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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe dernier débat Obama-Romney se concentrera sur l'Iran, Israël et la LibyeL'électeur américain moyen est plus intéressé par l'économie chancelante, la politique d'immigration et l'avortement que par la politique étrangère. Toutefois, le débat de lundi entre le candidat républicain Mitt Romney et le président Barack Obama, qui sont à égalité dans les sondages (47% chacun), mettront l'accent, entre autre, sur la crise nucléaire iranienne, l'attaque meurtrier contre le consulat américain à Benghazi, et Israël. Selon les derniers sondages, Obama a toujours un avantage dans les "swing states" (états dont le vote n'est ni acquis aux républicains ni aux démocrates). Les républicains ont accusé Obama pour la détérioration des relations américano-israéliennes sur le désaccord sur la ligne rouge qui devrait être définie pour le programme nucléaire iranien, ainsi qu'un désaccord sur les "palestiniens". Les républicains ont également accusé Obama de ne pas s'être rendu compte tout de suite que l'attentat contre le consulat américain de Benghazi en Libye avait été prémédité et n'était pas le résultat d'une réaction spontanée suite à un obscurs film dénonçant l'Islam, soi-disant la raison de nombreuses émeutes à travers le monde islamique. Obama a insisté sur le fait qu'il avait appelé l'attaque un acte terroriste, mais la CIA a publié un rapport confirmant que quatre jours après l'attaque, il croyait encore que c'était spontané. Un parlementaire républicain a récemment publié des notes envoyées par l'ambassadeur Chris Stevens, qui a été tué dans l'attaque, dans lesquelles il demandait au département d'état d'accroître la sécurité autour des diplomates américains en Libye. Obama, pour sa part, se concentrera probablement sur sa décision de retirer les troupes américaines d'Irak et d'établir un calendrier pour un retrait d'Afghanistan, prévu pour 2014. Il devrait également insister sur la lutte contre le terrorisme international, y compris l'élimination d'Oussama ben Laden et d'autres responsables d'Al-Qaïda en Afghanistan et au Yémen. Romney, d'autre part, pourrait avoir à répondre à des questions au sujet de son voyage "raté" en Europe et en Israël en juillet dernier. L'ancien gouverneur du Massachusetts avait réussi à insulter les britanniques lorsqu'il avait dit que Londres n'était pas prêt à accueillir les jeux olympiques. Il a aussi provoqué la colère des arabes de Judée Samarie lorsqu'il a dit à des donateurs juifs leur culture fait partie de ce qui leur a permis d'être plus florissant économiquement que les "palestiniens". Quelques semaines plus tard, une vidéo avait été diffusée dans laquelle Romney dit lors d'une collecte de fonds privée que le conflit entre Israël et "palestiniens" était "insoluble" et que sa stratégie serait de "botter le ballon sur le terrain." "Je vois les palestiniens ne voulant pas faire la paix de toute manière, pour des raisons politiques, commis à la destruction et l'élimination d'Israël, et ces questions épineuses, et je dis 'il n'y a pas moyen'. Toutes les vérités ne sont semble-t-il pas toujours bonnes à dire. Articles connexes
40 commentaires
| Membre Juif.org
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étrangère, lui, possède des éléments que n'a pas Romney.
Le fait que les deux hommes donnent l'impression de partager sur Israël la même position
ne me retire pas de l'idée, qu'Obama ne dit pas la vérité sur ses intentions, si il est réélu.
Obama veut faire plier B.Natanyahou sur plusieurs sujets vitaux pour Israël et il attend sa
réélection pour les mettre en application.
Concernant l'Iran, je crois que les deux hommes sont partiellement d'accord pour que ce
pays ne développe pas l'arme atomique seul le mode d'intervention pour l'empêcher à l'avoir
diffère.
Alors, maintenant que les 3 faces à faces ont eu lieu la décision est entre les mains des
américains sur le choix de l'homme qui va gérer pendant 4 ans les USA.
En préalable, on se rappellera que l'élection présidentielle américaine n'est pas, comme en France, une élection au suffrage universel direct, mais une élection a
au suffrage universel indirect, les Américains élisant des grands électeurs ( dont le nombre n'est pas le même d'un Etat à l'autre ) lesquels désignent ensuite le président.
Mais ce qui frappe, dans les derniers sondages - et sur des questions qui, pour nous du moins, peuvent apparaître comme des questions-clés - , c'est l'écart en faveur de Baraq 'Hussein Obama, et un écart considérable. Le dernier débat ( celui de cette nuit ) se solde par les chiffres suivants recueillis dans la catégorie des " indécis " : 23 % pour Romney et 53 % pour Obama, selon CBS ; 42 % pour Romney et 52 % pour Obama, selon PPP ; 40 % pour Romney et 48 % pour Obama, selon CNN. 23-40-42 et 48-52-53. Les écarts considérables entre les différents sondages posent en eux-même question. Mais il demeure que la tendance indiquée est la même pour les différents instituts, et que, même si l'on fait jouer la fameuse marge d'erreur ( 3 à 4 % ) qu'admettent tous les spécialistes des sondages, ceux-ci demeurent, en tout état de cause, nettement favorables à Obama.
Si l'on regarde ce que je désigne ci-dessus comme des " questions-clés " , du moins selon nos soucis actuels, pour ce qui est de la capacité de gérer une crise internationale, Romney est crédité de 49 % des suffrages ( il était voici peu à 46 % ) et Obama de 71 % ( il est passé de 58 à 71 % ). Pour ce qui est de la capacité à lutter contre le terrorisme et à assurer la sécurité nationale, Romney recueille 36 % des suffrages et Obama 64 % ...
On fera remarquer, à juste titre, qu'il s'agit de sondages réalisés " à chaud " et que cela peut expliquer l'ampleur des écarts - ce qui est probable mais jusqu'à un certain point seulement.
J'espère que les électeurs, notamment ceux des Etats-pivots ( les fameux " swing states " ) rectifieront en quelque sorte ces sondages ... Mais j'ai des doutes ...
Je crois que le parti républicain a un problème de leadership. Et que Mitt Romney, sélectionné en fait par l'appareil du parti, n'est pas vraiment l'homme de la situation. Je souhaite me tromper. Le parti républicain a tendance - il me semble - à faire émerger ( d'ailleurs malaisément, au terme et au travers d'un processus de désignation lent, laborieux, confus, fertile en rebondissements et en déceptions successives ) des candidats par trop conformes à l'idée qu'on peut se faire des WASPs ... : blanc, riches, bien propre sur eux, nets et sans aucune aspérités : en bref, pas tellement " juicy " ( = " band
" bandants " , si j'ose ainsi traduire ...
J'espère que je me trompe. Ou, plus exactement - car je maintiens cette analyse ou ces impressions - , j'espère que, malgré tout, un sursaut empêchera la réélection de Baraq 'Hussein Obama ...
Ai-je raison d'espérer malgré tout ?
De toute façon, même en cas d'élection de Mitt Romney, la partie demeurera difficile à jouer pour Israël. Nettement moins, toutefois, qu'elle ne le serait en cas de réélection de Baraq 'Hussein Obama. Dans ce deuxième cas de figure, comme on peut penser que l'électorat d'Obama serait en diminution par rapport à 2008, le poids de l'opinion publique et du Congrès seraient d'utiles contre-poids à un Obama qui ne se sentirait plus autrement tenu.
Je pense aussi que si Romney était élu, la politique américaine à l'égard de l'état Juif ne changerait pas d'un iota...déjà, parce que le pays est beaucoup plus endetté que ce qu'il veut bien admettre, que les citoyens subissent un chômage et une crise financière bien plus importante encore et que le le bout du tunnel n'est pas visible pour l'instant...alors, s'aventurer dans une "guerre" supplémentaire contre l'iran, ne serait pas envisageable, d'où les pourparlers directs qui risquent de s'engager très prochainement entre les deux pays...
Personnellement, je serai heureux que hussein soit viré de la maison blanche, mais, le mormon ne sera guerre plus favorable à l'état Juif...
intellectuelle parlant Obama sera réélu pour le deuxième mandat, Romney est mormon je vous conseille de lire dans le thora et la bible, ce Dieu dit a propos des secte, Romney c'est un candidat des riches il sont fiches des pauvres alors que Obama essai de partager la richesse au pauvres... pour nous les juifs nous devant compte sur notre Dieu
shalom
Et je ne crois pas que Baraq 'Hussein Obama ait exactement et sans transition pour programme le partage des richesses ... C'est un socialiste et un tiers-mondiste, c'est certain, mais il doit tout de même avancer dans une certaine mesure masqué. Il ne peut pas tonitruer comme le pitre rebondi ( Hugo Chàvez ).
Cela dit, s'il était donné que Baraq 'Hussein Obama ait ouvertement pour programme de partager les richesses, alors ce serait une bénédiction, car la masse du peuple américain se détournerait d'un communiste avoué ... Mais ne rêvons pas ...
Pour le denier point, David, j'ajouterais que notre D. doit aussi pouvoir compter sur son peuple pour réfléchir aux moyens ( politiques et militaires notaes plus propres
Et je ne crois pas que Baraq 'Hussein Obama ait exactement et sans transition pour programme le partage des richesses ... C'est un socialiste et un tiers-mondiste, c'est certain, mais il doit tout de même avancer dans une certaine mesure masqué. Il ne peut pas tonitruer comme le pitre rebondi ( Hugo Chàvez ).
Cela dit, s'il était donné que Baraq 'Hussein Obama ait ouvertement pour programme de partager les richesses, alors ce serait une bénédiction, car la masse du peuple américain se détournerait d'un communiste avoué ... Mais ne rêvons pas ...
Pour le denier point, David, j'ajouterais que notre D. doit aussi pouvoir compter sur son peuple pour réfléchir aux moyens ( politiques et militaires notaes plus propres