|
Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou fait le voeux de ne pas céder plus de terresAlors que les factions palestiniennes rivales du Fatah et du Hamas sont réunies mercredi au Caire pour discuter d'une réconciliation, le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré qu'il ne cèderait plus aucune terre aux palestiniens. Plus tôt ce mois-ci, Netanyahou a indiqué qu'il croyait que le Hamas pourrait renverser l'autorité palestinienne dirigée par le Fatah en Judée Samarie. Le président de l'AP, Mahmoud Abbas, et le chef du groupe terroriste Hamas, Khaled Mashaal, devaient se rencontrer au Caire mercredi pour discuter de la fin du différend de longue date entre les deux groupes terroristes rivaux. "Nous voyons les dangers clairement," a dit Netanyahou. "Aujourd'hui, Abou Mazen (Abbas) est au Caire avec le chef du Hamas. Ils sont à la recherche d'un accord d'unité entre le Fatah et les terroristes qui ont essayé d'anéantir l'état d'Israël, et qui ont tiré des roquettes sur nos villes." Il a poursuivi : "nous savons que tout territoire que nous évacuons sera saisi par le Hamas et l'Iran, et nous ne laisserons pas cela se produire." Des responsables du Hamas et du Fatah ont déclaré que les pourparlers du Caire se concentreront sur les moyens de mettre en œuvre les accords de réconciliation antérieurs intervenus entre les deux groupes, d'abord et avant tout la formation d'un gouvernement palestinien d'union nationale et la tenue attendue de longue date d'élections présidentielles et législatives en Judée Samarie et dans la bande de Gaza. Après le sommet Abbas-Mashaal, des responsables du Hamas et du Fatah auront des entretiens séparés au Caire pour poursuivre les efforts pour mettre fin au conflit, selon des responsables. La délégation du Hamas a également prévu de tenir des entretiens avec des responsables du renseignement égyptien pour discuter des moyens pour consolider l'actuel cessez-le feu dans la bande de Gaza. Articles connexes
92 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 3 heures - Le Monde diplomatique
Il y a 3 heures - Le Figaro
Il y a 4 heures - i24 News
Il y a 4 heures - Times of Israel
Il y a 6 heures - Le Figaro
Il y a 2 heures par Blaise_001
11 Mai 2025 par Claude_107
10 Mai 2025 par Blaise_001
10 Mai 2025 par Blaise_001
29 Avril 2025 par Blaise_001
8 Mai 2025 - Torah-Box
8 Mai 2025 - Torah-Box
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Bien sûr, on pourra dire qu'il ne s'agit pas des mêmes espèces d'islamistes. Ceux que la France ( comme les Etats-Unis ) appuie sont plutôt du genre " Frères Musulmans " . Mais ce n'est pas si clair ni si simple : en Libye et, plus encore, en Syrie, les " Frères Musulmans " peuvent se faire damer le pion, çà et là, par des islamistes du genre " Al-Qaïda " ( les potes de ceux qui sont en train d'investir l'Afrique sahélienne ). Et, de toute façon, il n'est pas évident que les bandes muzzs des " banlieues " , " cités " et autres " quartiers " des " zones sensibles " ( les fameux " territoires perdus de la République " où domine l'alliance des gangs de la drogue et des imams salafistes ) sauront percevoir les subtiles différences entre l'aide aux uns ( les islamistes type " Frères Musulmans " en Libye et en Syrie, par exemple ) et les coups portés aux autres ( les islamistes type " Al-Qaïda " au Mali ). Il paraît que l'intervention française au Mali a déjà entraîné
sur Internet des centaines d'appels au djihad contre la France ... Ce qui a amené le gouvernement français à relever le niveau d'alerte du plan " Vigiepirate " .
Les Américains aussi sont dans la même contradiction ( on l'a vu lorsque l'ambassadeur américain en Libye a été assassiné à Benghazi ). Mais eux sont tout de même à quelques milliers de kilomètres des théâtres d'opérations. Et ils n'ont pas ( encore ) à domicile l'équivalent des colonies de muzzs qui peuplent en France les 750 à 800 " zones sensibles " .
Je me dis qu'il pourrait y avoir là l'amorce de sérieux problèmes pour les dirigeants français. D'autant que, si, par hypothèse, la France renonçait à soutenir les Etats du Sahel, ceux-ci s'effondreraient, et les Etats du Maghreb comme l'Algérie et le Maroc seraient alors directement menacés. Or, mener des jeux tortueux avec des islamistes ( et contre Israël ) au Proche-Orient est une chose. Tolérer l'installation de régimes islamistes pas du tout " modérés " sur la rive sud de la Méditerranée serait une tout autre chose. L'intervention militaire de la France au Sahel est donc logiquement appelée à s'intensifier et le " grand arrière " que constitue la France par rapport à ces pays appelé à se porter de plus en plus à l' " avant " - sauf si ( hypothèse peu probable ) les islamistes d' " Ansar Din " et d' " AQMI " étaient très vite complètement détruits.
Je partage tout à fait ton avis, et c'etait un peu l'ironie de mon post... Mais ou va la france ???, et comme tu le faits justement remarquer, des jours dangereux en vue pour la france, en plus de s'enfoncer dans un conflict dont hollande n'a aucune idée de l'etendue et des consequences à moyen terme...
AM ISRAEL HAY
AM ISRAEL HAY
d'autre part, on voit bien à travers les reportages de guerres que la guerre au Mali met en évidence que la France à pris du retard dans la technologie militaire en envoyant sur place des avions Mirage et des hélicoptères, très vulnérables, là où il suffirait de quelques drones pour détruire en quelques heures cette armée le terroristes particulièrement voyante sur le sable à bord de camionnettes armées; pauvre France qui envoie ses soldats au casse-pipe pour défendre des Africains qu'on voit attablés dans des bistrots !
Mais, dans la journée de vendredi, les choses se précipitaient sur place de telle manière ( prise de Konna, à moins de cent kilomètres de l'aéroport international du Mali, à Sévaré ) que les forces françaises étaient amenées à effectuer en urgence une intervention faute de laquelle la capitale du Mali, Bamako, serait, à l'heure actuelle, aux mains des islamistes. Il n'était plus question de l'ONU ...
Ceci a au moins une signification : c'est que la France, non pas va se trouver, mais se trouve déjà en première ligne. Est-ce que l'Etat-Major y était préparé ? - Difficile de se faire une opinion précise. Tu évoques l'inadéquation des matériels ... C'est peut-être un peu rapide ... La question la plus importante est ( ou sera ) peut-être celle de l'engagement de troupes françaises au sol ... : le cauchemar, en somme, pour Paris ... Qui ne pourra, dans cette affaire, guère compter que sur lui-même, non que les armées africaines, celles des pays de la CEDEAO, se refusent à intervenir, mais que pèsent-elles ? Quant à l'Union Européenne, ou aux Etats-Unis, ils offriront au mieux leur " soutien logistique " comme vient de le faire David Cameron ... : tel est le revers de la médaille françafricaine : la Françafrique, c'est l'affaire des Français. Et c'est à chacun de tenir " son " front : tout - la géographie, l'histoire, je le répète - se conjugue pour faire de l'ex-empire colonial africain de la France l'affaire des Français.