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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientDavid Cameron : le temps presse pour la solution de "2 Etats pour 2 peuples"Le Premier ministre britannique a déclaré, lundi, lors d'une rencontre, à Londres, avec Mahmoud Abbas, que "le temps presse pour la solution de 2 Etats pour 2 peuples". "La situation sur le terrain va rendre difficile l'aboutissement à un accord de paix, c'est la raison pour laquelle le dossier des localités juives en Judée-Samarie est essentiel", a souligné Cameron. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 19 minutes
mon père disait toujours en parlant de notre futur pays "LA PALESTINE JUIVE"
il y a tellement d'états arabes et d'arabes dans tous les états non arabe pourquoi leur faut il encore ce minuscule pays sinon pour combattre les juifs.
mon texte est un peu décousu je le sens mais veuillez m'excuser de ne pas me relire
Léa.H.M
RETOUR EN PALESTINE edition David Reinharc C'est un ouvrage qui fait autorité pour comprendre la situation complexe du conflit Israelo-Arabe Vous lirez cher Sir Nick Clegg que ce sont les Anglais qui sont a l'origine
de cette Marmelade, que la Judée Samarie a était annexé par les Jordaniens (Entité créé par les Anglais)
sans aucune autorisation et que la judee samarie est simplement revenu sous l’autorité juive en 1967. Ce territoire na jamais appartenu aux Arabes, les quelques nomades installes dans la région n'ont aucun droit territorial. "Lisez ce livre et vous saurez , si après vous tenez le même discoure Sir Nick Clegg c'est que vous êtes COMPLICE"
en surfant sur le web à la recherche de précisions sur la déclaration Balfour de 1917 je suis tombé sur un site dans le quel Benjamin Freedman fait une déclaration assez étonnante. Je vous invite à la lire et à me dire ce que vous en pensez :
http://cristos.over-blog.com/pages/Discours_de_Benjamin_Freedman_en_1961_sur_le_sionisme-1727022.html
Le vice-premier sinistre ferait mieux de s'occuper de son île qui est devenue une annexe pour tous les terroristes enturbannés de la terre (on se rappelle sûrement le "capitaine crochet" enturbanné qui faisait des discours en plein air dans les parcs londoniens en insultant la perfide albion, et en crachant sur son drapeau).
Les menaces de ce "fondu du bulbe" et ses éructations en tout genre sont passées "comme une lettre à la poste", et les multiples attentats qui ont suivi ses discours incendiaires (métro de Londres, autobus, etc...) ont prouvé combien il était écouté "religieusement" par d'autres tout aussi "fondus du bulbe" que lui.
La perfide albion doit sûrement être maso pour aimer recevoir tant de coups sans broncher. Et ce n'est pas fini les raclées...
AM ISRAEL HAY
Cet article aborde la question du statut des résidents du territoire aujourd’hui appelé Palestine, (inclus dans l’Empire ottoman à partir de 1516) durant la période comprise entre le début de l’occupation anglaise le 9 décembre 1917 et la mise en application de l’Ordonnance sur la citoyenneté palestinienne le 1er août 19251, en matière de droit international.
1 Norman Bentwich, ed., Legislation of Palestine 1918-1925 (Alexandria: Whitehead Morris Limited, 19(...)
2 Richard W. Flournoy, Jr. et Manley O. Hudson, eds., A Collection of Nationality Laws of Various Co(...)
3 La « nationalité » est ici entendue au sens légal du terme et est synonyme de « citoyenneté ». Dan(...)
2Sous la domination turque, conformément à la Loi sur la nationalité ottomane du 19 janvier 18692, les habitants de la Palestine étaient citoyens ottomans. À l’époque, légalement parlant, il n’existait ni Palestine, ni nationalité palestinienne,
Une fois détaché de l’Empire ottoman, le territoire de la Palestine se distingua des pays voisins7. En fait, cette séparation s’opéra tout d’abord entre la Palestine et les « États » arabes nouvellement créés : la Transjordanie (ainsi appelée à l’époque), l’Égypte, la Syrie et le Liban8. Peu de temps après, les frontières de la Palestine étaient reconnues comme permanentes à travers les accords bilatéraux passés avec les pays voisins. Fidèle à la législation internationale établie en 1923 par le traité de Lausanne qui mettait fin à la souveraineté nominale et officielle des Ottomans sur le Moyen-Orient arabe, chacun des quatre pays mettait en place une législation intérieure accordant une nationalité distincte à sa population. Les nationalités de ces pays sont depuis lors bien établies.
Aussi, il est impératif d’examiner de près les frontières de la Palestine afin de définir le morceau de terre sur lequel la nationalité Palestinienne a été établie. Définir ces frontières nous permettra également de mettre en lumière les nationalités des habitants des pays voisins, citoyens ottomans également. Cette définition nous permettra ainsi d’identifier, par exclusion, les détenteurs de la nationalité palestinienne.
9 Pour un historique de la Transjordanie, voir Samuel Ficheleff, Le statut international de la Pales(...)
10 League of Nations, Official Journal, Genève, novembre 1922, p. 1188. Cette résolution avait pour b(...)
11 Voir Memorandum by Lord Balfour, League of Nations Doc. No. C.66.M.396.1922.VI, 16 septembre 1922(...)
12 Robert Harry Drayton,ed., The Laws of Palestine in Force on the 31st Day of December 1933 (London
13 Agreement between the United Kingdom and Trans-Jordan, signed in Jerusalem (London: His Majesty’s(...)
14 Norman Bentwich, “The Mandate for Trans-Jordan,” The British Year Book of International Law, 1929,(...)
15 United Nations Treaty Series, Vol. 6, 1947, p. 143.
8La frontière est de la Palestine avec la Transjordanie était d’une importance particulière9. Le mandat sur la Palestine incluait le territoire de la Transjordanie dans « la Palestine ». L’article 25 du mandat accordait aux Britanniques le pouvoir, « avec l’accord du Conseil de la Société des Nations, de différer ou de refuser l’application de telles clauses que […] peut considérer inapplicable aux conditions locales existantes ». Par la suite, le 16 septembre 1922, le Conseil de la Société des Nations vota une résolution agréant la proposition de la part de la Grande-Bretagne d’exclure la Transjordanie de l’ensemble du territoire de la Palestine10. En fin de compte, la frontière entre la Palestine et la Transjordanie fut déterminée suivant la proposition britannique11. Cette résolution ne faisait que confirmer l’état de fait antérieur, la Transjordanie ayant déjà été exclue du territoire palestinien par l’article 86 de l’Ordonnance sur la Palestine de 192212 (faisant office de constitution) qui indiquait : « Cette ordonnance ne s’applique pas aux parties du territoire de la Palestine se trouvant à l’est du Jourdain et de la mer Morte ». Le 20 février 1928, la Grande-Bretagne conclut un accord avec l’émir de Transjordanie13 par lequel la Grande-Bretagne reconnaissait l’existence du gouvernement autonome de Transjordanie tout en maintenant le territoire sous contrôle britannique par un mandat. (La Grande-Bretagne continua de considérer la Transjordanie comme faisant partie de la Palestine dans le domaine des relations internationales – conformément à l’article 24 du mandat, la Grande-Bretagne incluait la Transjordanie dans ses rapports annuels à la Société des Nations sur son administration de la Palestine.) Cela confirmait l’existence de la frontière entre la Palestine et la Transjordanie qui avait été définie de manière unilatérale14. Le 22 mars 1946, après avoir conclu une alliance avec la Grande-Bretagne (par un traité entrant en vigueur le 17 juin 1946), la Transjordanie déclara son indépendance15. La partie la plus longue de la frontière palestinienne était fixée.
Traduction de Judith Grumbach
des documents datant de 1946 nous informent que seules 465 personnes étant nées en Palestine et résidant à l’étranger avaient pu obtenir la nationalité palestinienne à partir de 1925156. La question de la nationalité de ce groupe de ressortissants palestiniens et de leurs descendants ne fut donc jamais résolue, et nous pouvons affirmer, sans trop nous avancer, que ces individus constituent la première génération de réfugiés palestiniens.
90La naturalisation, selon la réglementation de l’Ordonnance sur la citoyenneté palestinienne, avait pour but d’accorder la nationalité palestinienne aux juifs étrangers qui immigraient en Palestine. Reprenant quasiment mot pour mot l’article 7 du mandat sur la Palestine, l’article 7 de cette ordonnance disait :
« Le haut-commissaire peut accorder un certificat de naturalisation à la citoyenneté palestinienne à toute personne qui en fait la demande et qui lui prouve :
qu’elle a résidé en Palestine durant une période d’au moins deux ans lors des trois années précédant immédiatement la date de sa candidature [à la naturalisation] ;
qu’elle fait preuve de moralité et qu’elle a une connaissance suffisante de l’anglais, de l’arabe ou de l’hébreu ;
qu’elle a l’intention de résider en Palestine si sa demande est acceptée ».
157 Supra note 85.
91La portée de cette clause fut bien résumée par la Cour suprême de la Palestine, lors du procès de Palevitch contre l’Inspecteur général de l’immigration le 28 février 1929157. Comme le dit la Cour suprême :
« L’article [7 du mandat] porte sur l’entrée en vigueur d’une loi sur la nationalité dans laquelle, précise cet article du mandat, des clauses doivent être formulées de sorte à faciliter l’obtention de la nationalité palestinienne aux Juifs qui s’installent en Palestine. Cela fut fait par la promulgation de l’Ordonnance sur la citoyenneté palestinienne de 1925, dans l’article 7 duquel un certain nombre de critères pour la naturalisation se trouvent définis ».
158 Survey of Palestine, supra note 139, Vol. I, p. 208.
159 British Government, Report to the Council of the League of Nations on the Administration of Palest(...)
92Sur la base de cette clause, un très grand nombre de Juifs furent naturalisés en Palestine. À la fin du mandat, 132 616 personnes avaient obtenu la nationalité palestinienne par naturalisation ; environs 99 % d’entre elles étaient juives158. De manière tout à fait officielle, les émissaires juifs encourageaient les Juifs à demander la nationalité palestinienne159.
Conclusion
93La réglementation de la nationalité palestinienne de 1917 à 1925 et dans les années qui suivirent avait essentiellement pour but de faire venir le plus de Juifs possible et de diminuer le nombre d’Arabes palestiniens autant que faire se peut – une politique en cours encore aujourd’hui.
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Notes
je vais me procurer ce livre tout de suite
shalom à tous
Léa H.M.