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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient"Kerry va faire pression pour un accord de paix permanent pour le mois d'avril"Le secrétaire d'état américain John Kerry espère réduire les divergences entre Israël et l'autorité palestinienne dans les "négociations de paix" cette semaine qui sont destinées à guider les deux parties vers un accord pour avril, a déclaré mardi un haut responsable du département d'état. Kerry s'envolera mercredi pour la région après une pause pour la fin de l'année civile. Israël et l'autorité palestinienne ont repris les négociations en juillet, après une pause de trois ans, visant à produire un accord de paix dans les neufs mois et mettre fin à un conflit vieux de plusieurs décennies. Le responsable américain, qui a parlé sous couvert d'anonymat, a déclaré que Kerry ne s'attendait pas à une percée lors de sa visite, mais insiste pour que les parties s'entendent sur un ensemble de principes de base, tels que la sécurité, l'avenir de Jérusalem et le sort des "réfugiés", dès que possible. Une telle mesure démontrerait également à la fois aux israéliens et aux arabes que des progrès sont réalisés. Israël a fait sa part de l'accord, en libérant une fois de plus 26 terroristes arabes mardi, le troisième de quatre groupes à retrouver la liberté de pouvoir à nouveau tuer des israéliens. "Le cadre est une base sur laquelle on pourrait négocier un traité de paix définitif parce que les lignes ou les lignes directrices sur ce a quoi devrait ressembler un accord final seraient acceptées, et alors vous travaillerez intensément pour remplir les détails," a indiqué le responsable américain. Il a déclaré que le cadre agirait comme un guide pour parvenir à un traité de paix complet entre Israël et l'AP en avril. "Nous voulons avoir une consultation détaillée avec eux sur ces idées qui ont été générées à la suite des négociations entre les parties elles-mêmes, et voir si elles peuvent servir de ponts pour conduire à ce cadre pour des négociations pour un accord permanent," a-t-il ajouté. Il a réfuté les commentaires précédents de responsables américains qu'un accord en avril conduirait à une année de nouveaux pourparlers visant à un traité de paix a part entière. "Il s'agit dans nos esprits d'un processus en deux étapes, un accord sur la cadre pour les négociations, et puis un accord de statut permanent ou un traité de paix," a-t-il dit. Suite à 20 cycles de négociations, Kerry veut intensifier les discussions pour qu'elles aillent plus loin. "Nous avons clairement établi où sont les lacunes, mais aussi généré quelques idées qui pourraient aider à servir les moyens de combler ces lacunes. Le voyage du secrétaire est cette fois pour commencer à tester ces idées avec les deux dirigeants," a-t-il ajouté. Le fonctionnaire américain a déclaré que Kerry à "un vrai sens de l'urgence, un vrai sens de la nécessité de battre le fer pendant qu'il est chaud. Nous considérons que le fer est chaud." "Nous allons travailler sans relâche pour tenter de parvenir à un accord-cadre dès que possible," a-t-il ajouté. Articles connexes
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il va de soi qu ' il faut pour réussir le processus de paix israêlo_palestinien , s ' occuper avant de jouer les médiateurs , acculer la ligue arabo-musulmane dans un coin et l ' obliger de ne pas s ' ingérer dans le processus de paix israêlo-palestinien...lorsque l ' on entend mohammad sabih ; le secrétaire général adjoint de la ligue arabo-musulmane déclarer ... "qu ' il n ' y aura pas de paix tant qu ' existe l ' état juif " ou bien lorsque ce même sabih qui ajoute qu ' il faut que les 15 millions de réfugiés palestiniens reviennent en ISRAËL il y a de quoi se taper la tête pour comprendre un obama qui joue le rôle d ' un haut responsable palestinien ( rappelez vous lorsqu ' abbas a demandé " gentîment à obama d ' agir comme s ' il était lui même un palestinien , et que toutes ses conclusions seront acceptées par l ' A.P...sitôt dit , sitôt fait...et le voilà le obama qui exige de B i B i l'arrêt des constructions en judée-samarie , en tapant presque du poing sur la table ...une manière de dire : à prendre ou à laisser ! ) et un kerry , de son côté , qui déclare que la présesence juive en judée-samarie est illégitime...deux larrons en foire...!
mais que donne abbas ?
Am Israël Hay !
1 la vallee du Jourdain restera israelienne avec tsahal sur place , un regard sur la carte suffit,rien a dicuter et moustache grise genocidaire dira non
2.La Jordanie est contre letablissement d un etat peuple par les memes habitants que les siens
3.Bibi dira que si moustache ne reconnait pas l Etat Juif ,inutile de discuter
4.En cas d etat genocidaire en Judee, notre aeroport et nos industries seraient a portee de kassams
5Cet etat genocidaire attirerait des millions de "refugies" qui y seront neceaasairement malheureux(500km2) donc possible mega marches humaines sur.Israel
6La victoire de al quida cette samine sur l armee iraquienne et la naissance d un califat terroriste en irak et en syrie signifie que la vallee.du Jourdain restera israelienne , kerry ou pas.
7 Les.accords de san remo de 1920 accordant la souverrainete du mandat palestinien au seul Peuple Juif sont toujours d application et sont inclus dans le chapitre 80 de la.Charte de l onu donc juridiquement , le kerry ne peut rien faire sans accord du gouvernement israelien.
Donc le tandem Barack Obama-John Kerry ne peut pas faire grand-chose que des incantations, des voyages ( John Kerry, comme George Mitchell avant lui, augmente son " mileage "
La réduction ou même la suspension de l'aide militaire ( diminution , voire sucrage, des crédits d'équipements ; embargo sur les pièces détachées, etc. ) se heurterait aussi, je pense, à une forte hostilité du Congrès, qui serait en mesure, non pas, peut-être, de l'empêcher, mais, du moins, de la retarder ou de la freiner. Le taux d'approbation d'Israël dans la population américaine demeure élevé : plus de 65 %, en moyenne, je crois ( je n'ai pas de données très récentes, mais je ne crois pas que ce taux ait diminué ) et cela se reflète dans les positions des représentants et des sénateurs.
Je ne sais pas si tu fais allusion aux possibilités qu'aurait la Maison Blanche d'agir contre Israël de l'intérieur même d'Israël, en jouant tel groupe, telle fraction, tel ;leader d'opinion, contre la coalition gouvernementale