|
Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient"La paix ne peut pas être basée sur le dénis de la vérité sur Jérusalem"La paix ne peut pas se fonder sur le dénis de la vérité, a déclaré dimanche un responsable israélien en réaction aux commentaires du président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, au sujet des revendications arabo-islamiques sur Jérusalem. Abbas parlait lors de la 'conférence internationale pour la défense de Jérusalem' à Doha, au Qatar. L'agence de presse palestinienne Maan a cité Abbas disant : "les autorités d'occupation israéliennes utilisent les moyens les plus moches et les plus dangereux pour mettre en œuvre des plans pour effacer la caractère arabo-islamique et chrétien de Jérusalem Est," ne faisant aucune mention de l'histoire juive de la ville. Le responsable israélien a fait référence aux négociations de Camp David en 2000 entre le premier ministre d'alors, Ehoud Barak, et le dirigeant de l'autorité palestinienne, Yasser Arafat, qui avait nié qu'il y a eu des Temples juifs à Jérusalem, disant que c'était la raison pour laquelle il n'était pas disposé à faire de compromis sur la ville sainte. "J'espère que la génération actuelle de dirigeants palestiniens ne fera pas la même erreur qu'Arafat," a-t-il dit. "Si la partie palestinienne poursuit avec une position niant la réalité, qui nie totalement le droit des juifs, alors il ne peut y avoir aucun fondement pour la paix et la coexistence." Abbas a appelé les arabes et les musulmans à se rendre à Jérusalem pour faire face à ce qu'il appelle une accélération des efforts d'Israël pour judaïser la ville. Le président de l'AP a accusé Israël d' "entourer Jérusalem avec un mur de l'apartheid et une bande de colonies de peuplement dans le but d'isoler la ville et son environnement en Cisjordanie." Abbas a critiqué les autorités israélienne qui mettraient en place des obstacles pour empêcher les palestiniens d'entrer à Jérusalem avec "une obtention de permis presque impossible à obtenir." Il a imploré les arabes et les musulmans d'autres pays à se rendre à Jérusalem si ils le peuvent. "Cette action aura des répercussions politiques, morales, économiques et humanitaires montrant que Jérusalem appartient à nous tous et que personne ne peut nous empêcher d'y accéder." Il a ajouté que la visite de "Jérusalem occupée" rappelle aux israéliens que "Jérusalem est la cause de tous les arabes, musulmans et chrétiens," et ne constituerait pas une normalisation avec Israël. Articles connexes
19 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 4 heures - Le Figaro
Il y a 4 heures - i24 News
Il y a 7 heures - Le Figaro
Il y a 7 heures - Juif.org
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
1 Mai 2025 - Torah-Box
1 Mai 2025 - Torah-Box
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Émission d'un mandat d'arrêt à l'encontre d'un cinquième suspect qui serait impliqué dans les explosions de Bangkok...
La cour pénale de Bangkok sud a émis samedi soir, à la demande de la police, un mandat d'arrêt contre un cinquième suspect originaire du Moyen-Orient et soupçonné d'être impliqué dans les trois explosions survenues le 14 février dans un quartier commercial de Bangkok. C'est ce qu'a rapporté dimanche la chaîne INN. Selon le directeur adjoint de la 5e division de la police métropolitaine de Bangkok, le suspect qui n'a pas encore été formellement identifié, est accusé de fabrication et de possession illégale d'explosifs, ainsi que de complicité dans les explosions de mardi dernier.
(Radio Chine international, le 20-02-2012)
Tentative d'attentat anti-israélien de Bangkok : les bombes étaient dissimulées dans des radios...
Les terroristes iraniens qui ont tenté, la semaine dernière, d'atteindre des objectifs israéliens en Thaïlande, avaient dissimulé au moins cinq bombes dans des appareils de radio mobiles. C'est ce qui ressort de photos de ces appareils publiées par la chaîne ABC. Après la tentative d'attentat, les autorités ont trouvé au domicile des terroristes deux engins explosifs dissimulés dans ces appareils. Une photo des pièces intérieures de l'un d'eux met en évidence des boules de métal minuscules et six aimants, ce qui témoigne d'intentions de placer des explosifs sur les côtés de la voiture. En outre, une photo prise par les caméras de surveillance montre l'un des terroristes transportant deux appareils radios. Les autorités de Bangkok ont indiqué avoir trouvé, dans l'un des appareils utilisés pour l'attentat, près d'un demi kilogramme d'explosif standard.
(Kol Israël, le 22-02-2012)
Au moins 13 morts après l'explosion d'une bombe à un arrêt de bus de Peshawar...
Au moins 13 personnes ont été tuées, et une trentaine blessée, jeudi, par l'explosion d'une bombe à un arrêt de bus à Peshawar, dans le nord-ouest du Pakistan, non loin des bastions des taliban alliés à Al-Qaïda, a-t-on appris de source médicale. « C'était un attentat à la voiture piégée, 12 personnes ont péri et 32 sont blessées. Nous essayons de savoir s'il s'agit ou non d'un attentat suicide » a déclaré à l'AFP Kalam Khan, un officier de la police de Peshawar. « On nous a amené les cadavres de dix personnes et trente blessés » avait auparavant déclaré par téléphone à l'AFP, le docteur Rahim Jan de l'hôpital principal de cette grande ville du nord-ouest.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 23-02-2012)
Au Pakistan, un attentat à la bombe à Peshawar, au nord-ouest du pays, a fait au moins 13 morts et des dizaines de blessés. La bombe avait été placée à un arrêt d'autobus.
(Kol Israël, le 23-02-2012)
À Peshawar, quatre policiers tués dans un attentat suicide...
Attentat à Peshawar, la grande ville du nord du Pakistan, c'était ce matin devant un commissariat de police. Quatre policiers ont été tués ainsi que trois poseurs de bombes.
(Médi-1, le 24-02-2012)
Dans l'ouest de l'Afghanistan, deux ingénieurs d'une société turque kidnappés par des inconnus...
Deux ingénieurs travaillant pour une société turque ont été enlevés à l’ouest de l’Afghanistan. Le gouverneur de la province d'Herat ,à l’ouest de l’Afghanistan, a annoncé que deux ingénieurs d’une entreprise turque travaillant dans le domaine de construction, avaient été enlevés dimanche à Shindand, alors qu’ils retournaient du travail. De même, le chef de la police de Shindand a fait allusion à des documents obtenus par les forces de sécurité sur l’enlèvement, avant d’ajouter que les enquêtes se poursuivent toujours à ce propos.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 20-02-2012)
Les civils afghans appelés par les taliban à tuer des Occidentaux...
Les taliban appellent les civils afghans à attaquer des bases des forces de l'OTAN dans le pays et à tuer des Occidentaux. Une réaction à la destruction par le feu d'exemplaires du Coran cette semaine dans une base américaine d'Afghanistan.
(Kol Israël, le 23-02-2012)
Quatre membres présumés du groupe Jundallah abattus par les forces de sécurité iraniennes...
Quatre terroristes du groupe sunnite Jundallah ont été tués dans le sud-est de l'Iran, par les forces de sécurité, rapporte aujourd'hui l'agence officielle IRNA. Les quatre personnes ont été tuées dans une embuscade tendue par les forces du ministère des Renseignements, dans la province du Sistan Balouchistan et sont des membres importants du groupe, selon l'IRNA qui cite une source informée. Un policier a également été tué dans l'accrochage.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 23-02-2012)
James Clapper confirme la présence de militants d'Al-Qaïda aux côtés de l'opposition syrienne...
La chaîne de télévision russe Russia Today, dans son édition du 16 février, a mis l’accent sur les déclarations du directeur du renseignement américain, James Clapper, sur le rôle d’Al-Qaïda auprès de l’opposition syrienne, avec le titre en Une : « Canons et gloire en Syrie : Al-Qaïda, recette US pour un désastre ». Le piquant de l’histoire est qu’en dépit de cette révélation, l’administration Obama et ses alliés, tant au Congrès qu’aux Nations Unies, continuent à exiger le renversement du président syrien, Bachar Al-Assad. Le fait qu’Al-Qaïda soit active en Syrie, et soit vraisemblablement derrière les attentats suicide à Damas en décembre, et à Alep au début de ce mois, a été rapporté en premier le 10 février par McClatchy News, qui a cité des officiels anonymes des services de renseignement américains. Ces derniers en attribuent la responsabilité probable à Al-Qaïda en Iraq. La réalité de l’affaire a été confirmée par Clapper devant la commission des armées du Sénat, lors d’une audition sur les menaces mondiales sur la sécurité des États-Unis.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 24-02-2012)
Une trentaine d'armes et 15 kilogrammes d'explosifs découverts dans les locaux de l'ambassade de Libye à Athènes...
Un important arsenal comprenant notamment une trentaine d'armes et plusieurs kilogrammes d'explosifs, qui se trouvaient dans les locaux de l'ambassade de Libye à Athènes, a été remis à la police grecque par les autorités libyennes, a indiqué mardi la police grecque. La remise des armes est intervenue lundi sur instruction du gouvernement de Libye à son ambassade à Athènes, qui occupe les mêmes locaux que les anciens diplomates du régime de Moammar Kadhafi, précise un communiqué de la police grecque. Dans cet arsenal figuraient notamment une trentaine d'armes à feu de différents calibres, deux mitraillettes, quinze kilogrammes d'explosifs, des détonateurs, deux grenades et quelque 1 200 balles de calibre divers. Des analyses en laboratoire vont être menées sur ces armes, dans le cadre de l'enquête de police confiée à la direction antiterroriste.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 22-02-2012)
Dans le sud-est de l'Algérie, découverte d'un arsenal comprenant 43 missiles sol-air portables...
Les services de sécurité algériens ont découvert tout un arsenal de guerre, dont 43 missiles enterrés dans le sable, à In Aménas, dans le sud-est de l'Algérie, près de la frontière libyenne, a rapporté lundi le quotidien El-Watan. Selon le journal, 15 missiles anti-aériens portables SA-24 et 28 missiles sol-air SAM-7, de fabrication russe, ainsi qu'une grande quantité de munitions ont été trouvés. Aucune indication n'a été donnée quant à la date de cette découverte.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 20-02-2012)
Près des frontières avec le Mali et le Niger, quatre véhicules suspects détruits par l'aviation algérienne...
En Algérie, l'armée a détruit quatre voitures, des 4x4. Cela s'est passé près des frontières avec le Mali et le Niger. C'était ce dimanche. C'est ce que rapporte la presse ce matin. Dans la région de Tin Ghis, quatre avions militaires ont tiré sur ces cibles. L'armée estime qu'ils appartiennent à des membres d'Al-Qaïda au Maghreb islamique ou bien à des trafiquants d'armes.
(Médi-1, le 21-02-2012)
Des militaires de la force de maintien de la paix et des agents de renseignement capturés par des rebelles du Darfour...
Des rebelles du Darfour ont annoncé avoir capturé 49 soldats de la mission de maintien de la paix ONU-UA et trois agents présumés des services de renseignement soudanais, dans cette région en guerre de l'ouest du Soudan, pour enquête après leur entrée dans une zone rebelle. Le Mouvement pour la justice et l'égalité, le groupe rebelle le plus militarisé du Darfour, a capturé dimanche les membres de la force de maintien de la paix, principalement composée de Sénégalais, a annoncé lundi Gibril Adam Bilal, porte-parole des rebelles.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 20-02-2012)
Trois membres présumés des services de renseignement soudanais détenus par des rebelles du Darfour...
Les rebelles du Mouvement pour la justice et l'égalité du Darfour ont annoncé hier la libération d'une cinquantaine de membres de la Mission de maintien de la paix ONU - Union africaine dans cette région du Soudan. Mais ils retiennent toujours trois civils soupçonnés d'être des agents des services de renseignement soudanais.
(La voix de l'Amérique, le 21-02-2012)
Plusieurs rebelles islamistes présumés tués après un tir de missile dans le sud de la Somalie...
En Somalie, plusieurs rebelles islamistes ont été tués par un tir de missile lancé contre leur véhicule dans le sud du pays, tandis que leur ancien bastion de Baïdoa est tombé aux mains des armées somalienne et éthiopienne.
(Médi-1, le 24-02-2012)
Plusieurs rebelles islamistes, dont un commandant, ont été tués vendredi par un tir de missile contre leur véhicule, dans le sud de la Somalie, a annoncé à l'AFP un responsable gouvernemental somalien, sous le couvert de l'anonymat. Selon des habitants, le missile a été tiré par un drone contre un véhicule appartenant aux insurgés islamistes shabaab et des combattants étrangers figurent parmi les tués.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 24-02-2012)
Au Nigeria, plusieurs blessés après l'explosion d'une bombe à proximité d'une église...
Plusieurs personnes ont été blessées dans la ville de Sulega, au Nigeria, suite à l'explosion d'une bombe devant une église. Selon un porte-parole de la police, l'explosion est survenue dans une voiture garée, mais elle n'était pas très puissante. Une enquête est en cours. Sulega est située aux environs de la capitale, Abuja.
(La voix de l'Amérique, le 20-02-2012)
Au moins 20 morts après des combats entre insurgés islamistes et militaires dans un marché populaire du Nigeria...
Au Nigeria, selon des témoins les combats entre soldats et insurgés islamistes dans un marché, dans le nord du pays, ont fait au moins 20 morts. Des habitants et du personnel médical de la ville de Maiduguri ont dit que les morts, pour la plupart des civils, ont été tués lorsque des combats ont éclaté lundi dans le marché populaire de Baga. Par contre l'armée nigériane affirme, elle, que des combats ont bien eu lieu, mais dément que des civils se trouvent parmi les morts. Elle précise que les forces de sécurité ont tué huit assaillants et neutralisé plusieurs engins explosifs. On pense que les insurgés appartenaient au groupe Boko Haram.
(La voix de l'Amérique, le 21-02-2012)
Au moins 14 morts après l'attaque d'un poste de police, dans le nord-est du Nigeria...
Dans une ville du nord-est du Nigeria un poste de police a été l'objet d'un assaut attribué à des militants de la secte islamiste Boko Haram. Un assaut qui aurait fait au moins 14 morts dans cette région en proie à des troubles de plus en plus fréquents.
(Médi-1, le 25-02-2012)
Il s'en est fallu de peu. Une jeune fille de 23 ans a échappé à une violente agression, samedi soir, à Paris. Son père a en effet tenté de la brûler vive avant d'être mis en fuite par des témoins. Ce dernier a été interpellé dimanche matin à son domicile parisien, rapporte Le Parisien. L'homme se trouvait toujours en garde à vue lundi matin dans les locaux du 2e district de police judiciaire.
Mis en fuite par les passants
Les faits remontent à samedi soir, vers 23 heures, dans le 11eme arrondissement de Paris. Le père de la jeune fille refuse que cette dernière sorte rejoindre des amis. Une dispute éclate alors dans le hall d'un hôtel parisien où elle occupe une chambre. La jeune femme est ensuite aspergée de gaz lacrymogène par son père mais parvient à s'enfuir dans la rue. Là, son père lui verse un 1,5 litre d'essence sur la tête et le visage. Affolée, la victime crie et lui arrache le briquet des mains.
L'homme est mis en fuite par les passants présents sur les lieux. De son côté, la victime est prise en charge par les pompiers. Elle décide dans la foulée de porter plainte. Plus tard dans la soirée, son père l'avait pourtant appelée pour s'excuser et la dissuader d'en parler à police.
Il ne supportait pas une relation de sa fille
"Au commissariat, elle a expliqué que son père la harcelait depuis plusieurs semaines, poursuit la même source. Elle a aussi expliqué qu’il refusait qu’elle ait un ami de confession juive", confie une source proche de l'affaire. Selon les premiers éléments de l'enquête, le père "ne supportait pas la relation que sa fille avait avec un jeune homme", a assuré cette source.
Le père de famille, qui avait abandonné sa fille quand elle était bébé, était revenu dans sa vie depuis peu. D'origine Tunisienne, il l'avait emmené dans son pays pour la marier de force. Cette dernière était parvenue à s'en sortir en promettant de "se comporter comme il le voudrait" à leur retour en France.
Le père est déjà bien connu des services de police pour des faits de violences sur mineurs. Il pourrait être poursuivi pour "tentative d'homicide à l'aide d'une substance incendiaire", précise une source judiciaire.
Dans la ville Pakistanaise de Lahore, il existe un canal de 100 km de long dans lequel se déversent les égouts, qui est drainé et nettoyé 2 à 3 fois par an, et lorsqu’il est asseché, on retrouve les restes de centaines de Coran au milieu de la vase visqueuse. Depuis 10 ans, Mazmuddin et son équipe inspectent un tronçon du canal pour y récuperer les reliquats de corans.
Chaque année ce businessman sacrifie plusieurs journées loin de sa famille et de son entreprise à cet effet.
“Que dire. En tant que Musulman je dis ô Allah empêche cette population de jeter la parole d’Allah dans les égouts. Que se soit volontairement ou par accident, ces corans sont jetés dans la merde par des musulmans craignant Allah” […]
Même après purification à l’eau clair, l’horrible odeur sur les pages persiste des mois durant.[…]
Via Tundra Tabloid
Ils n'ont rien à f..outre dans les pays civilisés, sauf a y semer la pagaille et la terreur, leur seuls antres possibles étant leurs pays maghrébins et autres pays arabo/muzz dirigés soit par leurs dictateurs psychopathes, soit par leurs islamistes psychopathes également, leur religion commune expliquant leurs maladies mentales communes.
Il n'y a vraiment rien à tirer de tous ces h'mars. Ils sont hopeless...
AM ISRAEL HAY
Probablement parce que comme nous, des Pakistanais sont dégoutés par les effets désastreux de ce livre? ou choqués par ce qu’ils y ont lu et compris?
Extrait traduit de la vidéo
Quand les musulmans entendent qu’un seul Coran a été brûlé quelque part, ils déclenchent des vagues émeutes à travers le monde, mais comment réagiraient-ils, s’ils apprenaient que chaque année au Pakistan on retrouve des centaines de Corans dans les eaux usées au milieu des excréments ?
Dans la ville Pakistanaise de Lahore, il existe un canal de 100 km de long dans lequel se déversent les égouts, qui est drainé et nettoyé 2 à 3 fois par an, et lorsqu’il est asseché, on retrouve les restes de centaines de Coran au milieu de la vase visqueuse. Depuis 10 ans, Mazmuddin et son équipe inspectent un tronçon du canal pour y récuperer les reliquats de corans.
Chaque année ce businessman sacrifie plusieurs journées loin de sa famille et de son entreprise à cet effet.
“Que dire. En tant que Musulman je dis ô Allah empêche cette population de jeter la parole d’Allah dans les égouts. Que se soit volontairement ou par accident, ces corans sont jetés dans la merde par des musulmans craignant Allah” […]
Même après purification à l’eau clair, l’horrible odeur sur les pages persiste des mois durant.[…]
Via Tundra Tabloid
Cependant, la porte-parole du conseil, D. Bassma Kodmani est allée au-delà de toutes les limites en expimant son admiration pour « Israël » et les Israéliens.
« Les Arabes ont pressement besoin de l’Etat d’Israël à leur côté », a-t-elle affirmé lors d’un débat télévisé d’une heure et demi avaient eu lieu sur une chaine française en l’an 2008, en marge d’un salon des livres israéliens organisée en France et boycotté par les auteurs et les militants qui soutiennent la cause palestinienne.
Cette chercheuse au CNRS qui vit en France depuis 1968 était la seule invitée arabe sur le plateau de « Bibliothèque Médicis » et tous les auteurs étaient israéliens ou juifs pro-israéliens. (Orly Castel-Bloom, Sylvie Cohen, Mikhal Govrin, Théo Klein, - ancien chef du Crif- Laurence Sendrowicz, Monique Canto-Sperber). Les livres exposés étaient tous en hébreux.
De même, Kodmani s’était emballée avec les autres intervenants dans la condamnation de boycott du salon du livre israélien. Elle y a également critiqué la culture islamique, estimant que les Arabes « ont besoin de parler d’une autre culture qui ne parle pas du Coran sans cesse », ce qui devrait selon le contexte justifier la présence d’Israël parmi eux ( !)
Et de signaler qu’elle s’intéresse et se sent plus à l’aise lorsqu’elle parle avec un interlocuteur israélien qu’avec quelqu’un qui lui ressemble ». Critiquant la montée en force des partis islamistes dans le monde arabe, elle a insisté pour minimiser leur importance. « Nous avons des sociétés civiles démocratiques qui n’ont aucun lien avec l’Islam », a-t-elle ajouté.
A cet égard, elle raconte l’histoire d’une rencontre entre son fils (de père palestinien, lors d’un voyage semble-t-il en Palestine occupée) et le fils d’un colon israélien lequel a pris l’initiative de lui demander s’il voulait la paix entre les Juifs et les Palestiniens, qualifiant ce moment « de grande émotion ».
Interrogée sur ce débat télévisé, Kodmani a accusé ceux qui l’ont mis sur la toile d’être proche du régime syrien et d’avoir déformé le contenu de son intervention.
Source : Média Arabe