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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Israël : premières tensions entre Tel-Aviv et Washington

Les destructions de maisons palestiniennes à Jérusalem-Est suscitent des « frictions », voire une mésentente, entre la nouvelle administration américaine et le gouvernement israélien. Ces démolitions de bâtiments, édifiés selon la municipalité de Jérusalem sans permis de construire, avaient déjà provoqué l’indignation de la secrétaire d’État Hillary Clinton lors de sa visite officielle dans la région. Elle y voyait « une violation de la feuille de route d’avril 2003 », qui excluait ce genre de pratiques.
36 commentaires
Bien d'accord avec AL.
Je me suis d'ailleurs demandé pourquoi l'Unesco avait déclaré Jérusalem: "capitale de la culture arabe", ce qui est une contrevérité historique (Jérusalem n'est plus "arabe" depuis 1099) et heurte le bon sens de la mémoire occidentale qui associe largement, même chez les plus antisionisémites, Jérusalem avec la culture et l'histoire juive. Il aurait été plus exact de dire "musulmane". Mais la propagande islamiste préfère s'avancer masquée. "Arabe" est une référence nationale et palestiniste qui accrédite la fable de la "Palestine" occupée. "Musulmane" aurait choqué les consciences occidentales laïques et chrétiennes, comme vient de le faire le projet de résolution de "Durban II"

Je propose donc de nommer la Jérusalem palestiniste, construction ex nihilo de "Palliwood", capitale de la propagande islamiste et djihadiste.
Envoyé par Michel_045 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 09:20
C'est ce que dit Dion Cassius, historien romain de l'époque peut être mieux placé que Maurice pour savoir ce qui s'est passé (Cette prétention à juger de tout dans l'ignorance la plus crasse est insupportable).
Envoyé par Michel - le Jeudi 26 Mars 2009 à 09:06

michel je t'ai repondu mais en me trompant de rubrique.
mes reponses se trouveront donc aussi sur "
Proche Moyen-Orient
La police israélienne interdit des festivités palestiniennes à Jérusalem-Est
AP | 21.03.2009 | 16:44
"

pour michel, le dion cassius dont tu parles, me semble plus depeint dans sa biographie, comme le parfait arriviste pret a attribuer ses ecrits a ceux qui s'en souviendront et l'honoreront par la suite, comme cela est ecrit sur ce site.

http://209.85.229.132/search?q=cache:uIRXKoLWGq4J:fr.wikipedia.org/wiki/Dion_Cassius+dion+cassius&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

a present michel etais-tu informe de ce qui suit ?
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Jeudi 26 Mars 2009 à 13:38
texte preleve sur le site GRAND RABBINAT DU QUEBEC
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Jeudi 26 Mars 2009 à 13:10





L'esclave hébreu Le statut de l'esclave hébreue



La Tora, privilège pour Israël

Lors du don de la Tora sur le Mont Sinaï, D'ieu ne s'est pas contenté des Dix Paroles, Il a également enseigné toutes les lois sociales exposées dans Michepatim. Ces lois, parce que la raison les commande, sont nécessaires à l'équilibre du monde qui ne tient que grâce à l'exercice de la justice. Les hommes sont tous tenus d'y souscrire. Mais Israël y souscrit non pas parce qu'elles sont logiques et rationnelles, mais parce qu'elles émanent de D'ieu.

Rabbi Abbahou rapporte au nom de Rabbi Yossi Benzimra cet enseignement(1) : "Wé-èllè, et voici, indique que les deuxièmes lois, s'ajoutant sur les premières, sont aussi dites à "Sinaï."

Cependant la Tora décernée à Israël, se laisse-t-elle appréhender par un Goy, un non-Juif?

Le Midrache(2) citant le texte(3) :

"Et voici les statuts que tu leur exposeras", répond : "C'est bien ce qu'exprime le verset(4) :

"Il a révélé ses paroles à Yaâqov, ses statuts et ses lois de justice à Israël. Il n'a fait cela pour aucun des autres peuples; aussi ses lois leur demeurent-elles inconnues".

Âqilas [ou Onqélos], le prosélyte, est le fils de la sœur d'Hadrien. Voulant se convertir mais craignant son oncle Hadrien, il lui dit :

Je voudrais pratiquer un commerce.

Aurais-tu besoin d'argent ou d'or? Mes trésors sont à ta disposition.

Je voudrais faire du commerce, voyager et connaître les hommes. Je demande ton avis pour savoir comment m'y prendre.

Alors toute marchandise en baisse et abandonnée, achète-la; elle prendra finalement de la valeur et tu y gagneras.

[Âqilas] vint en Èrèts Yisraèl, apprit la Tora. Quelque temps après, Rabbi Èliêzèr et Rabbi Yéhochouâ remarquant la transfiguration opérée en lui, se dirent : Âqilas étudie la Tora. Arrivé près d'eux, il leur pose des questions auxquelles ils répondent.

S'étant présenté à Hadrien, celui-ci lui dit : Pourquoi ton visage a-t-il changé? Je pense que ta marchandise t'a causé une perte ou alors quelqu'un t'aurait fait une misère!

Oh non! répondit-il. Étant ton parent, qui oserait me faire du mal?

Mais alors pourquoi ton visage a-t-il changé?

J'ai étudié la Tora et subi la pratique de la circoncision.

Qui t'a dit d'agir ainsi?

J'ai demandé ton avis.

Quand?

Alors que je cherchais à faire du commerce, tu m'avais conseillé de choisir la marchandise en baisse et abandonnée car sa valeur serait en hausse. Ayant cherché parmi tous les peuples, je n'ai trouvé de plus bas et abandonné comme Israël. Il est appelé à prendre de la valeur selon les propos de Yéchâya(5) :

"Ainsi parle l'Ét'ernel, le libérateur d'Israël, son Saint, à celui qui est un objet de mépris pour les hommes, de répulsion pour les peuples, à l'esclave des puissants" : "Des rois, en le voyant, se lèvent, des princes se prosterneront par égard pour l'Ét'ernel qui est fidèle à ses promesses, du Saint d'Israël qui t'a élu".

Le conseiller [d'Hadrien] dit à [Âqilas] : Ces gens sont donc voués selon toi à recevoir les hommages des rois tel qu'il est dit "Des rois en le voyant se lèveront"? Hadrien, le souffletant, lui dit : On ne panse que la plaie. Maintenant, nul ne se lève devant un écuyer et tu voudrais que "les rois, en les voyant, se lèveront". Le conseiller répartit : que te reste-t-il à faire? Emprisonne-le ou tue-le car il s'est converti. Il répondit : Âqilas, mon neveu, dès sa conception, était destiné à se convertir.

Que fit le conseiller? Il monta à la terrasse, tombe et meurt. L'Esprit Saint proclame(6) :

"Ainsi périront tous tes ennemis, Seigneur...". Hadrien dit [à Âqilas] : Le conseiller étant mort, tu ne m'as toujours pas dit pourquoi as-tu fait cela?

J'ai voulu étudier la Tora!

Tu aurais pu l'étudier sans te circoncire!

As-tu jamais accordé une distinction à un guerrier sans qu'il ait pris les armes [pour te servir]?

Ainsi est-il, si un homme ne se circoncit pas, il ne peut apprendre la Tora ainsi qu'il est dit : "Il a révélé ses paroles à Yaâqov, ses statuts et ses lois de justice à Israël. Il n'a fait cela pour aucun des autres peuples, aussi ses lois leur demeurent-elles inconnues", parce qu'ils sont incirconcis. Ses statuts, c'est la Tora; ses lois de justice, ce sont les jugements, tel qu'il est dit(7) : "C'est alors qu'il lui impose un principe et une loi".L'expérience d'Âqilas sert d'illustration au Midrache pour montrer l'incompatibilité fondamentale existant entre la science de la Tora et les peuples. Elle ne se laisse appréhender, pour en connaître ses mystères et ses secrets, que par les Bénè Yisraèl. Pourtant la Tora est rationnelle. Et l'homme, se servant des catégories du raisonnement et de la logique, atteindrait la connaissance de la Tora. Pourquoi donc ce texte exclut-il tout Gentil de cette connaissance? Auparavant, essayons de dégager des enseignements de l'aventure d'Âqilas. Celui-ci utilise une ruse pour aborder son oncle, l'empereur romain Hadrien. Il connaît sa haine des Juifs. Il vient de mater une révolte, en l'an 135, celle de Bar Kokhba qui voulait secouer le joug romain et libérer Israël de la domination étrangère. Plusieurs milliers d'hommes trouvent la mort dans cette bataille et le pays est dans une grande détresse. La situation d'Israël est au plus bas. Malgré cela, Âqilas veut se convertir au Judaïsme. Ses rencontres avec les maîtres de l'époque, Rabbi Èliêzèr, Rabbi Yéhochouâ et Rabbi Âqiba, enflamment son âme et le confortent dans sa volonté de devenir Juif. Rien ne le détourne de son projet. Il est prêt à agir pour neutraliser la réaction de son oncle. Il lui demande conseil. Quelle marchandise acheter si l'on veut faire des affaires? Convient-il à un prince, un neveu de l'Empereur de pratiquer le commerce? Certes non! Mais c'est le prétexte de faire un autre commerce, celui des hommes. Avoir des relations directes avec toutes sortes de catégories de personnes. Convaincu, Hadrien lui indique le secret des affaires : acheter la marchandise en baisse car elle finirait par prendre de la valeur et laisser un gros bénéfice. Par expérience, Âqilas n'ignore pas qu'Hadrien lui donnerait un tel conseil. Tout se passe comme s'il voulait justement l'amener à lui exprimer un avis qui ne manquerait pas de s'appliquer à la situation d'Israël.

Aussi, muni de ce conseil, vient-il en Israël apprendre la Tora. Rabbi Èliêzèr et Rabbi Yéhochouâ remarquent déjà au changement de sa physionomie qu'il est en train d'apprendre la Tora. Il perd de sa rudesse, ses traits s'affinent et son visage, quoique révélant une pâleur, est rayonnant, illuminé par une flamme intérieure. Ils n'ont nullement besoin de le lui demander : c'est lui-même qui les assaille de ses questions. Ils répondent à ses doutes, à ses interrogations. Mais n'est-il pas étonnant qu'un prince ait pu, tout ce temps, déjouer la surveillance des gardes romains. Comment ne s'est-on jamais rendu compte de l'évolution d'Âqilas? Faut-il qu'il soit doté d'une grande force de persuasion. Car certainement, il devait certainement exercer une influence très grande sur son entourage et les intéresser à la Tora. Toujours est-il qu'Hadrien ne s'est jamais aperçu, n'a jamais rien appris sur les dispositions nouvelles de son neveu. S'il se rend compte d'un changement physique, maigreur ou pâleur, il veut bien l'attribuer aux mauvaises affaires ou à la malveillance des gens. Âqilas le détrompe : tout vient du fait qu'il a étudié la Tora et pratiqué la circoncision. Bien plus, il lui apprend qu'il n'a fait qu'appliquer à la lettre son conseil : faire acquisition de la marchandise la plus vile et la moins coûteuse. Mis devant le fait accompli, Hadrien ne réagit pas. Il est frappé par la détermination du jeune homme. Citant une prophétie de Yéchâya, il lui annonce la gloire future d'Israël. Tous les rois qui l'ont humilié se prosterneront devant lui. Hadrien n'est nullement obligé de croire en une prophétie de Yéchâya. Mais il lui accorde une importance certaine. Tous les souverains romains savent qu'Israël paie pour sa révolte contre D'ieu. Mais après son repentir, il retrouvera la gloire perdue. Le conseiller d'Hadrien, dubitatif, s'étonne : les rois se lèveront-ils en voyant Israël? Il arrête là la citation du texte. Âqilas, lui, cite tout le texte de Yéchâya précisant que rois et princes auront une telle attitude "par égard pour l'Ét'ernel, fidèle à Ses promesses". Sans doute le fait-il pour apaiser la colère d'Hadrien. Mais le conseiller prend plutôt le parti de susciter la colère d'Hadrien contre Israël. Hadrien défend une position intermédiaire. Un pansement est fait pour guérir une plaie. Celle-ci laisse une cicatrice et la chair ne reprend jamais son aspect premier. Donc Hadrien convient qu'Israël se relèvera mais non pas au point de voir tous les rois soumis de nouveau comme avant sa chute. Le conseiller demande alors à Hadrien, puisque telle est sa position, de faire subir son châtiment à Âqilas. Car ayant osé défier les lois romaines, il mérite la prison ou la mort. Cependant il n'entend rien entreprendre contre Âqilas qui, selon lui, était destiné à la conversion. Désavoué, le conseiller se laisse choir d'une terrasse et meurt. Hadrien demande alors à Âqilas la raison de la pratique de la circoncision. Il comprend qu'il veuille étudier la Tora. Mais la circoncision est un acte qu'il aurait pu éviter. L'intérêt de toute cette aventure est de voir comment, peu à peu, s'opère un glissement dans la résistance d'Hadrien. Son opposition et son hostilité à Israël se situent en fait au niveau politique. Mais pourquoi lui-même avait-il pris les décrets contre les Juifs qui apprennent la Tora, pratiquent la mila, la circoncision et les mitswot. La Providence se joue toujours des ennemis d'Israël. C'est de l'intérieur que D'ieu fait surgir celui qui ébranle leur système. Âqilas est neveu d'Hadrien. Il passe outre les interdits de son oncle, les battant en brèche. Plusieurs soldats et gardes furent envoyés pour ramener Âqilas enchaîné afin qu'il renonce à ses projets. Il les a tous convaincus de devenir Juifs.

Hadrien, comme tout ennemi d'Israël, est prêt à laisser passer l'interdit d'apprendre la Tora en tant que connaissance. L'étudier en vue de l'appliquer est un comble. Surtout pour un prince. Mais il ignore en fait que la Tora elle-même reste fermée à celui qui n'a pas pratiqué la mila, la circoncision. Il ne peut comprendre qu'un lien direct puisse exister entre la mila et la Tora. Quel est-il? L'étude est orale. La parole, milla, est exprimée à l'aide de la bouche, pè, dont la valeur numérique est 85. La mila, circoncision, a également pour valeur numérique 85. En vérité, le lien est beaucoup plus profond. La bouche est l'instrument de l'action de l'homme. Son verbe est une action. L'étude de la Tora qu'il articule par l'organe principal de la parole, la bouche, a des répercussions dans les mondes supérieurs! L'étude ne peut unir ces mondes que si elle est parfaite. La perfection elle-même tient au maintien du Bérit mila, l'organe de la mila, dans un état de pureté et de sainteté. La Tora comme la langue sacrée, ne peuvent appartenir qu'à celui qui a pratiqué la mila et la préserve de toute impureté. La Tora est un privilège. Comme tout privilège, il se mérite. C'est la distinction accordée pour des faits d'armes à un soldat. Le roi récompense l'usage efficient et correct des armes. Ainsi la Tora ne sera méritée que par le bon usage de la mila. C'est par cette arme que l'on acquiert la Tora mais aussi que l'on se défend contre les appétits physiques et matériels. Le Midrache(8) rapporte :

"Une fois Âqilas dit à Hadrien César : Je veux me convertir, devenir un Israélite. Quoi, tu veux te joindre à ce peuple! Combien l'ai-je humilié! Combien l'ai-je massacré! Au plus vil des peuples tu veux te mêler? Qu'as-tu vu en eux que tu veuilles te convertir?

Âqilas répartit : le plus petit parmi eux sait comment le Saint béni soit-Il a créé le monde : la création du premier jour, celle du deuxième jour, le nombre d'années qui nous séparent de la Création du monde, sur quoi repose le monde, et leur Tora est vraie.

Hadrien lui recommande : apprends leur Tora mais ne te fais pas circoncire.

Et Âqilas de reprendre : même le plus sage de ton royaume, âgé de cent années, ne pourra pas apprendre leur Tora s'il ne se fait pas circoncire.

Ainsi il est écrit(9) : "Il a révélé Ses paroles à Yaâqov, Ses statuts et Ses lois de justice à Israël. Il n'a fait cela pour aucun des peuples, aussi leurs lois leur demeurent-elles inconnues".Ce Midrache révèle une évolution certaine dans l'esprit d'Hadrien. Il comprend qu'un homme avide de connaissances puisse étudier la Tora. Mais subir une opération pour acquérir une connaissance est inconcevable. Aussi consent-il à laisser Âqilas étudier la Tora qui renferme tant de sagesse, mais lui défend d'entreprendre la circoncision. Âqilas refuse au nom même de la Tora car il ne saurait, sans la mila, la comprendre.

Cependant, il semble qu'Âqilas, au moment où il présente sa requête à Hadrien, avait déjà entrepris l'étude de la Tora. Autrement il ne saurait affirmer que la Tora demeure inaccessible à quiconque est incirconcis. La Tora ne livre, en effet, ses secrets qu'à celui qui est circoncis. Ce qui intéresse Âqilas, c'est l'aspect intérieur et secret de la Tora. Connaître la Tora dans ce qu'elle possède de plus intime, telles les questions métaphysiques intéressant la Création du monde et la raison fondamentale de chaque mitswa, n'est possible que s'il pratique la circoncision.

Âqilas savait pourtant, pour gagner la partie, qu'il devait créer un fait accompli : pratiquer la circoncision. Ainsi devant une situation de non-retour, Hadrien ne saurait faire de pression sur Âqilas qui, en se convertissant, a laissé à Israël la traduction araméenne de la Bible que nos Maîtres qualifient de traduction reçue du Mont Sinaï. Digne reconnaissance du Judaïsme à Âqilas à travers toutes les générations.

1. Tanhouma sur la Sidra paragr. 3.

2. Tanhouma paragr. 5.

3. Chémot 21, 1.

4. Téhillim 147, 19-20.

5. Chap. 49, 7.

6. Chofétim 5, 31.

7. Chémot 15, 25.

8. Chémot Rabba chap. 30 paragr. 9.

9. Téhillim 147, 19-20.



L'esclave hébreu Le statut de l'esclave hébreue


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Envoyé par jocelyne d'ganya - le Jeudi 26 Mars 2009 à 13:13
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Jeudi 26 Mars 2009 à 13:38
ayant discuté avec une juif américain membre de la mairie de NY, d’après ses dires les relations entre les usa et Israel, surtout depuis l’avènement d’obama, vont aller de pire en pire.

D’une car les juifs sont assimilés là bas, ils n’ont en rien à faire d’Israel et la plupart ont permis l’élection d’obama, donc le lobby juif est de plus en plus faible face aux pétrodollars mais aussi au retour fulgurant de l’antisémitisme et nombre important d’occidentaux se convertissant à l’islam, même en amérique ou canada.

De plus la cia dans un rapport paru sur juif.org, ne croient plus en la pérennité d’Israel, la démographie galopante des arabes serait un énorme problème pour le pays, les américains essayeraient donc de se racheter une conduite avec les pays arabes.

On pourrait ajouter à cela l’affaiblissement du gouvernement isaélien et le peu de patriotisme de la jeunesse qui fait tout pour éviter l’armée et se balader en asie ou ailleurs.

Encore d’après de membre de la mairie de big apple, les américains espèrent ainsi récupérer toutes les découvertes et les chercheurs israéliens d’ici 20 à 30 ans par une émigration massive de plusieurs millions d’israéliens, dès que la pays reviendra aux arabes selon eux...

Les USA font aussi "bien" que le quai d’horsay aujourd’hui...
Envoyé par Buffalo Soldier - le Jeudi 26 Mars 2009 à 13:55
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Jean_010 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 14:09
"La 2ème guerre juive commença 59 ans plus tard, en 132. La révolte éclata lorsque l’empereur Hadrien lança une vaste campagne d’hellénisation de la population juive et voulut interdire la circoncision. Il avait décidé d’introduire dans tout l’Empire le culte de son amant, Antinoüs, divinisé, mort en 130, ce que les Juifs avaient refusé, non sans quelques considérants peu amènes sur l’origine du nouveau culte. Par rétorsion, il voulut éradiquer la religion juive qui pourtant était une religion reconnue par l‘Empire : ‘religio licita’. Le légat, Tineius Rufus, pour faire du zèle, décida de faire de Jérusalem une ville à la gloire de l’empereur qu’il voulait appeler Colonia Aelia Capitolina. Colonia, car c'était une colonie romaine. Aelia, en l'honneur de l'empereur Hadrien dont le prénom était Aelius. Et Capitolina, parce que la cité avait été dédiée à Jupiter Capitolin et qu’il voulait construire un temple de Zeus sur les ruines du 2ème Temple.

La réaction des Juifs à ce déni de leurs libertés religieuses, pourtant garanties par l’Empire, a conduit à la deuxième des grandes révoltes de l'ère romaine. Simon Bar Kosiba anima le soulèvement, qui atteignit son paroxysme en 132. Cette fois il eut le soutien des plus hautes instances religieuses du peuple juif, avec le rabbi ben Akiva, un des plus grands rabbins de l’époque, contrairement à la première guerre juive. En 67, les romains étaient venus mater la révolte des Zélotes, mais sans toucher à la tolérance religieuse dont bé
Envoyé par Michel_045 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 16:25
dont bénéficiait le culte juif, comme ‘religio licita’. Cela leur avait apporté le soutien du Sanhédrin (Le tribunal sacerdotal du Temple, dépendant largement des Sadducéens), avant la révolte, et la neutralité des rabbins de l’école de Yabne ensuite, ce qui avait fait grandement défaut aux rebelles et entretenu les divisions au sein du peuple juif.
Bar Kosiba avait organisé une puissante guérilla armée et réussi à chasser les Romains de Jérusalem et d'Israël. Les succès de Bar Kosiba avaient encouragé beaucoup de gens du peuple et des religieux - et parmi eux Rabbi Akiva - à croire qu'il était le Messie. On l'avait surnommé " Bar-Korba ", ou " fils de l'étoile ", allusion à un verset dans le livre des Nombres: " Une étoile viendra de Jacob ", cette étoile étant censée désigner le Messie.

Cette fois, la révolte avait donc un leader, le « fils de l’étoile » qui se déclarait, comme Menahem ben Yaïr, 60 ans plus tôt, prétendant au trône du royaume d’Israël. Il était soutenu par le clergé et réussit à faire l’union autour de lui. Son armée compta jusqu’à 100.000 hommes, l’équivalent de 4 légions romaines et de leurs troupes auxiliaires, et remporta d’incontestables succès initiaux. Il a établi, pendant une brève période, un Etat juif indépendant qui put battre monnaie.
Rome ne pouvait pas, à son tour, subir un tel revers militaire sans réagir à la situation. Les fondements politiques et économiques de l’Empire étaient remis en cause et la révolte juive pouvait être contagie
Envoyé par Michel_045 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 16:26
contagieuse chez tous les peuples assujettis.
Mais les Juifs, unis cette fois, ne furent pas faciles à vaincre. Les Romains perdirent une légion entière dans une bataille, la 22ème légion romaine qui était tombée dans une embuscade et avait été massacrée.
Hadrien envoya de plus en plus de troupes en Israël pour combattre les forces de Bar-Korba, au point de consacrer douze légions et leurs troupes auxiliaires à cette guerre, la moitié des forces armées dont disposaient l’Empire, plus de 240.000 hommes. Cela représentait près de quatre fois ce que les Romains avaient mobilisé pour écraser la " grande révolte ", 60 ans plus tôt.
C'est le meilleur général romain, Julius Séverus, qui commandait cette armée énorme. Mais malgré la puissance dont il disposait, il avait peur d'affronter les Juifs dans une bataille rangée. Ce fait est à lui seul très révélateur de leur état d’esprit, parce que les Romains étaient passés maîtres dans ce genre de combat. Mais ils craignaient les Juifs, parce qu'ils pensaient qu'ils étaient prêts à mourir pour leur foi, une attitude que les Romains tenaient pour un suicide pur et simple. Le bruit courait, que tous les soldats de Bar Korba s’étaient coupés le petit doigt de la main gauche pour prouver leur courage.
C’est l'historien romain Dion Cassius, qui a « couvert » la 2ème guerre juive, comme Flavius Josèphe avait relaté la première, qui explique cette tactique :
"Séverus ne s'aventura pas à attaquer ses adversaires en rase campagne, étant do
Envoyé par Michel_045 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 16:27
étant donné leur nombre et leur désespoir, mais en interceptant de petits groupes. Grâce au nombre de leurs soldats et de leurs officiers, et en les privant de nourriture et en les encerclant, il parvint - lentement mais sûrement, en tout cas sans courir de grands dangers - à les écraser, à les épuiser et à les exterminer. Très peu d'entre eux ont survécu. Cinquante de leurs plus importants avant-postes et 985 de leurs plus célèbres villages furent rasés de fond en comble, et 580 000 hommes moururent dans divers raids et batailles, le nombre de ceux qui sont morts de faim, de maladie et au feu ne pouvant être chiffré."
Bar-Kokhba avait établi sa dernière position dans la ville de Bétar, au sud-ouest de Jérusalem. La ville est tombée le jour le plus triste du calendrier juif - le 9 av de l'année 135 - date anniversaire de la destruction du premier et du deuxième Temple.
Epuisés, les Romains en eurent assez de ces Juifs qui leurs avaient causé plus de pertes en hommes et en ressources qu'aucun autre peuple au cours de l'histoire. Après avoir écrasé la révolte de Bar-Korba, Hadrien, pour parachever sa vengeance, décida que le seul moyen de ne pas s'exposer à un autre soulèvement était de couper les Juifs de tout lien avec leur terre bien-aimée. Il procéda à des déportations massives qui vidèrent le pays de son peuplement juif et il le rebaptisa Syria-Palestina pour prononcer la « damnatio memoriæ » du peuple juif, en donnant au pays le nom des Philistins, anciens occupants,
Envoyé par Michel_045 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 16:28
vaincus par David."

extraits de "Le troisième temple - retour à Massada" de Michel KONIG

Tous les historiens romains, suétone, flavius josèphe, Dion cassius ont tous été des hagiographes plus ou moins courtisans. Il ne faut pas voir les historiens de l'époque comme ceux d'aujourd'hui (encore que)...
Envoyé par Michel_045 - le Jeudi 26 Mars 2009 à 16:32
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 8 minutes