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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Proche-Orient: pas d'Etat palestinien sans paix avec Israël (Miliband)

La coexistence pacifique avec Israël est une condition sine qua non de la création d'un Etat palestinien indépendant, a déclaré mardi le secrétaire britannique aux Affaires étrangères David Miliband lors d'une conférence de presse à Damas. "La formation d'un Etat palestinien dans les frontières de 1967 servirait de base au règlement du conflit arabo-israélien, mais cet Etat ne pourrait être créé que s'il accepte de coexister pacifiquement avec Israël", a-t-il affirmé.
36 commentaires
le combat amazigh en général et kabyle en particulier

afrique-du-nord.com

www.congres-mondial-amazigh.org/
http://www.congres-mondial-amazigh.org/
Le site officiel du cngrès Mondial Amazigh (CMA

Amazigh World

http://www.amazighworld.org
Lorsque Tamazgha (Afrique du Nord) parle d'elle même.
When North Africa speaks about itself.

Tamazgha
http://www.tamazgha.fr
Le site de l'organisation Tamazgha à Paris (France)

www.Amazigh-voice.com/
http://www.Amazigh-voice.com/
Amazigh VOICE§§ Amazigh news

www.amazighworld.net
http://www.amazighworld.net
When North Africa speaks about itself

http://evangelique-kabyle.blog.mongenie.com/





Envoyé par Abel - le Mardi 2 Décembre 2008 à 00:24
le congrés mondial amazigh intérpelle l'ONU
3 juin 2008


M. Ambeyi Ligabo, Rapporteur Spécial sur la défense et la promotion de la liberté d’opinion et d’expression

Mme Margaret Sekaggya, Représentante spéciale du Secrétaire Général de l’ONU concernant la situation des défenseurs des droits humains

M. James Anaya, Rapporteur Spécial sur les droits et les libertés fondamentales des peuples autochtones

M. Doudou Diene, Rapporteur Spécial sur les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée

Mmes/Mrs les membres du Comité d’experts des Nations Unies concernant l’Examen Périodique Universel, du Comité des Droits de l’Homme et du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale

Mesdames, Messieurs

Le Congrès Mondial Amazigh (CMA) est une ONG internationale ayant pour mission de défendre et de promouvoir les droits politiques, économiques, sociaux, culturels et linguistiques du peuple Amazigh (Berbère), en conformité avec les principes et les instruments du droit international. Le CMA est constitué par des associations qui œuvrent dans les domaines culturel, de développement socioéconomique, de protection de l’environnement et de défense et promotion des droits humains, dans tous les pays de Tamazgha (Afrique du Nord) et en Europe. Depuis sa création en 1995, le CMA collabore avec les différents organes de défense et de promotion des droits humains des Nations Unies, de l’Union Européenne, de l’Union Africaine et des organisations de la société civile internationale. Dans ce cadre, le CMA participe régulièrement à différents événements internationaux relatifs aux droits humains (conférences internationales, forums, Groupes de Travail, séminaires, etc) et présente devant les Comités d’experts de l’ONU chargés du suivi de l’application des Traités, des rapports alternatifs sur la situation des droits humains, particulièrement dans les pays d’Afrique du Nord. Le Congrès Mondial Amazigh agit en faveur et en soutien de tous les efforts entrepris pour l’état de droit, la paix et le progrès humain.

Conformément à ses statuts, le CMA réunit ses membres en congrès général tous les trois ans. Le dernier congrès (le 4ème) a eu lieu en 2005, dans la ville de Nador au Maroc et le prochain (le 5ème) est prévu pour la fin du mois de juillet 2008, dans une des villes de la région de Kabylie en Algérie.

Dans ce but, au début de l’année 2008, le comité d’organisation mis en place, s’est immédiatement attelé à la tâche de chercher un lieu pouvant accueillir le 5ème congrès du CMA dans l’une des deux principales villes de Kabylie (Tizi-Wezzu ou Vgayet). Tous les gestionnaires de salles publiques et les propriétaires de salles privées sollicités pour la location de leurs locaux ont alors exigé une autorisation délivrée par les autorités administratives (le Wali). Ils auraient reçu des directives qui leur interdisent de louer leurs salles aux organisateurs de réunions qui ne possèdent pas une autorisation délivrée par la Direction de la Réglementation et de l’Administration Générale (DRAG) de la Wilaya.

L’administration soumet en effet les associations qui souhaitent organiser une réunion, à une demande d’autorisation sur un imprimé qu’elle leur fournit et qui porte le titre de « demande d’autorisation de réunion ou de manifestation publique ». Sur ce document, il est fait référence à la loi n° 89-28 du 31/12/1989, modifiée et complétée par la loi n° 91-19 du 2/12/1991, relative aux réunions et manifestations publiques.

Or cette loi ne prévoit pas une autorisation préalable à la tenue d’une réunion mais une simple déclaration comme le stipule l’article 4 selon lequel « toute réunion publique est précédée d’une déclaration mentionnant l’objet, le lieu, le jour, l’heure et la durée de la réunion, le nombre de personnes prévu et l’organisme éventuellement concerné ». L’article 5 de la même loi précise que « la déclaration est faite trois jours francs au moins avant la date de la réunion, auprès du Wali ».

Ainsi, bien que la loi prévoit seulement l’obligation d’informer l’administration, les autorités exigent une autorisation, ce qui constitue clairement une pratique illégale et abusive. Interrogé sur ce problème, le chef de la réglementation du bureau des associations de la Wilaya de Tizi-Wezzu, répond que l’obligation d’une autorisation administrative pour une réunion publique, « est une mesure qui découle du décret n° 92-44 du 9/02/1992 portant instauration de l’état d’urgence en Algérie ». Prévu initialement pour une durée maximale de 12 mois (article 1 du décret), l’état d’urgence est prorogé d’année en année depuis 16 ans et demeure en vigueur jusqu’à aujourd’hui. Ce décret donne des pouvoirs exceptionnels au ministre de l’intérieur et aux Walis qui sont habilités par voie d’arrêté, de prendre toute mesure de restriction des libertés individuelles et collectives (voir notamment articles 4, 6, 7 du décret) et si nécessaire, de faire appel à l’armée (article 9). Cependant, l’administration refuse de publier ou de donner la référence d’un quelconque document officiel (arrêté ministériel ou wilayal prévu par le décret mentionné ci-dessus) qui exigerait une autorisation à la place d’une déclaration concernant une réunion publique.

En conséquence et face à l’absence d’alternative, le comité d’organisation du congrès du CMA a été contraint de remplir le document de « demande d’autorisation » et de l’adresser aux Walis de Tizi-Wezzu (15 janvier 2008) et de Vgayet (20 février 2008).

A ce jour, soit plus de quatre mois après, l’administration n’a donné aucune réponse malgré les relances effectuées. Or l’Ordonnance n° 66-154 du 8 juin 1966 portant code de procédure civile, précise dans son article 279, que « le silence gardé pendant plus de quatre mois par l’autorité administrative, vaut rejet de la demande ».

En d’autres termes, les autorités algériennes refusent aux associations amazighes membres du CMA (plus de 100 associations d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, de Libye, du Niger, du Mali, des Iles Canaries et de plusieurs pays d’Europe) de se réunir en Algérie.

Au moment où l’Algérie organise régulièrement toutes sortes de rencontres internationales, les Amazighs de Kabylie ne comprennent pas l’attitude des autorités algériennes et ne peuvent admettre qu’on leur refuse le droit de se réunir chez eux et d’accueillir leurs frères des autres pays ainsi que leurs amis.

L’interdiction qui frappe la rencontre internationale des Amazighs en Kabylie est d’abord ressentie par le mouvement associatif et par l’opinion publique, comme un acte délibéré de discrimination raciale. Il est clair que c’est parce que la rencontre réunit les Amazighs et parce qu’elle est organisée par les Kabyles, qu’elle est interdite. Et au moment où le gouvernement algérien ferme les portes du pays aux Amazighs, il organise et finance un grand nombre d’événements de dimension internationale dédiés à la langue, au cinéma, au folklore, à la poésie, à la chanson, à la pensée, à l’histoire, à la science, au droit, à la jeunesse, à la femme, à l’art, …arabes.

Ce faisant, le gouvernement algérien viole les lois du pays, le droit international et abuse de la violence de son pouvoir.

En interdisant le congrès des Amazighs le gouvernement algérien bafoue la Constitution du pays, notamment l’article 31 qui indique que « les institutions ont pour finalité d’assurer l’égalité en droits et devoirs de tous les citoyens et citoyennes en supprimant les obstacles qui entravent l’épanouissement de la personne humaine et empêchent la participation effective de tous, à la vie politique, économique, sociale et culturelle », l’article 32 qui prévoit que « les libertés fondamentales et les droits de l’homme et du citoyen sont garantis », l’article 33 qui précise que « la défense individuelle ou associative des droits fondamentaux de l’homme et des libertés individuelles et collectives est garantie » et l’article 41 qui stipule que « les libertés d’expression, d’association et de réunion sont garanties au citoyen ».

Par rapport au droit international, le gouvernement algérien, soucieux de soigner son image à l’extérieur du pays, s’empresse de parapher les chartes, les accords, les pactes et autres conventions, comme si l’état de droit dans le pays se mesurait au nombre ou à l’épaisseur des documents signés. Dans la pratique, la justice et l’administration ignorent l’ensemble de ces textes dont le contenu n’est ni diffusé, ni respecté, ni invoqué dans les juridictions.

Le 14 avril 2008, devant le Comité de l’ONU chargé de l’Examen Périodique Universel, M. Mourad Medelci, Ministre algérien des affaires étrangères, a déclaré qu’« en dépit de l’état d’urgence, la vie démocratique a poursuivi son cours sans interruption ». L’ambassadeur d’Algérie à l’ONU, M. Driss Jazayri, a affirmé devant le Comité des Droits de l’Homme en novembre 2007, que « l’état d’urgence ne soulève aucune entrave à l’exercice des libertés individuelles et collectives, associatives ou politiques et que toutes les mesures décidées dans ce cadre ont été graduellement levées ». Ces propos sont évidemment loin de la vérité et on peut se demander pourquoi dans ce cas, cet état d’exception est-il toujours en vigueur ? Pourquoi y est-il fait référence à la Wilaya de Tizi-Wezzu et de Vgayet et probablement ailleurs en Algérie, pour justifier le gel des lois et leur remplacement par des décisions administratives ? Est-ce le sens que donne le gouvernement algérien à « la vie démocratique » ?

S’en tenant aux réalités quotidiennes vécues notamment par les associations, le Comité des Droits de l’Homme s’est inquiété du fait que « de nombreuses organisations et défenseurs des droits de l’homme ne peuvent exercer librement leurs activités en Algérie » et n’a pas manqué de rappeler le gouvernement algérien à son obligation de « respecter et protéger les activités des organisations et défenseurs des droits de l’homme (…) et de veiller à ce que toute restriction imposée au droit de réunion et manifestation pacifique, à l’enregistrement des associations et à l’exercice pacifique de leurs activités, soit compatible avec les dispositions des articles 21 et 22 du Pacte pour les droits civils et politiques ».

La liberté de circulation, de réunion et d’expression sont des droits reconnus et sans cesse réaffirmés par les différents instruments internationaux des droits de l’homme. L’Algérie, comme tout Etat membre de l’ONU, doit respecter ses engagements et ses obligations en matière de droits humains et de libertés fondamentales. Il est du devoir de la communauté internationale de dire clairement au gouvernement algérien que la pratique du double langage qui consiste à propager la bonne parole à l’extérieur et d’user du bâillon et du bâton à l’intérieur n’est pas acceptable.

Mesdames, Messieurs, le Congrès Mondial Amazigh, les organisations de la société civile amazighe et le peuple amazigh souhaitent votre intervention urgente auprès du gouvernement algérien afin qu’il ne fasse pas obstacle aux Amazighs, peuple autochtone d’Afrique du Nord, de se réunir dans leur pays, l’Algérie.

Nous vous remercions par avance et vous prions d’agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de notre parfaite considération.

Le Président

Belkacem Lounes

Congrès Mondial Amazigh

BP 124

108, rue Damremont

75018 Paris

Envoyé par Abel - le Mardi 2 Décembre 2008 à 00:35
la secte des hachachines(assassins) arabomusulmans elquaida menace LE BASTION DE RESISTANCE à l'araboislamisme coloniale LA KABYLIE CHRETIENNE terre amazigh (bérbére) d'axel ET DE LA COHENA KAHINA premiers résistants à la horde coloniale mahométane en TAMAZGHA (afrique du nord)

http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=1474




Envoyé par Abel - le Mercredi 3 Décembre 2008 à 12:13
Bonjour Abel. Comme vous devez le savoir, il y aura en avril prochain à Genève, à l'ONU, la conférence Durban II contre le racisme, à laquelle devrait assister une ONG juive américaine importante.

Pourquoi votre propre ONG, la CMA, n'y participerait-elle pas? Vu le nombre impressionnant d'arabo-muslims et de leurs sympathisants qui y seront et feront le même travail de sape qu'ils ont déjà fait à Durban I, vous profiteriez de l'occasion pour dénoncer à cette tribune les crimes racistes des arabes à l'égard de votre peuple.

Est-ce prévu dans le calendrier de votre ONG?

Chalom et courage à vous et à vos frères/soeurs, nous vous comprenons bien, car nous connaissons trop bien les arabes et leurs fourberies.
Envoyé par Viviane_005 - le Mercredi 3 Décembre 2008 à 15:02
Azul,shalomnViviane,
Bien sûr que nous sommes au courant de cette mascarade ONUSIENNE-GRAND MACHIN,que l'impôsture internationale islamoaraberie veut récupérer pour ne mettre en évidence que la soi-disante islamoarabophobie de la planéte vis à vis des adéptes du guru mahomet et de son ethnie de bedouins en asie mineure les arabes,qui colonisent en méditerranée orientale la terre du peuple biblique ISRAEL ou palestine araboislamisée,et en méditerranée occidentale NOTRE TERRE TAMAZGHA(afrique du nord) en général et notre TERRE SAINTE DE KABYLIE qui ne sera JAMAIS ni arabe ni terre d'islam ,en particulier.
lisez ,chers amis du peuple d'israel ce que sur notre site IDENTITAIRE nous écrivions déjà sur cette initiative machin ONUSIENNE QUE l4INTERNATIONALE ISLAMOARABRIE a squatté en durban1 ,déjà,à son profit colonial.
http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=1324
Souffrez vous d’une Durbanophobie ?
14 septembre 2008

Les premiers préparatifs de la conférence des Nations-unies sur l’anti-racisme “Durban Review Conférence” (Durban II) sont terminés. Et les résultats les plus concrets des réunions préparatoires de la conférence de l’ONU sont des nouveaux mots : Durbanophobie et arabophobie !

Vous vous dites peut-être c’est quoi, nom de dieu, que cette phobie !? Et bien, c’est ce dont vous souffrez si vous critiquez le comité préparatoire de Durban II (d’après le représentant égyptien de la conférence préparatoire de Durban II)

Ceux souffrants de Durbanophobie ont eu un grand problème à digérer le contenu de cette conférence sur l’anti-racisme financée par les nations unies que fut Durban I.

On dit que l’histoire ne se répète jamais deux fois, mais cette affirmation ne concerne pas le conseil des droits de l’Homme des nations unies et la conférence de Durban. Là ou les démocraties occidentales, qui réellement font un effort pour suivre à la lettre la convention des droits de l’homme et ont inscrit dans leur législation des lois aussi bien contre le racisme et sur les droits de l’homme, sont mises en minorité a chaque fois.

Au départ Durban II devait être une évaluation de ce qu’a été le scandaleux Durban I, mais l’organisation des états islamiques (IOC) et plusieurs pays africains ont insisté pour que Durban II soit une conférence ayant un contenu indépendant. ... on se demande quel genre de phobies naitrait avec une évaluation honnête de Durban I !!

Les nations unies ont confié la mission de planifier cette conférence anti-raciste au conseil des droits de l’homme. Le conseil a placé l’Iran dans le comité de planification, sous la présidence de la Libye (ce n’est pas une blague). Les autres pays membres du conseil sont les Etats champions des droits de l’homme que sont l’Égypte, la Syrie et l’Algérie (c’est toujours sérieux )

L’Algérie a surtout été occupé à élargir la notion d’antisémitisme pour y inclure les arabes et les musulmans. En faisant attention que le texte respecte la hiérarchie de la résolution 64 du conseil de des droits de l’homme de 1994- qui place l’anti-arabisme et l’anti-musulman avant l’antisémitisme.

Sinon on trouve encore l’islamophobie, la protection de la religion (comprenez l’islam ), les critiques habituelles sur Israël et les caricatures Danoises étaient à l’ordre du jour de Durban II.

Le fond, d’après les observateurs, est clairement anti-démocratique.

Si maintenant vous commettez l’erreur de penser que ce n’est pas ce genre de conférence anti raciste que l’ONU doit soutenir, ou simplement que cette conférence est comme Durban I (le Canada l’avait qualifié de "cirque raciste"), alors c’est définitif, vous souffrez d’une Durbanophobie.

Croyez vous que cela amuse le comité de planification de la conférence anti-raciste de planifier une conférence avec l’argent de l’ONU, alors que tout ce qu’ils reçoivent du monde en retour n’est que moqueries et autres railleries ? Cette conférence est tellement anti-raciste que pour la critiquer il faut vraiment souffrir d’une Durbanophobie ou bien d’une arabophobie, comme l’a affirmé le représentant égyptien.

Voici une liste des malades souffrant de la même pathologie :

Andorre, Australie, Bosnie, Belgique, Bulgarie, Canada, Danemark, Estonie, Finlande, France, Macédoine, Géorgie, Grèce, Irlande, Italie, Croatie, Chypre, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Moldavie, Monaco, Hollande, Pologne, Portugal, Roumanie, San Marin, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Espagne, Grande Bretagne, Suède, Corée du sud, Tchéquie, Turquie, Allemagne, Hongrie, USA, Autriche, Israël, Monténégro et l’Ukraine.

Ces 44 Durbanophobes ne représentent pas moins de 65% du budget des nations unies et ont perdu contre les 93 Durbanophiles

Le Canada est tellement Durbanophobe qu’elle a officiellement déclaré qu’elle ne participera pas à ce cirque anti-raciste car contraire à ses principes. La Grande Bretagne menace de faire de même, ce qui démontre à quel point la Durbanophobie est une maladie extrêmement contagieuse.

Le plus amusant dans ce cirque est que les Durbanophobes sont les meilleurs soutiens des Durbanophiles, ils n’hésitent pas un instant quand il s’agit de leur vendre les armes les plus efficaces.

Les durbanophiles utiliseront ces armes contre les peuples qui sont sous leur joug, ce qui est conforme à leurs lois racistes et génocidaires.

Durbanophobie, islamophobie, arabophobie ! A quand la dictaturophobie ?

Asardun, ADN

Envoyé par Abel - le Jeudi 4 Décembre 2008 à 14:46
A nos amis PAR NOTRE REINE LA KAHINA,prémiére combattante juive amazigh(bérbére) de la colonisation arabomusulmane ,au 7siécle, administrateurs de ce site,que les kabyles non araboislamisés apprécient, ,nous demandons,de bien vouloir ,comme un autre site que nous apprécions GUYSEN.com,l'a fait,de faire connaître NOTRE LUTTE ANTICOLONIALE contre les arabomusulmans sur notre terre TAMAZGHA en général et LA KABYLIE EN PARTICULIER.
Nous souffrons de lamême colonisation mais çà,je crois que vous l'avez déjà compris
Tanemirt et shalom (merci et shalom)
Regardez cette vidéo dans laquelle FERHAT MHENNI président pour l'autonomie de la kabylie parle du colonialisme arabe.ici ou là ,ferat parle en kabyle mais traduit tout en français et la conférence est en français

Ferhat Mehenni : "La nation algérienne n’a jamais existé !"
3 décembre 2008
Encore une fois l’association Tamazgha de Paris se distingue en invitant le président du mouvement pour l’autonomie de la Kabylie : Ferhat Mehenni. Bravo ! Un exemple à suivre pour les autres associations - ADN

http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=1475
Envoyé par Abel - le Jeudi 4 Décembre 2008 à 15:00
Membre Juif.org





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