapport de l'AIEA paru le 8 novembre qui déclaré que Téhéran semble avoir travaillé à la conception d'une arme nucléaire. Les précédentes visites de responsables de l'AIEA en Iran n'ont pas réussi à faire des progrès significatifs vers la résolution du différend sur le programme nucléaire iranien, un différend qui a le potentiel, vu la nature du régime iranien, d'enflammer toute la région du Moyen Orient. Des inspecteurs de l'AIEA surveillent les sites nucléaires que l'Iran a déclaré, mais leurs mouvements sont par ailleurs limités. Articles connexes
81 commentaires
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ISRAEL SERAIT SUREMENT LE PREMIER visé les bases américaines dans la region la flotte navale américaine voir israelienne l arabie séoudite et ses champs petroliferes incendiés bombardés a coup de missiles destabilisation quatar barein agitation generalisée des arabes et chites du monde
Apocalictique ?????ou laisser se mettre en place des maitres chanteurs possedant l arme atomique
la est le dileme mondial MERCI MONSIEUR LE PRESIDENT GISCAR D ESTAING QUI A PERMIS DE S INSTALLER A NAUPHLE LECHATEAU ET DESTABILISER L IRAN A TRAVERS LAYATOLAH KOMENI
LA FRANCE PRENDS PARFOIS POUR NE PAS DIRE SOUVENT DES DECISIONS DE NATURE A DESTABILISATIONS QUE CE SOIT EN AFRIQUE AU MAGREB ETC....
Envoyé par Moshé_007 - le Mercredi 21 Décembre 2011 à 23:08
Boker tov lekoulam...
Oui Moshé tu as tout à fait raison c'est ce que j'expliquai il y a deux semaines passée, en parlant de surprises.
Il y a meme eu un petit article qui n'a fait que passer concernant la technologie laser individuelle.
nucleaires l'iran dispose maintenant, et surtout le contre attaquer de l'iran sur Israel.
shalom
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vendredi 23 décembre 2011, par Israël , par Knesset , par État , par Juif
Le Parlement israélien doit prochainement débattre d’un projet de loi qui définirait Israël comme un "Etat juif". Un projet qui isolerait un peu plus les citoyens arabes de ce pays et tendrait encore davantage les relations avec l’Autorité palestinienne.
C’est le débat qui échauffe les esprits en Israël : doit-on parler d’un Etat juif plutôt que de l’Etat d’Israël ? Un Etat peut-il être juif et démocratique ? Le Premier ministre Benyamin Netanyahou et ses alliés de l’extrême droite, emmenée par le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman, tentent d’imposer ce nouveau vocabulaire à leurs partenaires internationaux. Le parlement israélien (Knesset) a pour sa part été saisi d’une proposition de loi qui définirait de façon plus stricte la notion d’Etat juif en l’inscrivant dans la Constitution : l’arabe ne serait plus langue officielle et la loi hébraïque servirait de source d’inspiration au législateur.
En acceptant un plan de partage de la Palestine en 1947, l’ONU avait présidé à la création d’Israël comme un Etat pour les juifs, où les droits de la minorité arabe seraient préservés. Parler d’un Etat juif est de nature à changer l’identité d’Israël. La judéité devenant consubstantielle à l’Etat, quelle place sera dès lors faite aux non-juifs ?
La polémique fait rage dans la presse israélienne. Certains commentateurs parlent de guerre culturelle, d’autres du risque de voir leur démocratie virer à la théocratie. La question rebondit au sein de la "diaspora juive". Même les plus ardents défenseurs d’Israël aux Etats-Unis sont soudain pris d’un doute. "Quand on vote des lois qui étouffent la liberté d’expression, cherchent à diminuer l’indépendance du système judiciaire et, au nom de la défense d’un Etat juif, tentent de réduire les droits des Arabes et d’autres minorités, alors le caractère véritablement démocratique s’érode", écrit Abraham Foxman, le président de l’Anti-Defamation League [association américaine de défense des juifs].
Il n’est plus un débat sur l’avenir d’Israël ou de la Palestine sans que la question soit posée. Le mois dernier, à l’Université de Tel-Aviv, lors d’un colloque organisé par l’Institut des études sur la sécurité nationale (INSS), plusieurs représentants palestiniens dénonçaient cette manœuvre du gouvernement pour éviter de négocier une solution à deux Etats. "Maintenant que nous avons reconnu un Etat israélien, le pouvoir israélien veut que Mahmoud Abbas (président de l’Autorité palestinienne) reconnaisse un Etat juif. Cela veut dire quoi ? C’est quoi un Etat juif ? C’est quoi un juif ? Pourquoi pas un Etat sioniste ou un Etat ultraorthodoxe ? Ce n’est pas notre affaire", s’est emporté Sufian Abu Zaydeh, ancien ministre des Prisonniers de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
Le directeur de l’INSS, l’ancien ambassadeur Oded Eran, a répondu : "Certes, vous reconnaissez Israël. Mais du fait des évolutions démographiques, cela pourrait tourner en quelque chose d’autre. Ce que le gouvernement n’a pas dit, et je le regrette, c’est qu’il faut parler d’un Etat juif qui garantisse les droits de la minorité des 20% d’Arabes." L’idée d’Etat juif répond à une angoisse existentielle. Beaucoup d’Israéliens pensent que leur légitimité serait renforcée avec cette reconnaissance.
"Ce n’est pas qu’une question de vocabulaire mais d’inquiétude profondément ancrée dans la psyché israélienne", a renchéri l’ancien brigadier général Shlomo Brom, interrogé par Le Temps. "Les Israéliens ont peur de ne pas être véritablement acceptés au Proche-Orient. Les Palestiniens ont accepté le processus d’Oslo pour des raisons pragmatiques. Un jour, ce pragmatisme pourrait devenir autre chose et tout s’effondrera. Dans 50 ans, quand les Israéliens seront plus faibles et les Arabes plus forts, comment les choses vont-elles tourner s’il n’y a pas une réelle acceptation de l’Etat d’Israël ? Le prix d’un accord de paix sera très coûteux, nous devrons déplacer 100 000 colons de Cisjordanie. Cela va déchirer la société israélienne. C’est notre inquiétude."
Israël en danger de paix ? Beaucoup le pensent. Une fois la question palestinienne réglée, la société israélienne, tiraillée par de multiples fractures entre les diverses strates de l’immigration, entre religieux et laïcs, pourrait bien imploser. Parler d’Etat juif est une façon de renforcer la cohésion intérieure. Mais à quel prix ? La journaliste Avirama Golan écrit dans un court essai* que "pour le groupe qui règne aujourd’hui sur Israël, de même qu’il n’existe pas de frontières définies entre Israël et ses voisins et qu’il est possible de garder éternellement des territoires occupés depuis 1967, parce qu’’Israël tout entier appartient aux Juifs’, de même il n’y a plus d’Israéliens. Les Israéliens ont disparu de la scène pour faire place aux ’Juifs’, confrontés, qu’ils le veuillent ou non, aux ’Arabes’. Les ’Arabes’ sont tous ceux qui sont Arabes et, en l’occurrence, leur nationalité est secondaire : israélienne, jordanienne, libanaise, ou palestinienne."
Frédéric Koller
Note :* Espoir d’un printemps israélien, Ed Galaade, 2011
Courrier International
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5 Messages de forum
Israël, quel est ton nom ?
23 décembre 04:08, par S.LEVY
Les arabes ne refusent-ils pas de reconnaître Israel ? Eh bien tant pis pour eux, maintenant il devront avaler ..."République Juive d’Israel"... "The Israel Jewish Republic..."
Yes, "quand les poules auront de dents", et surtout quand Israêl ira en premier au "casse-pipes".
AM ISRAEL HAY
Yes, "quand les poules auront de dents", et surtout quand Israêl ira en premier au "casse-pipes".
AM ISRAEL HAY
"Paroles, paroles, et surtout, tekkya, tekkya, tekkya, comme d'hab.
AM ISRAEL HAY
Viviane, comment, vous insinueriez que les arabes n'ont pas de parole ???
Oui la paix avec les ennemis actuel serait un danger pour nous, nos ennemis ne sont pas de "bon" ennemis, la paix leur servirait à preparer une guerre sans merci contre nous, la fourberie est une des recommandation du coran donc de l'islam, il ne faut jamais l'oublier.
Je prefere donc une situation de guerre potentielle, ou nous pouvons surveiller ceux d'en face qu'une paix illusoire qui mettrait Eretz Israel en grave danger.
Quand à hussein obama, meme si nous attaquons les premiers, je lui fait confiance pour qu'il trouve encore un bon idée de ne pas vouloir entrer dans la dance....
Ce que nous ferrons, nous devrons nous preparer à l'idée qu'il faudra le terminer seul.