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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientObama approuve une réunion anti-israélienne à l'ONUL'administration Obama a approuvé une initiative prise par l'Organisation des Nations Unies d'inviter Navi Pillay, le haut-commissaire aux droits de l'homme, afin de faire un exposé devant le conseil de sécurité sur Israël. "Bien que les Etats-Unis ont un droit de veto, ce geste extraordinaire a la pleine approbation américaine," et "est un compromis pour avoir un exposé du haut-commissaire devant le conseil au sujet de la Syrie," selon National Review. Pillay, connue pour ses sentiments anti-israéliens, a comparé la "violence perpétrée par les colons israéliens" avec les "exécutions sommaires, les viols et la torture" en Côte d'Ivoire, la "violence brutale touchant des dizaines de milliers de personnes" en Syrie, et la "torture systématique" en Afghanistan. Une femme qui est ou profondément antisémite, ou payée par certaines dictatures arabes pour proférer de telles stupidités. Elle s'est également interrogée sur la mise à mort d'Oussama ben Laden dans les heures suivant sa mort, et elle est la championne de la conférence antiraciste, mais surtout antisémite, de Durban. Elle est sagement resté assise, alors que les leaders des démocraties quittaient en masse l'enceinte, lorsque le dictateur Mahmoud Ahmadinejad mettait en doute la véracité de l'Holocauste. En deux mots, une femme comme il le faut pour présider le si mal nommé conseil des droits de l'homme de l'ONU. Articles connexes
16 commentaires
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Je réponderais que " Nous y sommes... déjà ! "
Envoyé par Moise_006 - le Vendredi 6 Juillet 2012 à 07:37
Cette reponse est meilleur que la precedente, mais non seulement nous y sommes deja mais 4aressemble etrangement à quelque chose que nos parents et grands parent ont deja connus, non seulement nous y somme deja mais, il faut mettre tous les juifs de diaspora en alerte, car je pense que ça va eller en empirant et je n'ose imaginer le pire. pour etre plus direct j'ai toujours pensé qu'un jour il y aurait une ligue mondiale pour se debarasser de tout ce qui est Juif, comme si le monde se disait " ensuite nous serrons definitivement debassés du probleme"... sauf qu'il ne s'immaginnent meme pas quel cataclysme va s'abattre sur lui....
Je le redis Nathanyaou à prevenu... "il n'y aura pas de seconde Shoah" et nous avons avons les moyens de l'empecher.
Pour evenir à obamé, il est notre ennemi mais la majorité des americains sont nos amis et 85% du congres... Il ne serra pas réélu et Mit Romney reprendra la ou nous sommes arreté avant obamé
Shabbat Shalom
Quant à la dame , tout se lit sur son visage , sans commentaires
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jeudi 5 juillet 2012, par Antisémitisme
Tout d’abord dans le train reliant ...Toulouse à Lyon :
Un adolescent de 17 ans, scolarisé à l’école Ozar Hatorah de Toulouse, a été victime d’une violente agression antisémite hier soir dans un train reliant Toulouse à Lyon, a annoncé aujourd’hui le ministère de l’Intérieur.
Souffrant d’une interruption temporaire de travail de huit jours, le jeune homme a déposé plainte dans la nuit au commissariat de Lyon et "les identités des deux agresseurs sont connues grâce à l’action en gare de la police ferroviaire", a précisé l’Intérieur.
Dans un communiqué, le ministère se dit déterminé "à combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu’est l’antisémitisme", "une offense aux valeurs et à l’histoire de notre République".
"Un adolescent de 17 ans portant un signe religieux distinctif et par ailleurs scolarisé à l’école Ozar Hatorah de Toulouse, a été pris à partie et insulté par deux individus.
L’adolescent a ensuite été agressé au niveau de la plate-forme des toilettes par ces deux mêmes individus qui l’ont roué de coups", raconte l’Intérieur.
Selon une source proche de l’enquête, la victime rejoignait sa famille à Lyon.
D’après les premiers éléments de l’enquête, il aurait été pris à partie dans un compartiment après que les deux suspects ont remarqué une chaîne à son cou, a-t-on précisé.
"Seule l’intervention d’un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", poursuit le ministère de l’Intérieur qui juge que "ces actes d’une extrême violence sont inadmissibles".
Deux jeunes hommes ont été interpellés aujourd’hui à Lyon et placés en garde à vue après l’agression d’un adolescent d’une école juive de Toulouse, dans un train reliant Toulouse à Lyon, selon une source policière.
Les deux hommes ont été interpellés peu après 11 heures dans un bureau de recrutement de l’armée à Lyon et placés en garde à vue, selon la même source.
Les agresseurs présumés avaient été identifiés par les agents de sûreté de la SNCF.
La victime, qui portait une étoile de David autour du cou, a été prise à partie mercredi soir dans le train alors qu’elle rejoignait sa famille à Lyon.
"L’adolescent a ensuite été agressé au niveau de la plate-forme des toilettes par les deux mêmes individus qui l’ont roué de coups", a indiqué jeudi le ministère de l’Intérieur.
Souffrant d’une interruption temporaire de travail de huit jours, le jeune homme de 17 ans a déposé plainte dans la nuit au commissariat de Lyon, où une enquête a été ouverte.
L’adolescent est scolarisé dans l’école Ozar Hatorah de Toulouse dans laquelle Mohamed Merah a tué trois enfant et un père de famille, le 19 mars.
Début juin, trois jeunes juifs portant la kippa avaient également été agressés à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon.
Ces jeunes hommes se rendaient à un office religieux dans une école juive lorsqu’ils avaient été attaqués à coups de marteau et de barre de fer.
Après cette agression, les représentants de la communauté juive s’étaient inquiétés d’une recrudescence des actes antisémites depuis les tueries perpétrées par Mohamed Merah.
Le Crif cite notamment "90 actes recensés par le ministère de l’Intérieur dans les dix jours qui ont suivi" la tuerie de Toulouse et "148 actes entre le 19 mars et le 30 avril" relevés par le Service de protection de la communauté juive.
"Les lois de la République prévoient en réponse des sanctions sévères", met en garde le ministère.
AFP
Et pourtant !
Il s’agit d’un rapport rédigé par le Comité chargé d’examiner l’état de la construction en Judée et en Samarie, dirigé par l’ancien juge de la Cour suprême israélienne Edmond Levi.
Le rapport touche au cœur du conflit israélo-arabe.
On peut dire que le gouvernement a reçu la permission de jeter le rapport du procureur Talia Sasson sur les implantations de peuplement dans les poubelles de l’histoire.
Car le rapport Levi conclut qu’Israël a parfaitement le droit d’installer des Juifs en Judée et en Samarie, et qu’il est inexact de dire que la construction d’implantations est illégale selon le droit international.
"Selon la loi internationale, les Israéliens ont le droit légal de s’établir dans toute la Judée et Samarie, et à tout le moins dans les territoires sous contrôle israélien sur la base des accords avec l’Autorité palestinienne, par conséquent la création d’implantations de peuplement à l’intérieur de ces territoires n’est pas un acte illégal" dit le rapport.
Le comité conclut également :
"Du point de vue du droit international, les lois relatives à "l’occupation" sont inapplicables en raison des circonstances particulières historiques et juridiques relatives à la présence israélienne pendant plusieurs décennies en Judée et Samarie."
Depuis les années 1970, des juristes de haut rang en Israël et à l’étranger ont fait valoir qu’Israël est complètement dans son droit en installant ses citoyens en Judée et Samarie.
Parmi eux se trouvent le Président de la Cour internationale de Justice à La Haye, le juge Stephen Schwebel, mais aussi le professeur Eliahu Lauterpacht de l’Université de Cambridge et le professeur Eugene Rostow, ancien diacre à l’école de droit de Yale, qui, avec d’autres, ont exprimé leurs analyses juridiques claires en ce qui concerne la juste revendication d’Israël sur la Judée et la Samarie, dans les circonstances historiques et juridiques.
Depuis la guerre des Six-Jours, cependant, Israël s’est abstenu de déclarer un statut permanent à ces territoires conquis, à l’exclusion de Jérusalem et du Golan.
A partir de ce vide juridique, le juge Aharon Barak et d’autres ont créé le paradigme juridique d’ "occupation belligérante," selon lequel la gouvernance militaire tire son autorité des règles du droit international dans les territoires qui ont été remportés pendant la guerre.
Ce qui signifie qu’Israël est réputé, prétendument, être un occupant étranger, et qu’il n’a pas le droit d’appliquer sa souveraineté sur, ou pour déplacer sa population civile dans, ces territoires.
Certaines des mesures hostiles d’organismes juridiques, prises à l’encontre de l’entreprise d’implantation en Judée et Samarie, découlent de cette perception.
Ces mesures, qui visent à étrangler l’implantation israélienne, ont reçu la justification du Bureau du Procureur d’Etat en raison de son adoption du paradigme d’ "occupation belligérante", malgré les nombreuses objections de l’actuel gouvernement.
Mais si les territoires ne sont pas occupés, comme la gauche l’a soutenu depuis des années, ils doivent être annexés, tout comme les populations qui y vivent.
Toutefois la réalité n’est pas si simple, elle est complexe.
Le présent rapport reconnaît une réalité intermédiaire : celle d’un territoire contesté, avec deux entités, et aucun des deux côtés n’est considéré comme un "occupant".
Il y a un désaccord concernant la propriété, qui doit être clarifié par différents moyens, mais il n’existe pas de définition d’ "occupation" dans le sens du droit international.
L’ "occupation belligérante" se produit lorsque l’on conquiert des territoires d’un autre pays.
Dans le cas d’Israël, la dernière puissance souveraine fut le mandat britannique, qui a reçu sa légitimité de la Société des Nations pour créer un foyer national pour les Juifs en Terre d’Israël.
La souveraineté jordanienne sur ces territoires (ou égyptienne dans la bande de Gaza) n’a jamais été reconnue (en dehors de la Grande-Bretagne et du Pakistan), et Israël n’a jamais conquis "le territoire jordanien".
En outre, la Jordanie a renoncé à sa souveraineté sur ces territoires dans les années 1980.
Un autre point spectaculaire du rapport est sa position sur les communautés qui ont été construites sans décision du gouvernement ("non autorisées").
Le rapport conclut que parce que leur création et leur développement ont eu lieu avec la connaissance, l’encouragement et l’accord des échelons les plus élevés du gouvernement, "cette conduite doit être considérée comme une "autorisation".
Par conséquent, "l’acte d’expulsion de ces communautés n’est pas pratique et une solution différente doit être trouvée, comme l’indemnisation ou des offres alternatives de terres.
Pour cette raison, le comité a suggéré à l’État qu’il s’abstienne d’exécuter des ordres de démolition dans ces communautés, où il est en substance responsable de leur création."
Si le gouvernement israélien adopte les conclusions du rapport, cela signifierait que les personnes qui travaillent au Bureau du Procureur d’Etat ne seront plus en mesure de refuser, au nom de l’Etat, l’existence de ces communautés, et ne seront plus en mesure de faire avancer leur destruction par le biais de revendications juridiques.
Il est à prévoir à présent qu’une guerre mondiale s’ensuivra contre le rapport et contre Edmond Levi.
Tous les vieux arguments et les vieilles tactiques de diffamation seront dépoussiérées et mises à profit par les organisations de gauche qui feront appel à l’aide de leurs amis partout dans le monde, et de l’élite juridique aliénée qui luttera contre la chose la plus naturelle pour nous en tant que peuple : le retour à notre patrie, le berceau de notre nation.
C’est exactement ce pourquoi le gouvernement a été élu.
C’est la volonté de la plupart des gens, et c’est aussi un décret historique.
Editorial de Dror Eydar pour « Israel Hayom »
Traduit et adapté pour le public francophone par Misha Uzan pour JForum – (Correspondant spécial).
Tags : Cisjordanie SDN Accords de San Remo Foyer National Juif
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