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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Romney déclare qu'Obama "sape" les dirigeants israéliens

Romney déclare qu'Obama "sape" les dirigeants israéliens - © Juif.org

Avant son premier voyage officiel en dehors des Etats-Unis, le candidat présidentiel républicain Mitt Romney a accusé le président Barack Obama de "traitement mesquin" des dirigeants israéliens, et a promis d'être ferme contre l'Iran.

"Le président Obama a été capturé par un microphone en se moquant des dirigeants israéliens. Il a sapé leur position, qui était déjà suffisamment difficile comme cela. Et même à l'Organisation des Nations Unies, sous les applaudissements enthousiastes des ennemis d'Israël, il a parlé comme si notre plus proche allié au Proche Orient était le problème."

"Le peuple d'Israël mérite mieux qui ce qu'il a reçu du chef de file du monde libre. Et les chœurs d'accusations, de menaces et d'insultes aux Nations Unies ne devraient plus jamais inclure la voix du président des Etats-Unis."

Romney a dit à une convention des vétérans de guerres étrangères dans le Nevada que les Etats-Unis ne peuvent maintenir la neutralité au Proche Orient, mais doivent lutter contre les djihadistes dans la région. Il a laissé entendre qu'il avait l'intention de demander à l'Egypte de maintenir le traité de paix avec Israël en échange de l'aide économique, entre autres conditions.

Romney a promis d'empêcher l'Iran de produire une arme nucléaire, et a dit : "il doit y avoir une suspension totale de tout enrichissement, quel qu'il soit, point."

Il s'est engagé à "utiliser tous les moyens nécessaires" pour protéger les Etats-Unis et la région d'une dictature islamique nucléaire.

"C'est très simple : si vous ne voulez pas que l'Amérique soit la nation la plus forte sur terre, je ne suis pas votre président," a ajouté Romney. "Vous avez le président actuel."

Les associés d'Obama ont rejeté le prochain voyage à l'étranger de Romney, qui doit inclure des visites en Grande Bretagne, en Israël et en Pologne, comme manquant de substance, soulignant les efforts des démocrates pour le dépeindre comme léger en politique étrangère.

Mais Romney a riposté en disant que Barack Obama avait compromis le leadership des Etats-Unis.

Il a accusé le président de tenter d'apaiser la Russie, en "commençant avec l'abandon soudain d'amis en Pologne et en République tchèque," où l'administration de l'ancien président George Bush avait prévu d'installer des systèmes de défense antimissile pour se prémunir contre une attaque iranienne. La Russie soutient que ces installations rompraient l'équilibre soigneusement élaboré des forces de missiles en Europe.

Il a également affirmé qu'Obama a rejeté les actions du président vénézuélien Hugo Chavez en disant qu'elles n'avaient "pas un impact sérieux sur la sécurité nationale" des Etats-Unis.

"A mon avis, inviter le Hezbollah dans notre hémisphère est grave, sérieux et une menace," a-t-il dit.

Romney a en outre reproché à Obama de mettre les soldats américains en danger par la fuite d'informations classifiées sur l'action militaire qui a tué Oussama ben Laden.

29 commentaires
“Le judaïsme est une discipline de l’attente”

Avec le principe premier par lequel le nom divin investit le monde, puis se retire pour laisser sa chance à l’homme, commence l’épopée fondatrice de notre histoire. Loin de se limiter à l’Antiquité , lejudaïsme est une référence centrale de l’identité de l’Occident. Du droit talmudique à l’existence politique d’Israël, des institutions mosaïques à l’organisation de la société moderne, ilfait sentir son souffle jusqu’à nos jours.



Comment définiriez-vous la spécificité du judaïsme ?

Pour l’approcher et tenter de la définir, je mettrais l’accent sur le coup de force que représente pour le texte biblique le fait de nommer Dieu l’Etre. Le tétragramme YHVH, nom qu’on ne prononce pas dans le judaïsme, est formé sur le radical du verbe être, ce qui revient à affirmer que Dieu est à l’origine de toute réalité, qu’il en est le centre. Or, en hébreu, le verbe être ne se conjugue qu’aupassé et au futur, jamais au présent. Pour dire « je fais », par exemple, on emploiera le pronom personnel et le gérondif : « Moi faisant ». Rien de tel pour « je suis » : « moi étant » n’existe pas, on dira seulement « moi ». Cette particularité grammaticale fait référence à une conception du réel dans l’optique de laquelle nous ne sommes pas encore présents au monde, mais en attente de naissance, en quelque sorte. Dès lors, si tout vient de Dieu, s’il n’y a au départ que l’être - et de l’être-, sepose la question fondamentale de la place del’homme. Lejudaïsme y répond dans lerécit biblique des six jours de la création par le biais d’une métaphore Rigoleieu se serait retiré de l’expansion totale de son être pour faire place en son sein à un être supplémentaire, situation dans laquelle la condition humaine se surajouterait à l’être originel. De là surgit un paysage de l’existence que nous exprime la Genèse. Dans lerécit de la création du monde, Dieu s’arrête le sixième jour – c’est ce que signifie lemot shabbat, la cessation. Comme si l’homme qu’il venait de créer – récapitulé du minéral, du végétal et de l’animal – entrait dans une histoire de laquelle le créateur s’absenterait. Dans cette geste de l’origine des choses, le moment du shabbat amorce l’histoire de l’homme, sur le mode du jour séparé des autres jours. Le principe fondamental du judaïsme est la séparation dans l’être, condition de la création et de la naissance d’un second être.



Dieu s’absente donc pour que l’homme se constitue lui-même ?

Exactement. Et il en résulte tout le drame de l’existence. Le retrait divin peut devenir un abîme de perdition, ou la chance pour l’homme d’accomplir sa propre création. L’homme est un être embryonnaire : les mots « embryon » et « Hébreu » viennent du même verbe hébraïque qui signifie « passer ». Le texte biblique le met face à un choix :

il est libre et appelé à se hausser au niveau du créateur

« Je place devant toi la vie et la mort, choisis la vie ! » Il peut donc opter pour la mort et se perdre corps et biens. Telle est la matrice du judaïsme : l’homme est un être créé, mais il est libre et appelé à se hausser au niveau du créateur. Dans cet univers-là, la vie n’est pas vouée au mal, et la création, nullement finie. Dans le récit de la Genèse, Dieu s’y reprend à deux fois pour créer l’homme, voire trois : après le meurtre d’Abel par Caïn, on lit en effet que le fils d’Adam est Seth, alors qu’Abel et Caïn l’ont précédé. C’est un troisième départ du projet humain. J’essaie de comprendre le texte biblique tel qu’il a été reçu depuis vingt-cinq siècles et dans sa cohérence intellectuelle, très loin de la critique biblique dont la finalité est de la détruire. Cette succession de créations nous montre que, pour la pensée biblique, l’idée même d’homme est un chantier. Lorsque Dieu se retire, surgit ha-adam, qui est à la fois masculin et féminin, créé à l’image de Dieu, lui même masculin et féminin, dimensions qui ne font pas référence à la sexualité, mais posent le principe de l’altérité dans l’être. Dieu doit plonger Adam dans une profonde somnolence quand il crée Eve, comme pour faire lâcher prise à l’ego dans l’être afin qu’apparaisse l’être second. C’est comme si la figure féminine surgissait dans un rêve ! Dans le texte, Dieu ne façonne pas une côte d’Adam pour en faire une femme, contrairement à ce qu’une traduction hâtive du texte pourrait laisser croire. En hébreu, le terme « côte » signifie aussi « côté ». Dans la tradition talmudique, l’Adam originel n’est pas hermaphrodite, mais masculin d’un côté, féminin de l’autre. Le créateurl esépare en deux, comme on le ferait de frères siamois, pour qu’ils se tournent l’un vers l’autre. L’unité originelle de l’adam séparé porte ainsi le surgissement d’un être supplémentaire. L’accomplissement de la création, mais aussi de l’humanité, est tout résumé dans son apparition : la figure féminine en est l’archétype. Dans la phénoménologie, elle est seconde par rapport à Adam, comme Adam est second par rapport à l’être divin. Extraordinaire mise en place d’un paysage mental, où la conscience hébraïque vit dans un monde inachevé, en attente d’un futur qui s’annonce et qui annonce au passé embryonnaire le présent de laprésence, encore à venir. Dans le texte biblique, Dieu s’appelle aussi : « Je serai » ! « Je serai qui je serai »



Que signifie « le retrait de Dieu », quand on parle d’un être réputé immatériel ?

Comme ledit le Talmud,« la Torah parle le langage des hommes », il faut donc s’entendre sur les mots. Dieu s’arrêta et « se reposa », traduit-on de façon très prosaïque. En hébreu, « se reposer » vient du radical nephesh, qui signifie effectivement la vacance, le repos, mais aussi la psyché, mot grec souvent traduit par « âme » et qui désigne en hébreu « la personne » en tant qu’elle est une présence à ce monde. Le retrait divin est ainsi inscrit dans la personne. Or quelle est l’expérience fondamentale de la nephesh ? C’est l’angoisse originelle qui se cristallise, comme disent les psychanalystes, dans la crainte du nourrisson d’être sevré du sein de sa mère. Le sentiment deprivation, de perte, la séparation, la mort, la souffrance, toute la litanie de l’ici-bas, donnent à comprendre que le retrait de Dieu pourrait être interprété comme un manque à combler : c’est cette erreur d’appréciation que la Bible appelle l’idolâtrie. Le manque est cependant le revers d’une plénitude, qui ne se dévoile qu’à la condition de traverser le vide originel sans céder à l’idole. Tous les personnages bibliques accomplissent ainsi ce cheminement qui les ouvre à la découverte du second être. Le judaïsme est cette discipline de l’attente. Elle porte en puissance l’ascétisme aussi bien que l’impatience messianique. Le retrait n’est pas cependant un abandon, car il s’accompagne de l’alliance avec le second être. La séparation a pour fin l’apparition d’un partenaire pour l’alliance avec l’Etre premier, et la Torah est un ensemble de dispositifs, les mitsvot/commandements, pour la mettre en œuvre, des repères sur la voie de l’accomplissement. Il y a là une grande et belle idée que celle du retrait de Dieu, faisant apparaître un partenaire dans l’être, comme condition d’une alliance. On comprend que dans cette optique, on ne saurait imaginer une fusion des partenaires humain et divin. C’est ce qui fit la différence avec le christianisme. ».



Comment caractériseriez-vous le christianisme ? Comme une impatience face à la présence que le dogme de l’incarnation met en forme. Cette innovation ne pouvait naître que dans une conscience judaïque et une attente exacerbée. Voyez Paul et les apôtres… Le christianisme, puis l’islam, ont ainsi une généalogie interne au judaïsme, inscrite dans le geste de l’être que je viens d’esquisser, avant de se séparer de lui par la suite. Tout comme le judaïsme, le christianisme porte un messianisme, sauf qu’il vit déjà dans l’après-venue du messie, ce qui ne lui laisse que l’Au-delà pour l’accomplissement, alors que dans le judaïsme, le drame du salut se déroule dans ce monde-ci. La résurrection que le prophète Ezéchiel dépeint se fait en effet ici-bas, pas dans un autre monde. La généalogie interne des monothéismes est passionnante. J’ai tenté de l’esquisser dans mon dernier livre.



En quoi le judaïsme est-il constitutif de notre monde d’aujourd’hui ?

L’Europe est une invention judéo-grecque que le philosophe Philon d’Alexandrie, juif hellénisé vivant au Ier siècle de notre ère, a pour la première fois conçue en opérant la synthèse des vérités grecques et du texte sinaïtique. Ecrivant en grec, lisant la Bible dans la traduction des Septante, il a réuni deux civilisations anthropologiquement différentes. L’Europe est née de ce mariage qui a donné à l’héritage grec une dynamique métaphysique et historique qu’il ne possédait pas auparavant : lemonde grec vivait dans un univers cyclique, un cosmos avec un ordre déjà installé, où l’homme ne peut s’arracher à son destin –c’est ce que nous montrent toutes les tragédies– alors que l’Hébreu vit dans un temps linéaire, avec une origine et und éploiement vers le futur. Le « monde » biblique est inachevé, c’est ce qui explique pourquoi nos actes peuvent à tout instant y être repris et corrigés. Le repentir et le pardon sont possibles. Le retrait de Dieu, suspendant le jugement des hommes pour un temps, c’est un temps de grâce qui nous est donné pour nous construire. Si l’homme peut se reprendre, il n’est pas la proie du destin et du déterminisme : c’est ce qui fut à la source de l’avancée magistrale de l’histoire de l’Occident, qui a fini par englober la planète en s’universalisant. La Grèce avait quant à elle un rapport au monde fondé sur le pouvoir et l’extériorité, que ne pouvait avoir la conscience biblique aux yeux de laquelle le monde se dérobe à la saisie. La modernité en est l’excroissance. Elle a représenté un cas unique de l’histoire qui a vu une civilisation « se renverser » sur elle-même. Au temps de la tradition, on expliquait tout en fonction de Dieu et du spirituel. Dans la modernité, c’est la matière, la terre, l’économie et le pouvoir qui fournirent l’explication. Il est intéressant de constater que dans cette évolution, la référence au judaïsme a accompagné les principales étapes de l’histoire de l’Occident.

Dans quel sens ?

La rupture moderne est inaugurée par l’apparition du protestantisme qui marque la fin du Saint Empire romain germanique et le début de l’ère des nations. En traduisant directement de l’hébreu le texte de l’Ancien Testament en allemand, Luther opère un retour aux sources. Les croyants chrétiens de l’époque médiévale n’avaient en effet accès aux textes sacrés que par le biais de la traduction latine de la Vulgate, qu’ils ne comprenaient pas, et le plus souvent des sermons ou des bas-reliefs et vitrauxd e l’imagerie des cathédrales. La première Bible en allemand fit d’un idiome vernaculaire une langue de culture. Les littératures nationales naissent à la même époque. Les philosophes anglo- saxons et protestants, eux, chercheront dans la « République des Hébreux » biblique, le modèle de la démocratie pour sortir de l’Ancien Régime. La figure juive joue ainsi, dans les deux grandes époques de l’Occident, tradition et modernité, le rôle d’une référence centrale de l’identité de l’Occident. Dans cette perspective, je me demande si aujourd’hui même le monde moderne ne traverse pas une phase de ce type-là, qui renouvellerait la « question juive ».

Vous voulez dire politiquement, avec la question d’Israël ?

Pourquoi un conflit qui oppose deux fois 5 millions de personnes, prend-il une telle place sur la scène internationale ?

Comment expliquer ce phénomène, sinon du fait que la portée symbolique du judaïsme redevient significative ?

Si les Juifs cessaient d’exister, les deux autres monothéismes les réinventeraient ! Leur identité les reconduit toujours à leur moment fondateur pour se positionner dans leurs propres évolutions !

En cette période de tension dans le monde musulman où s’affrontent chiisme et sunnisme, démocratie et islamisme, où de grands mouvements de populations se produisent et où l’Europe pourrait s’unifier, Israël est devenu le sismographe des identités collectives nées de la Bible. La résurgence d’une souveraineté juive sur la terre d’Israël, il faut le constater, représente un phénomène cataclysmique sur le plan de l’économie symbolique de vingt siècles d’histoire occidentale et orientale. De la même façon, la résurrection de la langue hébraïque, qui avait quasiment disparu de la surface du globe, réactive le récit judaïque de l’histoire humaine. Les Israéliens, qui ont voulu « être normaux » en devenant une nation comme les autres, sont eux-mêmes dépassés par cette histoire. C’est fascinant, tout comme le fait que cela se produise au sortir d’une dispersion de vingt-quatre siècles… Nous vivons entre Occident et Orient une période de grands bouleversements qui aboutit à un repositionnement général des entités culturelles, où la figure juive redevient questionnée – et l’Etat d’Israël, forcément remis en jeu. Vertigineux décalage entre son importance symbolique et sa faiblesse numérique. Pour en mesurer l’exceptionnalité, il faut prendre conscience que la question ne se pose pas en Asie, terra incognita pour le message biblique. Ce qui n’empêche pas les Chinois et les Japonais de s’interroger sur l’énigme de l’existence de l’Israël contemporain. !

PROPOS RECUEILLIS PAR PATRICE DE MÉRITENS
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 31 Juillet 2012 à 12:18
ambamèè bel tyiyma ... c ' est ça le président américain ...c ' est le premier président dans toutes les couleurs , un vêritable caméléon il vire du rouge --russie , au jaune --chinois , et de la croix rouge--au croissant--rouge , c ' est obama , notre caméléon , avec sa langue il saisit n ' importe qui , qui soit volant ou rampant , mais ambamèè bel tyiyema , préfère les rampants ...les couleurs ça le connait ...il n ' a pas besoin d ' un droguiste , il est doué ... mais se fait avoir par le croissant rouge...aujourd ' hui il croit aux balivernes du terroriste abbas , qui se fait appeler à bout mon zen pour la galerie ... dans sa gueule il sait comment calomnier Israël et surtout les juifs ... de l ' argent il en a ...il dépense et ne rembourse jamais rien ....toujours deux mains , je tends les deux mains et je dis : s v p monsieur , donnez moi du flouss , j ' ai besoin de voyager pour dire comment les juifs ont occupé la palestine ...de la jordanie , ah que nenni , je ne dirai rien , abdallah c ' est mon frère , il est muslman , et puis c ' est le roi ...il a pris la palestine juive , et alors...oui je sais il a aussi le royaume achèmite en arabie saoudite...ces gens là , sont des gens de bonne famille ( plein de pétro dollars) et moi abbas j ' aime les pétro-dollars !

je suis content que ambamèè bel tyiyèma soit caméléon ...il y a quatre ans tout était rouge , et aujourd ' hui , quatre ans après toute est jaune ...ambama adore le poison , cyanure ou la main tendue !
Envoyé par Jacques_079 - le Mardi 31 Juillet 2012 à 15:08
La majorité des juifs dans le monde ont pour capitale deux viilles :

Jérusalem ASSOCIÉE à paris ou new-york ou londres ou berlin etc etc...
Quand ils aurons une seule et même ville pour Capitale ?
Les nations reconnaitrons JERUSALEM entière et INDIVISIBLE.
Envoyé par Moise_006 - le Mercredi 1 Août 2012 à 07:50
Barack HUSSEIN Obama!!
-ça explique trop des choses!! Star En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! Star
yehudim!!
rappellez vous le speach de Obama devant le parlaiment-(ou plus-tôt le "divan" islamiste??!!)-egyptien il y'a deux ans ce la!! Star Embarrassé En colère ! En colère ! Embarrassé Star
Envoyé par Bar-oni - le Mercredi 1 Août 2012 à 11:18
Les mouches convoitent le miel délicieux et veulent se l'approprier
Je propose la mecque comme capitale des U.S.A
Envoyé par Claire_021 - le Mercredi 1 Août 2012 à 11:56
Chers amis,

Jérusalem est reconnu par les candidats à la présidence américaine... mais sera reconnu par les présidents américains (élus) que, lorsque JERUSALEM fera en sorte d'être reconnu par le Monde entier.

Pour cela, il me semble qu'ISRAEL a déja bien manoeuvré avec les Etats arabes voisins (+ Ligue arabe) :

* En novembre 1947, le "partage" était accepté par les JUIFS... refusé (juré, craché !) par les ARABES (pays arabes + Ligue arabe + Oumma (Nation arabe) + "azzreen"...) Clin d'oeil

* En 1949 à Rhodes, des Lignes dArmistice étaient reconnus par les ARABES (la "Ligne Verte" de 1967)

* En 1956, Ben Gourion rend le SINAI en "échange" de la Paix... refus des arabes (mais la frontière de 1949 n'était plus remise en cause... malgré la haine et les attentats périodiques)

* En 1967 -après le 10 juin- les ARABES acceptent la FRONTIERE de 1947... Ah ! Ah ! Ah !

* Après 1973 (lorsque Mr Kissinger au KM101 sous la tente, dans le Sinai, a permis le Traité de Paix entre Israel et l'Egypte), l'Egypte s'est délesté de GAZA... avec un tel plaisir !

Depuis, les revendications territoriales arabes se sont réduites, au fil du temps :
>acceptation des frontieres du 4 juin 1967
>acceptation des frontieres du 4 juin 1967 + des mineures rectifications
>acceptation des frontieres du 4 juin 1967 + des majeures rectifications (compensées par des terres israeliennes, en remplacement)
>acceptation des frontieres ACTUELLES "moins" des majeures rectifications consenties aux palestiniens
..../....
Envoyé par Herve_019 - le Mercredi 1 Août 2012 à 12:59
Qu'on le fasse savoir à Mr. Obama: (1) Jerusalem N'A PAS DES ZONES - C'EST UNE SEULE ET UNIQUE VILLE;
(2) JERUSALEM A ÉTÉ, EST ET SERÁ TOUJOURS LA CAPITALE D'ISRAEL; (3)MR. LOBAMA NÁ PAS À METTRE SON NEZ EN NOTRE PAYS ET ÉTANT D'ORIGINE NÈGRE IL AURAIT DU SAVOIR MIEUX QUE N'IMPORTE QUI CE QUE VEUT DIRE ÊTRE DISCRIMINÉ, POURSUIVI, RACISTE, "DIFFÉRENT". Mr. Obama devrait se recueillir, mesurer et pondérer ses paroles car celles-ci ne feront qu'encourager nos ennemis voués arabo-islamites, leur donnant encore plus de force. J'espère que les EUA ne se courbent ni se plient au-devant de ces vauriens et vagabonds, honteusement et indignement comme le font la France, Angleterre, Suède, Belgique et autres.
Envoyé par S. - le Mercredi 1 Août 2012 à 20:13
Tous les Juifs du monde devraient oublier, même que provisoirement - leurs différences et faire front unique contre tous nos ennemis ce qui veut dire presque le monde entier. Ça suffit de supporter ces attaques et humiliations; il faut réagir et rendre coup pour coup et coût que coût, rien que pour mettre les points sur les "i" au-devant de tous ces antisemites. "Pour avoir et maintenir la paix il faut être prets pour la guerre" - Si les Juifs déposent leurs armes nous seront massacrés. Si les arabo-musulmans déposent les leurs nous aurons la paix!
Envoyé par S. - le Mercredi 1 Août 2012 à 20:28
La communauté juive Américaine est partagée entre les déclarations du candidat Républicain et l'électorat qui le compose.
Majoritairement progressiste donc Démocrate, la communauté Juive Américaine semble encore préférer Hussein Obama au voisinage de l’électorat Républicains. ???
I l est intéressant de faire le parallèle avec la communauté Juive en France.
Lors des dernières élections, la communauté juive de France qui à toujours penchée à gauche a reporté massivement son vote en faveur du candidat Sarkozy, ce dernier défendant Israël et affichant une volonté de garantir leur sécurité physique des juifs Français.
Bien que l’on ne peut pas comparer la plus grande démocratie du monde avec la situation de la France qui subit un antisémitisme intégriste et violant, l’envie fut très forte pour la communauté de voté Le Pen lors des dernières élections. Au prétexte qu’elle aurait le mieux défendu nos intérêts en attaquant nos ennemis. Se refusant de jouer « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », la communauté s’est retenue et n’a pas reporté son vote sur le parti de Marine.
Néanmoins la communauté Américaine comme la communauté Juive Française doivent se poser les bonnes questions.
Si le vote juif Américain, si important dans les Etats des grands électeurs est irrémédiablement acquit aux Démocrates, qui empêchera Hussein Obama de soutenir ouvertement le camp Arabe ?
Mitt Romney l’a bien compris, il est allé chercher le soutient du gouvernement Israélien qui fera ce qu’il
Envoyé par Georges_062 - le Jeudi 2 Août 2012 à 10:22
Membre Juif.org





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