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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Romney déclare qu'Obama "sape" les dirigeants israéliens

Romney déclare qu'Obama "sape" les dirigeants israéliens - © Juif.org

Avant son premier voyage officiel en dehors des Etats-Unis, le candidat présidentiel républicain Mitt Romney a accusé le président Barack Obama de "traitement mesquin" des dirigeants israéliens, et a promis d'être ferme contre l'Iran.

"Le président Obama a été capturé par un microphone en se moquant des dirigeants israéliens. Il a sapé leur position, qui était déjà suffisamment difficile comme cela. Et même à l'Organisation des Nations Unies, sous les applaudissements enthousiastes des ennemis d'Israël, il a parlé comme si notre plus proche allié au Proche Orient était le problème."

"Le peuple d'Israël mérite mieux qui ce qu'il a reçu du chef de file du monde libre. Et les chœurs d'accusations, de menaces et d'insultes aux Nations Unies ne devraient plus jamais inclure la voix du président des Etats-Unis."

Romney a dit à une convention des vétérans de guerres étrangères dans le Nevada que les Etats-Unis ne peuvent maintenir la neutralité au Proche Orient, mais doivent lutter contre les djihadistes dans la région. Il a laissé entendre qu'il avait l'intention de demander à l'Egypte de maintenir le traité de paix avec Israël en échange de l'aide économique, entre autres conditions.

Romney a promis d'empêcher l'Iran de produire une arme nucléaire, et a dit : "il doit y avoir une suspension totale de tout enrichissement, quel qu'il soit, point."

Il s'est engagé à "utiliser tous les moyens nécessaires" pour protéger les Etats-Unis et la région d'une dictature islamique nucléaire.

"C'est très simple : si vous ne voulez pas que l'Amérique soit la nation la plus forte sur terre, je ne suis pas votre président," a ajouté Romney. "Vous avez le président actuel."

Les associés d'Obama ont rejeté le prochain voyage à l'étranger de Romney, qui doit inclure des visites en Grande Bretagne, en Israël et en Pologne, comme manquant de substance, soulignant les efforts des démocrates pour le dépeindre comme léger en politique étrangère.

Mais Romney a riposté en disant que Barack Obama avait compromis le leadership des Etats-Unis.

Il a accusé le président de tenter d'apaiser la Russie, en "commençant avec l'abandon soudain d'amis en Pologne et en République tchèque," où l'administration de l'ancien président George Bush avait prévu d'installer des systèmes de défense antimissile pour se prémunir contre une attaque iranienne. La Russie soutient que ces installations rompraient l'équilibre soigneusement élaboré des forces de missiles en Europe.

Il a également affirmé qu'Obama a rejeté les actions du président vénézuélien Hugo Chavez en disant qu'elles n'avaient "pas un impact sérieux sur la sécurité nationale" des Etats-Unis.

"A mon avis, inviter le Hezbollah dans notre hémisphère est grave, sérieux et une menace," a-t-il dit.

Romney a en outre reproché à Obama de mettre les soldats américains en danger par la fuite d'informations classifiées sur l'action militaire qui a tué Oussama ben Laden.

29 commentaires
en temp d elections tous les candidats ce sont prononces de la meme maniere !!!! JERUSALEM CAPITAL D ISRAEL , ET QU ILS DEPLACERAIT L AMBASSADE DES USA DANS CETTE VILLE paroles paroles , HADDAD BRESIL
Envoyé par Jacques_093 - le Lundi 30 Juillet 2012 à 15:37
Les pays arabes occultent l’Histoire de leurs juifs pour donner crédit à la thèse ressassée sur la spoliation des réfugiés palestiniens.

A l’heure où les palestiniens cherchent à fuir la Syrie, pour se réfugier en Jordanie, aucun pays du Moyen-Orient n’a fait le geste pour accueillir chez lui quelques « frères arabes ».

Pourtant, ni l’espace et ni l’argent ne leur manquent pour intégrer quelques dizaines de palestiniens à la recherche d’un lieu sécurisé.

Abcès de fixation

A la suite du conflit israélo-arabe de 1947, l’Histoire n’aura retenu que le cas des palestiniens ayant fui leurs maisons pour se réfugier à Gaza, en Jordanie, en Syrie ou au Liban.

D’ailleurs cet abcès de fixation, volontairement maintenu et non résolu par les pays arabes, a occulté l’histoire de plus d’un million de juifs contraints de quitter la patrie qui les avait hébergés pendant plusieurs siècles et qui parfois, les persécutait.


Juifs du Yémen dans l’avion qui les amène en Israël

Les médias ont effectivement passé sous silence le cas des juifs qui ont été brutalement chassés ou qui ont choisi l’exil parce que la vie qui leur était proposée ne leur garantissait ni sécurité totale et ni avenir exempt de discrimination.


Les derniers juifs en Tunisie

Le Yémen, qui a connu un pogrom en 1947 durant lequel 82 juifs avaient été assassinés, abritait une population de 55.000 juifs ramenée aujourd’hui à peine à 200.

Les juifs d’Algérie sont passés de 140.000 à 100, ceux d’Iran de 100.000 à 8.700, ceux du Liban de 30.000 à 30, ceux du Maroc de 500.000 à 7.000 et enfin ceux de Tunisie de 105.000 à 1.500.



Assis au centre : Sir Sassoon Eskell avec le roi Fayçal d’Irak immédiatement à sa gauche



L’Irak avait fomenté en 1941 un pogrom à Bagdad où 180 juifs périrent.

A la création de l’État d’Israël, elle avait poussé la presque totalité de la population juive, évaluée à 150.000, a rejoindre la Terre promise en quelques semaines.

L’Egypte s’est vengée de la Campagne de Suez en 1956 en se débarrassant de tous ses juifs, 80.000.

Seule une centaine a échappé à leur vindicte.

Contrairement aux autres pays, la population juive était relativement aisée et l’objectif de les spolier a été atteint par la force.

25.000 d’entre eux ont été contraints de quitter en catastrophe le pays en emportant avec eux une seule valise d’effets personnels mais après avoir signé une donation forcée de tous leurs biens aux autorités du pays.


M. Mark Cohen portant sa valise hors d’Egypte.

La Libye, qui avait assassiné 145 juifs en 1945, n’abrite plus aucun des 30.000 juifs faisant partie de sa population.

Enfin, la Syrie avait profité des évènements liés à la création de l’Etat d’Israël pour raser plus de 200 habitations occupées par des juifs à Alep afin de se délester de toute la population juive qui comptait 30.000 âmes.

Intégration difficile mais réussie

Près d’un million de juifs, dont la grande majorité a quitté les pays arabes pour rejoindre l’État d’Israël, ont bénéficié de l’élan de solidarité internationale de la part de la Diaspora juive.

Ils ont été accueillis sur une terre retrouvée malgré les difficultés et les besoins immenses d’une réinsertion dans leur nouveau pays.

Aujourd’hui, on ne compte plus les ingénieurs, les officiers et les dirigeants issus de ces pays arabes qui, arrivés dénudés, parfois incultes, mais toujours pauvres, font partie de l’élite israélienne car ils ont ciblé l’avenir plutôt que de vivre en permanence le passé.


L’Emir du Qatar à l’Elysée

Pendant ce temps, des dizaines d’années plus tard, les pétrodollars des Princes et des Emirs n’ont pas permis de faire sortir de la misère les palestiniens qui vivent encore dans des camps, sous des tentes, et dont on refuse l’intégration.

Tous ces pays, occupant des espaces dix fois plus grands que la France qu’ils ont du mal à peupler, n’ont rien fait pour aider leurs frères exilés parce qu’ils les destinaient à figurer au palmarès de la cruauté de l’Etat juif.

Fermeture des frontières


Réfugiés palestiniens à la frontière jordanienne

Avec la Syrie, le problème des réfugiés se réactualise car on ne leur a pas permis de s’intégrer alors qu’ils avaient les moyens intellectuels pour réussir. Les syriens mettent en cause leur loyauté car, après tant d’années, ils restent pour eux des étrangers.

La Jordanie leur ferme ses portes.

Mais c’était sans compter sur l’inhumanité des dirigeants arabes qui privilégient le souvenir des défaites et la nécessité d’une revanche sur les juifs plutôt que de s’ouvrir sur l’avenir en faisant preuve de solidarité.

Israël a reçu des centaines de milliers de juifs, presque autant que sa population d’alors, à l’époque où le pays manquait de tout, où les restrictions étaient monnaie courante, et où l’urgence imposait aux nouveaux venus de se contenter d’une tente et d’un réchaud à gaz pour assurer leur subsistance.

Mais l’esprit de sacrifice ne manquait pas à ceux qui ont tenu à ce que leurs frères ne soient plus soumis au bon vouloir de ceux qui les hébergeaient.

Ils ont tout partagé, même parfois la misère dans les grands moments de disette.

C’est ce grand cœur qui manque aujourd’hui aux pays arabes.

Même la frontière entre l’Egypte et Gaza reste hermétique malgré l’arrivée au pouvoir des « grands frères ».

La Knesset a adopté un texte stipulant qu’aucun accord de paix ne pourra être signé avec un pays arabe qui ne prévoit pas de compensations pour les réfugiés juifs originaires de ce pays.

C’est le moyen, au moins, de culpabiliser les pays arabes qui se sont séparés de plus d’un million de juifs, en récupérant souvent leurs biens, mais en ne déboursant aucun dollar.

Jacques Benillouche/Temps et Contretemps
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 30 Juillet 2012 à 18:25
L’enquête d’Al-Jazira est-elle de nature à faire surgir une vérité sur des causes de la mort de Yasser Arafat qui auraient été dissimulées ?

Un laboratoire de Lausanne, en Suisse − donc politiquement insoupçonnable −, a découvert, sur des pièces de vêtements restitués à son épouse, Souha Arafat, que les fluides corporels du défunt contenaient une dose suspecte de polonium. Dont acte. Mais comment expliquer que Souha Arafat ait attendu plus de sept ans avant de faire analyser ces objets qui lui ont été remis par les responsables de l’hôpital militaire Percy alors que, déjà, des accusations d’empoisonnement circulaient.

Comment prouver que les traces de polonium n’ont pas été ajoutées a posteriori sur les vêtements ?

Enfin, pourquoi les responsables palestiniens qui propagent aujourd’hui l’accusation contre Israël n’ont-ils pas, lors de la mort de leur leader, fait procéder, dès la réception de la dépouille du défunt, à une autopsie qui aurait démontré, de manière indiscutable, la cause de ce décès ?

Il faut ajouter que tous les bons connaisseurs des services spéciaux israéliens s’accordent pour estimer que le polonium est un poison trop grossier (facilement détectable, provoquant des symptômes sans équivoque) alors qu’il existe des substances létales beaucoup plus discrètes.

Si la polémique resurgit aujourd’hui, la véritable raison en est à rechercher dans la guerre larvée qui oppose ce qui reste du clan de l’ancien chef de l’OLP aux actuels dirigeants de l’Autorité palestinienne.



Durant l’agonie du « Raïs », on se déchirait en coulisses pour se partager le magot accumulé par Arafat. Souha Arafat était assistée dans cette querelle par un homme d’affaire chrétien libanais, Pierre Rizk, qui a réussi à obtenir pour elle une somme évaluée à 9 millions d’euros. Le conseiller financier d’Arafat, Mohamed Rachid, vient d’être condamné par contumace à quinze ans de prison pour détournement de fonds par un tribunal de Ramallah. De son exil londonien, il réplique en accusant Mahmoud Abbas d’avoir ouvert des comptes secrets en Jordanie, gros de 39 millions de dollars, auxquels seuls lui et ses proches auraient accès. Si, en plus, on arrive à faire passer dans l’opinion l’idée que le pouvoir de Ramallah est complice d’une dissimulation des preuves d’empoisonnement, ce sont autant de points pour le clan Arafat.

La Ligue arabe s’est mise en mouvement pour demander une enquête internationale sur cette affaire. L’Autorité palestinienne a accepté que le corps d’Arafat soit exhumé à des fins d’analyse. Ceux qui aiment les paris ne devraient pas hésiter à miser sur la réfutation, par un groupe de scientifiques choisis par Mahmoud Abbas, des thèses avancées dans le documentaire d’Al-Jazira. On pourrait, chez nous, exiger que le nouveau pouvoir lève le secret-défense et le secret médical auxquels sont soumis les toubibs de Clamart, seuls à connaître le fin mot de l’histoire. La vérité y trouverait son compte. Mais qu’on se rassure : cela ne changerait pas d’un iota les convictions de ceux qui croient que Yasser Arafat est mort en martyr de la cause palestinienne.
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 30 Juillet 2012 à 18:30
Obama, Romney. Ils ne cherchent que le vote Juif. Ils diront n'importe quoi pour les acquerir. Cependant je prefere Romney, car jusqu'a present Obama a maintes fois demontre qu'il epouse les idees des arabes et non des israeliens. De toutes les manieres en ce qui concerne Israel le Pr.esident American ne peut rien faire. Il doit se plier aux exigences du Parlement Americain, qui lui est tres pro Israel
Envoyé par Aldo_002 - le Lundi 30 Juillet 2012 à 18:51
Témoignage: De la Haine à l'amour d'Israël

30 Juillet 2012
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Je suis un sioniste, plus exactement un musulman sioniste et fier de l’être. J'aime Israël, mais cela n’a pas toujours été le cas. En fait, pendant de nombreuses années j'ai même été à l'extrême opposé. J'ai participé aux grands évènements antisémites et anti-israéliens qui avaient lieu sur les campus universitaires britanniques, parce que j'étais un antisémite, et un activiste anti-israélien.

Ayant grandi dans la communauté musulmane du Royaume-Uni, j'ai été exposé à des affiches et des opinions, au mieux condamnant Israël et dépeignant les juifs comme des usurpateurs et des assassins, et, au pire, à des appels à la destruction massive de l « entité sioniste » et de tous les Juifs. En bref, à ne pas accepter l’existence d’un État juif au Moyen-Orient.

Grandir sous l’influence constante de cette haine dirigée contre Israël peut avoir un énorme effet sur les opinions personnelles d'un individu. Plus inquiétant encore, beaucoup de ces gens n'étaient ni radicaux ni extrêmes, mais quand il s’agissait d'Israël, ils se répandaient en la plus vicieuse des rhétoriques, couplée à un antisémitisme occasionnel courant, comme d’utiliser l'expression «cesse de te conduire en Juif" comme une insulte.

Mon père, cependant, était beaucoup plus audacieux dans sa haine, se vantant de la façon dont Adolf Hitler était un héros, son seul défaut étant de n’avoir pas tué assez de Juifs.

Au moment où j'avais atteint mes 18 ans j'étais complètement endoctriné par l'islamisme radical. Ma haine pour Israël et pour les Juifs était alimentée par des images de mort et de destruction, débitées avec, en toile de fond, des mélodies arabes au sujet du Jihad et des discours de Hassan Nasrallah le chef de file du Hezbollah ou de Oussama Ben Laden. Ces vues ont été renforcées lorsque j'ai assisté, le jour de la Nakba, à des rassemblements au centre de Londres, où les orateurs prédisaient la disparition d'Israël et où des drapeaux du Hezbollah ont été fièrement brandis.



Les arguments en faveur d'Israël

Y avait-il des arguments en faveur d’Israël ? Dans mon esprit, bien sûr que non, il n'y avait pas l'ombre d'un doute. Même les imams les plus modérés sur lesquels je suis tombé ont refusé de condamner le terrorisme contre Israël comme étant injustifié, les Juifs devaient évidemment le mériter, pensais-je.

Alors, me direz-vous, qu’est-ce qui a changé? Comment ai-je pu passer de toute cette haine à l'amour parfait et à une si grande affinité avec Israël et le peuple juif? En fait, un jour, je me suis retrouvé dans la section Israël et Palestine d'une librairie locale et j’ai ramassé une copie de Alan Dershowitz : The Case for Israel. Compte tenu de ma vision du monde, les Juifs et les Américains contrôlaient les médias, donc après avoir jeté un coup d'œil au résumé à l'arrière du livre, j’ai haussé les épaules et je me suis dit : " quelle vile propagande sioniste !

J’ai, cependant, décidé d’acheter ce morceau de propagande, dont la critique du contenu serait comme une victoire personnelle pour la cause palestinienne.Mais, lorsque je l’ai lu, j’ai compris les arguments de Dershowitz et cela a provoqué dans mon esprit, la destruction de nombreux mensonges que je prenais auparavant pour des vérités incontestables. J’ai alors désespérément cherché des arguments contre, mais j'ai trouvé la rhétorique plus creuse que je ne l’avais cru pendant de nombreuses années. Je me sentais débuter une vraie crise de conscience, et ainsi commença une période de recherche impartiale. Jusqu'à ce moment-là je n'avais jamais été exposé à quelque chose de positif à l’égard d'Israël.

Maintenant, je ne savais plus ce qu'il fallait croire. J’avais suivi les autres si aveuglément depuis si longtemps, mais là, je me suis demandé si j'avais eu tort. J'avais atteint un point où je sentais que je n'avais pas d'autre choix que de voir Israël par moi-même, car seulement de cette façon, je pourrais vraiment connaître la vérité. Au risque de paraître cliché, ce fut une visite qui changea ma vie.

Aucun État d’apartheid

Je n'ai pas rencontré d’Etat d'apartheid raciste, mais, bien au contraire. J'ai été confronté à des synagogues, des mosquées et des églises, par des Juifs et des Arabes vivant ensemble, par des minorités jouant un rôle énorme dans tous les domaines de la vie israélienne, de l'armée à la magistrature. C’était choquant et révélateur. Ce n'était pas l’Israël sioniste incarnant le mal dont on m’avait parlé.Après une grande introspection, j’ai compris que j’avais eu tort de croire ce que j'avais cru autrefois. J'avais été confronté à la vérité et j’avais dû l'accepter. C’est alors que j'ai dû faire face à une grande question : et maintenant ? J’ai fait campagne contre Israël pendant des années, mais maintenant je savais la vérité…

Le choix était évident: Je devais soutenir Israël, avec cette petite nation, libre, démocratique, qui apportait des progrès considérables a la médecine, la recherche et le développement, et qui était victime des mêmes mensonges et de la même haine qui, autrefois me consumaient.

Faire cela n'est pas facile mais c'est quelque chose qui est devenu vite très évident pour moi. J'ai dû faire face à l'hostilité de ma propre communauté et même de certaines personnes au sein de la communauté juive du Royaume-Uni, mais c'est la réalité que l’on vit si on soutient Israël en Europe aujourd'hui. Ce n'est pas facile, et c'est ce qui rend cette action si nécessaire.

Ce n'est ni religion ni de la politique dont il s’agit mais de la vérité.

Malheureusement, lorsqu’ il s'agit d'Israël, la vérité n'est pas entendue, les rangs de ceux que la haine aveugle, continuent à gonfler, mais beaucoup n'ont jamais été exposés à la réalité qui est si loin de la rhétorique vide et politiquement chargée des slogans dont ils sont si friands.

Nous pouvons changer cette situation mais nous avons besoin d'être forts et unis. Israël n'est pas seulement un problème juif - il s'agit de la liberté, des droits de l'homme et de la démocratie, toutes les valeurs que les nations occidentales chérissent. Car Israël, c'est aussi essayer d'être une lumière parmi les nations.Le travail d’Israël dans l'aide humanitaire internationale parle de lui-même, mais si nous n'obtenons pas ce message de là-bas, personne ne le fera. Nous n'avons pas besoin d'être les premiers à s’excuser en disant : "Israël n'est pas parfait ... "- au contraire, nous ne devrions jamais avoir peur de dire : "Je suis sioniste et fier de l’être, je soutiens Israël".Et maintenant je vous demande : le ferez-vous?

Kasim Hafeez

Aish.fr
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 30 Juillet 2012 à 19:14
HUSSEIN OBAMA est égal a ce qu il a promis aux arabes en arrivant a la maison blanche reconnaisont lui cela
LEVENT RISQUE DE TOURNER pour lui bientot
NON vous n aurez plus a vou farcir Nataniahou comme vous l aviez dit a Sarkosy lors du micropiegé
L AMERIQUE PROFONDE en a assez de vous
Envoyé par Jcl - le Mardi 31 Juillet 2012 à 09:13
DAVID " Yes we care "
Honte aux Americains-israeliens qui ont donne 2 million..Ces 2 millions auraient pu nourrir des israeliens . Un enfant sur trois vit au dessous du seuil de pauvrete .
Lisez "Le livre des Mormons ' et vous decouvrirez ce que les Mormons " pensent " des Juifs et des Noirs ....
Heureusement que ces sionistes en chaise longue ne votent pas .
J'ai vote OBAMA et je revoterai OBAMA
Envoyé par Marine_002 - le Mardi 31 Juillet 2012 à 10:10
il faut savoir que les chretiens surtout les evangeliques ont pour objectif de rassembler les juifs en israel afin que jesus revienne sur terre et puis si les juifs ne sont pas convertis au christianisme ils seront massacrés par ces même chretiens ,que jerusalem ne doit pas etre administré par les juifs voilà
On es en pleine periode electorale ,chacun fait tout pour amadouiller les communautés ,ce sont tous des menteurs !
Envoyé par Moshe_014 - le Mardi 31 Juillet 2012 à 10:37
Peut importe ce qui dissent les hommes, ils font que passer, certains peuvent s'y opposer, parce qu'il ne concorde pas avec leur idéologie , mais les faits son irréfutables, Jérusalem est, a été , et sera toujours la capitale de la Nation juive, depuis de millénaires, des quatre coins du monde, trois fois par jours, les Juifs dirigent leurs prières vers la Terre sainte, implorant Dieu de reconstruire Jérusalem et de restaurer Sa présence dans les saint Temple.Il y a de nombreuses prophéties sur Jérusalem.
"Et Moi, Je lui serai, dit l'Eternel, une muraille de feu tout autour, et Je serai un sujet de gloire au milieu d'elle." Amen .Que ce soit Sa volonté !
Envoyé par Julia - le Mardi 31 Juillet 2012 à 11:45
En visite à Jérusalem, Mitt Romney, candidat républicain aux Etats-Unis a émis l’éventualité de déplacer à Jérusalem l’ambassade des Etats-Unis, qui se trouve actuellement devant la plage de Tel Aviv.

Il a même parlé de Jérusalem comme la "capitale d’Israël".

Scandale !

Tremblement de terre diplomatique !

Scandale dans le monde en effet.

Car ce qui était une promesse électorale du concurrent de Romney aux primaires républicaines, Newt Gingrich, et que Romney a plus ou moins repris à son compte, sans donner de garantie néanmoins, est un scandale pour le reste du monde.

Et ce n’est pas nouveau.

Cela dure depuis des décennies.

Non pas depuis 1967, mais bien depuis 1948.



Jérusalem, capitale évidente pour les Israéliens et pour tout juif dans le monde, n’est pas considérée comme la capitale d’Israël par la plupart des pays dans le monde.

Pas seulement l’est de Jérusalem, mais Jérusalem tout entière.

Elle ne l’est pas pour la France, qui, on l’a vu récemment, lors des dernières élections présidentielles et législatives, n’incluait pas Jérusalem dans le décompte d’Israël.

Elle ne l’est pas non plus pour les Etats-Unis.

En effet, dans une récente conférence de presse de routine la semaine dernière, le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a refusé de répondre à la question d’une journaliste.

Celle-ci était pourtant simple : quelle est la capitale d’Israël ?

Jay Carney a tenté de se défiler : "vous posez la question parce que vous connaissez la réponse".

Mais la journaliste, aidée par un collègue, a insisté : "non, nous ne connaissons pas la réponse.

Quelle est la capitale d’Israël pour cette administration ?".

Cherchant à passer à une autre question, le porte-parole a répondu : "notre position n’a pas changé".

Par la suite, la Maison Blanche a publié une transcription des commentaires de Carney aux médias, ainsi qu’une déclaration précisant la position de Washington sur la question :

"Le statut de Jérusalem est une question qui devrait être résolue dans le statut final des négociations entre Israéliens et Palestiniens.

Nous continuons à travailler avec les parties pour résoudre ce problème et d’autres d’une manière juste et équitable, et respecte les droits et les aspirations des Israéliens et des Palestiniens."



Le statut de Jérusalem attendrait donc, lui aussi, une solution.

Israël, un Etat qui existe déjà –et non pas un Etat à créer de toute pièce, ne peut pas choisir sa capitale.

On pourrait penser que seul l’est de la ville est contesté, ce n’est pas le cas.

L’administration américaine envisagerait-elle que l’Etat d’Israël renonce intégralement à Jérusalem dans le cadre d’un accord de paix ?

Les Juifs qui vivent à Jérusalem doivent-ils quitter la ville ?

Depuis quand un Etat reconnu ne peut-il pas choisir sa capitale ?

Les Républicains n’ont pas été satisfaits par la clarification de la Maison Blanche.

L’équipe de campagne de Romney a distribué une déclaration du plus haut représentant juif au Congrès, Eric Cantor, qui critique Carney.



"Jérusalem est la capitale éternelle du peuple juif, mais cette administration refuse de dire si Jérusalem est la capitale d’Israël" écrit-il. "

A un moment où Israël est confronté à tant de périls, les Etats-Unis devraient se tenir debout auprès de leur allié, et non ergoter ou se quereller au sujet de sa capitale."

Il faut toutefois souligner que ni les Républicains dans le passé, ni les démocrates n’ont fait reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, et l’ambassade reste à Tel Aviv, comme toutes les autres.

Pourtant, une loi, votée par le Congrès en 1995, devait faire de Jérusalem la capitale reconnue d’Israël.

Mais la loi n’a jamais été mise en œuvre.

Par ailleurs, de son côté, le principal responsable de l’AP, Saeb Erekat, qu’on présente partout comme un modéré et qui est l’homme de négociation préféré des Européens et des Américains, a déclaré lundi que l’affirmation de présomption du candidat républicain Mitt Romney que Jérusalem est la capitale d’Israël est "absolument inacceptable".

Rien que ça !

Pourtant, si Jérusalem n’est pas la capitale d’Israël, alors Israël n’a pas de capitale.

Les chefs d’Etat du monde entier devraient y réfléchir, chacun dans sa capitale : Obama à New York, Hollande à Toulouse, Merkel à Frankfurt, et tous les autres à Barcelone, Florence, Canterbury, etc.

Si Jérusalem n’est pas la capitale d’Israël, pourquoi Paris serait-elle celle de la France ?

Misha Uzan/JForum(envoyé spécial)



A la recherche de la capitale d’Israël

Tel Aviv n’est pas la capitale d’Israël.

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Au mois d’avril, "the Guardian"-un des principaux journaux anglais-a déclaré que Tel Aviv était la capitale d’Israël.

Tel Aviv est une ville étonnante.

N’importe quel visiteur y découvrira du high tech dernier cri, des plages animées, une vie nocturne trépidante, une culture riche, et une diversité unique de gens du monde entier.

Mais est-ce que Tel Aviv est la capitale d’Israël ?

Nous avons tenté de le découvrir :
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 31 Juillet 2012 à 12:11
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 20 minutes