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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientObama : "le G8 est uni sur l'Iran"Le fait que l'Iran a violé les règlements internationaux et qu'il est loin de prouver qu'il ne cherche pas à obtenir de capacité nucléaire est "très préoccupant pour nous tous," a déclaré samedi le président américain Barack Obama à la réunion du G8 à Camp David. Obama a souligné que les dirigeants du G8 sont unis dans leur position sur l'Iran : "je pense que nous convenons tous que l'Iran a droit à l'énergie nucléaire pacifique, mais que ses violations persistantes des règles et normes internationales, et son incapacité à ce jour à convaincre la communauté internationale qu'il ne poursuit pas la militarisation de l'énergie nucléaire est une grave préoccupation pour nous tous," a dit Obama. Le président a parlé la veille de l'arrivée du directeur de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique à Téhéran, Yukiya Amano, qui tentera de régler les derniers détails d'un accord qui permettrait à l'AIEA de continuer à enquêter sur l'éventuel programme militaire nucléaire iranien. Une déclaration officielle de l'AIEA a dit que Amano "discutera de sujets d'intérêt mutuel avec de hauts responsables." La visite d'Amano est prévue pour durer qu'une seule journée, et comprend une réunion avec le négociateur iranien sur le nucléaire, Saïd Jalili. La réunion du G8 se tient quelques jours avant la prochaine réunion de négociations internationales sur l'Iran qui doit se tenir à Bagdad. Les dirigeants présents au G8 sont aussi largement d'accord sur la nécessité d'une action rapide sur un plan pour faciliter la transition politique en Syrie. "Nous croyons tous que la résolution pacifique et la transition politique en Syrie est préférable. Nous sommes tous profondément préoccupés par la violence qui se déroule là-bas et les pertes en vies humaines," a dit Obama. Toutefois, le sommet du G8 se concentre principalement sur les conséquences pour l'économie mondiale sur la Grèce quitte le bloc euro. Lors d'une réunion vendredi, Obama et le nouveau président Français, François Hollande, se sont alignés sur un appui à des mesures d'incitation accrues pour les économies européennes en difficulté, par opposition aux programmes d'austérité que la chancelière allemande Angela Merkel réclame. L'attitude d'Obama reflète sa crainte que la crise en spirale du bloc euro nuise à la fragile reprise de l'économie américaine, et entame ses chances de réélection en novembre. Suite à une rencontre avec Hollande, Obama a dit qu'ils ont convenu que faire face à la crise de la zone euro était "une question particulièrement importante, non seulement pour les européens, mais aussi pour l'économie mondiale dans son ensemble." Articles connexes
71 commentaires
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... Je ne sais pas ...
Je veux dire qu'on ne sait pas ce qui va se produire dans les quatre ou cinq mois qui viennent. Je tiens pour certain qu'Israël ne PEUT tout simplement pas rester les bras croisés - pour des raisons que vous, moi et bien d'autres ont longuement développées ici à plusieurs reprises. Ce que j'entends par là, c'est le fameux " ein b'hira " : Israël n'a pas le choix. Il l'a peut-être même moins qu'il ne l'a jamais eu dans son histoire depuis 1948. Et la question de l'élimination du danger que représente l'Iran ( non pas en soi, bien sûr ; mais l'Iran actuel ) n'est pas une question optionnelle. Ni une question qui puisse être renvoyée à " plus tard " . Pour prendre un exemple de ce que j'entends par " optionnel " , je dirai ceci : l'Occident peut choisir de ne pas accepter une prise en otage des régions pétrolifères et les chantages financiers et autres qui en résulteraient. Ou il peut choisir de s'y plier. En renâclant, en se serrant la ceinture, en s'imposant des sacrifices, en remodelant son économie, etc., etc. Si l'on ( l'Iran nucléaire ) dit à l'Occident : " La bourse ou la vie " , l'Occident conserve une perspective " optionnelle " , pour malaisée, ou pour crucifiante qu'elle soit : choisir de donner sa bourse, plutôt que de perdre la vie ( et je simplifie volontairement la question ) ... Israël, au contraire, avec l'Iran n'a pas de choix : ce n'est pas " Ceci ou la vie " ; c'est : " Mourir ou mourir " .
Israël ne peut donc
Les opinions US, britannique, française et allemande soutiendraient des frappes militaires selon un sondage récent.
Publié le19 mai 2012 dans Nanojv
A noter " soutiendraient" cela ne veut pas dire "participeraient " , je suppose !!!
Mais comme vous dites, Edmond, pour Israël "pas d'autre choix" hélas ! et ne pas trop trainer!! car, demain, il sera trop tard !!!
pas " choisir " entre une mauvaise option et une option pire. Le seul " choix " qui lui est " offert " est entre la mort et la mort : par exemple, ( a ) se laisser dévorer morceau par morceau par les mouvements " palestiniens " sous la menace d'être atomisé s'il ose riposter comme il l'avait fait en 2008-2009 à Gaza - et ( b ) l'élimination directe et immédiate par le même moyen ; ou encore la fourniture aux groupes " palestiniens " de bombes nucléaires " sales " miniaturisées, ce qui serait une variante de (a ) : mourir ( a ) ou mourir ( b ). Aucun gouvernement israélien, de droite, de gauche, du centre, ne peut, quel qu'il soit , se laisser enfermer ainsi entre mourir et mourir.
On peut dire ou se raconter que le " Dôme de Fer " sera perfectionné à tel point qu'aucun missile iranien ( ou du Hezbollah, ou du 'Hamas, ou ..., ou, ... ) ne parviendra à le percer. Les Etats-Unis ne viennent-ils pas de décider d'offrir à Israël une très forte contribution financière à cet effet ? - Mais qui peut GARANTIR une étanchéité à 100 % ? - Or, Israël n'est ni la Chine, ni la Russie, ni le Brésil, ni le Canada, ni les Etats-Unis : un seul coup au but serait suffisant pour perpétrer, 'has ve-shalom, une deuxième Shoah.
On peut miser sur la " rationalité " des dirigeants de Téhéran. Mais, là encore, de quelles garanties dispose-t-on ? Israël ne peut pas jouer sa survie à la roulette russe ni miser sur la chance.
Tout cela - et beaucoup d'autres raisons encore - a été mille
fois exposé, ici ou ailleurs, par moi ou par d'autres.
De même, le fait qu'Israël possède, ou non, le moyen de " punir " l'Iran au moyen d'une " deuxième frappe " effectuée par les " Dolphins " est une question purement rhétorique : vitrifier l'Iran en riposte à la vitrification d'Israël ne ressusciterait pas le peuple israélien assassiné. C'est pourquoi Israël ne peut qu'agir préventivement. Et doit agir préventivement. Et le temps est venu d'agir. Je ne parle pas du moment, du " kaïros " , que le gouvernement et l'Etat-Major détermineront au mieux. Je parle du moment historique. On sait qu'une fois l'Iran doté de l'arme nucléaire, il sera trop tard, la possession de cette arme le sanctuarisant irrémédiablement. Et l'Iran est sur le point d'arriver à la sanctuarisation.
De même, l'élection présidentielle américaine est un deadline. Baraq 'Hussein Obama peut être réélu. Et j'irais jusqu'à dire que même l'élection d'un républicain ne constituerait pas, pour Israël, une garantie absolue. On peut être à peu près certain, au contraire, que l'élection présidentielle américaine, une fois accomplie, et quel qu'en soit le résultat, le bras d'Israël se trouverait peu ou prou paralysé. Alors que, tant qu'elle n'a pas eu lieu, c'est la présidence américaine qui est en quelque sorte paralysée.
Je crois donc que des opérations militaires israéliennes contre les installations nucléaires et stratégiques iraniennes sont à la fois inévitables et proches dans le temps.
Maintenant, que feront l'Occident, l'Union Européenne, les Etats-Unis, ... ? -
L'Union Européenne, au mieux s'alignera sur les Etats-Unis, comme de coutume. Au pire ne fera rien d'autre que d'émettre condamnations, avertissements, regrets, et tout ce qu'on voudra d'autre sorti de la panoplie de l'impuissance drapée en posture déclamatoire. L'Union Européenne, - je l'ai souvent dit ici et ailleurs - ne compte pas, militairement ( à l'exception relative du Royaume-Uni, lequel s'aligne toujours sur les Etats-Unis ). de plus, l'Union Européenne est au bord d'une crise financière et monétaire de grande ampleur qui, de toute façon, suffirait à la paralyser.
Quant aux Etats-Unis, je n'ai pour ma part jamais exclu qu'ils ne soient amenés à venir en renfort d'Israël. Et je suppose qu'une bonne part des comportements, dans tel ou tel domaine, d'Ehud Barak repose sur une hypothèse de cet ordre.
La Chine irait-elle s'engager dans un conflit mondial pour les beaux yeux de Téhéran ? - Personnellement, je ne l'imagine pas. Les intérêts majeurs de la Chine ne sont pas d'abord dans cette région du globe. Risquer de se trouver pris dans une guerre mondiale paraît très peu congruent avec une politique extérieure certes conquérante ( économiquement ) mais très prudente. De plus, il n'est pas dit que voir émerger à sa porte une puissance nucléaire dont l'apparition modifierait les équilibres en Asie occidentale et encouragerait les menées islamistes au Xinjiang soit une perspective
qui ravisse les dirigeants de Pékin. Les prétentions de Téhéran sont immenses et ses dirigeants mahdistes poussent des pseudopodes dans toutes les directions, de l'Asie centrale à l'Amérique latine ( cf. l'ALBA , Hugo Chàvez, etc. ) en passant par l'Afrique orientale. Il m'est arrivé de comparer, mutatis mutandis, les ambitions iraniennes à celles du Japon des années 30 et 40 du siècle dernier : il n' y a là rien qui puisse pousser la Chine à s'engager dans un conflit mondial pour les beaux yeux de l'ayatollah Ali Khamenéi.
Et la Russie ? - A mon avis, ce qui vaut pour la Chine vaut aussi, quoique de manière moins nette, pour la Russie. Avec quelques bémols tout de même : le soutien à Bachar El-Assad ; le souci qu'aurait certainement Moscou de ne pas laisser des troupes occidentales s'installer dans la partie nord de l'Iran, ni même dans le reste du pays ( mais liquider ou endommager gravement les installations nucléaires ET les principaux atouts stratégiques de l'Iran peut sans doute être fait sans qu'il soit nécessaire d'occuper le pays ).
Toujours monter 2 marches et des la 3em souffler et apaiser
Des que cela retombe remonter 2 marches de plus
Jusqu au jour du premier essai ou le monde sera mis devant le fait accompli
Et l irreversibilite a la facon coree du nord
En premiere mire les israeliens feront les frais des menaces directes de l Iran
L Iran a bien de lee au monde que la premiere ogive serait pour Israel
Une fois tirée le monde pourra s émouvoir !!!!
Mais ce sont les israeliens qui auront subit un drame sans precedent