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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL'Iran et Israël ont été les principaux enjeux du débat présidentielLes deux candidats à la présidence américaine ont a plusieurs reprises parlé de leur soutien à Israël et leur intention de ne jamais laisser l'Iran acquérir des armes nucléaires dans le dernier débat avant l'élection. Au cours du débat, consacré à la politique étrangère, les deux candidats ont dit qu'ils soutiendraient Israël si l'état juif devait être attaqué par l'Iran. "Si Israël est attaqué, l'Amérique se tiendra aux côtés d'Israël," a déclare le président américain Barack Obama, répondant à la question posée par le modérateur Bob Schieffer. Son challenger républicain, Mitt Romney a répondu pour sa part en disant : "si Israël est attaqué, nous les soutiendrons, et pas seulement diplomatiquement, pas seulement culturellement, mais militairement." Mais les deux candidats ont refusé de répondre à ce qu'ils feraient si ils recevaient un appel téléphonique les informant qu'Israël attaque l'Iran. "Il ne faut pas rentrer dans l'hypothèse de cette nature," a dit Romney, ajoutant que la relation qu'ont les Etats-Unis avec Israël est si proche, "nous ne recevrons pas un appel disant nos bombardiers sont en route, ou nos combattants sont en route. C'est le genre de chose qui aura été discutée et évaluée en profondeur bien avant." Obama, pour sa part, n'a pas abordé la question, préférant se concentrer sur d'autres aspects de la politique moyen-orientale que Romney a abordé dans le cadre de sa réponse. Romney a mentionné à plusieurs reprises les tensions entre les Etats-Unis et Israël, disant que le fait qu'Obama a éviter de visiter Israël lors de sa visite au Proche Orient dans la première année de son mandat a été remarqué par les états arabes, et que la "lumière du jour" mise entre les deux pays par Obama avait été remarqué par l'Iran. Obama a répondu en parlant du voyage qu'il avait fait en Israël en 2008 en tant que candidat, qui contraste selon lui avec la visite de Romney cet été, qui comprenait entre autre une collecte de fond. "Quand je suis allé en Israël en tant que candidat, je n'ai pas visité des donateurs. Je n'ai pas assisté à des collectes de fonds," a déclaré Obama. "Je suis allé à Yad Vashem, le musé (…) de l'Holocauste, pour me rappeler de la nature du mal, et pourquoi notre soutien à Israël sera incassable. Et puis je suis descendu dans la ville frontalière de Sdérot, qui a connu une pluie de missiles du Hamas." Et il a dit au sujet de la relation avec Israël et ses autres alliés, "nos alliances n'ont jamais été aussi fortes, en Asie, en Europe, en Afrique, en Israël, où nous avons une coopération militaire et dans les renseignements sans précédent, y compris en traitant la menace iranienne." Sur l'Iran, Romney a étiquette "la plus grande menace pour la sécurité nationale" à laquelle fait face l'Amérique, et noté a plusieurs reprises que Téhéran est aujourd'hui "quatre ans plus proche de l'arme nucléaire" que quand Obama a pris ses fonctions. Obama, en revanche, a souligné que les réseaux terroristes sont la plus grande menace. Mais il a souligné que "l'Iran n'obtiendra pas l'arme nucléaire." Bien que les lignes rouges sur l'Iran aient reçu beaucoup d'attention récemment, Obama en a posé une pendant le débat, mais sur l'Egypte. "Ils doivent se conformer à leur traité (de paix) avec Israël. C'est une ligne rouge pour nous, parce que non seulement la sécurité d'Israël est en jeu, mais notre sécurité est en jeu si cela se défait," a-t-il dit. Articles connexes
40 commentaires
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... pour réfléchir aux moyens ( politiques et militaires notamment ) les plus propres à assurer sa défense et son développement.
Il faut que les Juifs comprennent que le salut de notre Peuple est dans l'Alya...le reste n'est qu'une question de temps....
J'ai bien peur en effet qu'Oblabla ne repasse. Romney n'a aucun charisme - et à dire vrai, je n'ai aucune confiance dans la façon dont il s'occupera de la politique intérieure, ni de la politique extérieure et pour tout dire, je me demande même s'il ne sera pas le nouvel irresponsable de la Maison Blanche, répondant trop vite aux provocations innombrables et réagissant à chaud, emmenant ainsi l'Occident droit dans le mur. Il est vrai que Gingrich était moins policé, moins lisse, moins " beau mec " selon les canons hélas en vigueur aujourd'hui, mais je pense que sous les dehors abruptes qu'on lui connaît il aurait été beaucoup plus en phase avec le peuple américain , avec l'Amérique telle qu'elle est fondamentalement, mais voilà, Romney est (semble ?) si propre sur lui, si intégré à une certaine société, tout comme l'étaient hélas beaucoup de présidents américains, que l'establishement l'a choisi.
Alors Oblabla ou pas, je crois que nous allons au devant de graves ennuis.
qu'[l a trompe l'Amerique comme l'a fait Armstrong,deux "champions" qui ont trompe le monde entier
LEURS PERTES SERONT A LA HAUTEUR DE LEURS FORFAITS
En l'occurrence, ce qui est important du point de vue de la sécurité d'Israël et du monde juif tout entier, ce n'est absolument pas la position, réelle ou mensongère, de ce petit roîtelet Barak-HOUSSEIN d'Américanie. Ce qui compte véritablement et exclusivement, c'est son attitude REELLE, vis-à-vis du monde arabo-musulman. Or là il n'y a aucune question à se poser: il est tout simplement le véritable défenseur de l'islamisation totale du monde entier. Il ne faut quand-même pas oublier ses origines et son histoire depuis sa petite enfance.
A supposer qu'il veuille vraiment être l'"ami" d'ISRAEL (mensonge de plus), il n'ira tout de même pas jusqu'à trahir son Père, un bon Muslim africain, ni surtout ses propres convictions.
Vouloir et pouvoir sont deux choses distinctes. Baraq 'Hussein Obama a " le " pouvoir, et donc, " des " pouvoirs et " du " pouvoir. Mais ce n'est pas un monarque absolu. Il n'a pas tous les pouvoirs et il n'a pas tout le pouvoir. Il doit par exemple compter avec l"opinion publique, avec le Congrès ( rappelle-toi l'accueil triomphal que celui-ci avait fait à Benyamin Netanyahu en mai 2011 ), avec tous les moyens " de contrôler et d'équilibrer " ( " checks and balances " ) qui font justement qu'un président américain n'est pas tout-puissant. Il doit même compter avec l'appareil et les élus de son propre parti, le parti démocrate, qui n'est pas un monolithe stalinien.
En quatre années, il n'a pas réussi à faire plier Israël - sur aucun point fondamental ( renoncer à construire à Jérusalem et en Judée-Samarie ; céder la moitié de Jérusalem et le
Golan ; céder sur les prétendues " frontières de 1967 " ; céder sur le retour ( sic ) des prétendus " réfugiés " arabo-palestiniens ). Il n'a pas non plus réussi à imposer la prétendue " solution à deux Etats " .
Cela dit, il a laissé l'Iran avancer jusqu'au seuil de l'arme atomique ( et peut-être même un peu au-delà ce ce seuil ). Il mis en oeuvre le plan des secteurs brzézinskiens du Département d'Etat : créer une nouvelle alliance pour les Etats-Unis dans le monde musulman par la substitution, encouragée, voire suscitée, par Washington, des islamistes sunnites prétendument " modérés " ( les Frères Musulmans ) aux cliques militaro-nationalistes - mais, là aussi, avec des limitations ( les islamistes " modérés " sont difficiles à contrôler et servent en fait - comme en Tunisie - de cache-sexe aux islamistes pas du tout modérés ... ; les dynastes chérifiens - Mohammed VI au Maroc, Abdallah II en Jordanie - conservent le pouvoir, même si celui-ci, surtout en Jordanie, paraît menacé ; Bachar el-Assad résiste en Syrie ). Enfin, jusqu'à présent ( mais on dit que des négociations secrètes se poursuivent et pourraient aboutir prochainement ), un accord avec le shî'isme iranien n'a pas été trouvé.