Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Bonjour Laure ,si je comprend votre réponse à Maurice , Vous avez vécu la misère de votre entourage arabes !
comme nous vivons ici la misère des SDF !! mais vous , vous étiez heureuse et ne manquier de rien !!

France terminait mon commentaire, je ne sais pas s'il a pû passer, j'espère que oui, sinon, je vais attendre et vous répondre de nouveau (j'étais arrivée aux 1500 caractères autorisés) Je vais tenter de finir, en vous disant le fond de mes réflexions rien n'est ni blanc ni noir, TOUT EST NUANCE_S_ Fraternellement, Laure.

Dommage que mon commentaire ne soit pas passé, il me semblait que j'avais bien réussi à vous exliquer. Maurice, c'est vrai que nous vivions en harmonie avec les arabes. Il y avait en Afrique du Nord 3 sortes de population 1/ les gens bien, les français de france comme nous disions là-bas, et lesfrançais tout court qui étaient ceux d'Algérie catégorie dans laquelle j'inclus les autres chrétiens : espagnols, maltais; italiens..... 2/ les juifs, (français depuis 1870, nationalité accordée alors que les français étaient entrés en Algérie en1830) 3/ les arabes, qui, chez eux, je n'ai pas peur de le dire, étaient en majorité considérés comme des esclaves et qui n'avaient jamais comme nous "bénéficié" de la nationalité française. N'est-ce pas diviser pour régner? Ils avaient donné leur sang pour la France 1870, 1914-18, 39-45 et étaient fiers de porter leurs décorations les jours de festivités. Ils en étaient remerciés par le mépris. A la fin de la dernière guerre, réalisant le comportement de la métropole pendant la guerre, la voyant diminuée à leurs yeux, ils ont commençé (tout celà en gros,nous sommes partis de Obama) leur rebellion qui les a menés à leur libération. N'est-ce pas normal? Ne voulions nous pas notre Etat? SHABAT SHALOM et à bientôt j'espère. Pour Jacqueline, et en quelques mots j'espère, pourquoi sans savoir à qui vous avez à faire employez-vous l'agressivité? sommes partis parce que nous sentions totalement français, (lisez Benjamin Stora). Partagions.

Je parlais de ce que j'ai connu : l'Algérie. sans suite et sans espoir.