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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientHerzog présente son "plan de séparation" à BidenLe vice-président américain Joe Biden a rencontré le dirigeant de l'opposition israélienne Isaac Herzog jeudi, au milieu d'une éruption d'attaques terroristes à travers Israël qui assombrissent un peu plus les perspectives d'une reprise des négociations entre Israël et l'autorité palestinienne. Herzog a discuté avec Biden de la violence en cours et des mesures intermédiaires possibles pour reprendre les négociations. Au cours de la réunion, Herzog a présenté à Biden son "plan de séparation", un cadre pour un "retrait" partiel de Judée et de Samarie que le parti travailliste a adopté le mois dernier. Herzog a souligné la nécessité pour Israël de se déconnecter de la Judée Samarie, disant à Biden que "seule la séparation conduira à la fin du terrorisme. Si nous ne nous séparons pas des palestiniens, ils continueront à tuer des juifs ici." Le plan de séparation complèterait la barrière de sécurité en Judée Samarie, et modifierait le tracé de celle-ci à Jérusalem pour découper les villages arabes de la municipalité de Jérusalem, les retirant efficacement de la ville. En outre, l'autorité palestinienne se verrait donner un plus grand contrôle sur la Judée et la Samarie, avec plus de territoires pris de la zone C sous contrôle israélien et transférés à la zone B sous contrôle civil de l'AP. Le plan appelle également à une "conférence sur la sécurité régionale" réunissant Israël et les "voisins arabes modérés." Cependant, dans le même temps, le plan d'Herzog reconnaît que "une solution à deux états n'est pas possible à l'heure actuelle", recherchant à la place des mesures provisoires visant à accroître la stabilité et maintenir la vision "d'Israël en tant qu'état juif, sûr et démocratique." La Maison Blanche est également profondément pessimiste sur les perspectives pour une solution à deux états, avec l'ancien envoyé spécial de l'administration Obama, Martin Indyk, remarquant que "Obama et Kerry regardent le risque réel que la solution à deux états puisse mourir sous leur mandat." 13 commentaires
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Comment ne pas approuvé BIBI ,il a mille fois raison de refuser ,la rencontre avec obamuslum,.il a vendu l'Amérique au iranien qui eux ils ont pas peur de scondés tout les jours Mort à l'Amérique et mort a ISRAEL . Iranienmuslum n'ont aucun respect Enver le monde libre et les démocraties. L'Iran tue ses propres enfant sans que les droit de l'homme peuvent intervenir .( le doit de l'homme est une entité de bon à rien ils sont tous corrompus par les états pétrodollars .Quant à l'Europe est aussi associé a Obama ,Hollandmeslum, ferme les yeux, et bouches ses oreilles , heureusement pour lui qu'il a un lion comme bras droit .Ce Lion Vals c'est un Ariès. quant a ce vendu ancien ministre des affaires étrangère il vaut mieux qu'il s'occupe de ses enfants ,tous trempés dans la corruption . Bref cher lecteurs je vous souhaite un bon Chabat - Chalom. Haim