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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientUn ministre israélien refuse "les ordres" d'ObamaGilad Erdan, ministre israélien de l'Environnement et proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu, a déclaré lundi 6 avril qu'Israël ne prenait pas "ses ordres" du président américain Barack Obama. Celui-ci avait répété son soutien à la création d'un Etat palestinien.
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Dernière mise à jour, il y a 45 minutes
Le président des Etats-Unis a profité de son discours devant le parlement turc à Ankara pour envoyer un message sans équivoque au gouvernement israélien dirigé par Benjamin Netanyahou, assurant qu'à ses yeux, Israël était engagée tant par la Feuille de route que par le processus d'Annapolis.
Barack Obama a notamment déclaré : "Je voudrais que cela soit clair : Les Etats-Unis appuient avec force l'objectif des deux Etats pour deux peuples - Israël et la Palestine - vivant en paix et en sécurité l'un à coté de l'autre (…) C'est le but auquel sont associés Israéliens et Palestiniens, et des personnes de bonne volonté dans le monde entier. (…) Ceci est la visée agréée par les parties, avec la Feuille de route et Annapolis. C'est l'objectif vers lequel je tendrai de manière active en tant que président".
Obama a également souligné le devoir "de tendre la main aux Palestiniens ayant besoin d'aide", et parallèlement, la reconnaissance que les "inquiétudes sécuritaires d'Israël sont légitimes".
Très bien Monsieur le ministre, il a un objectif Natanyahou c'est d'ouvrer pour la paix nous a t on dit?...hier j'écoutais radio shalom, je le fais de temps en temps alors moi le musulman j'ai écouté un auditeur juif mais plein sens j'avoue il a dit : " nous ne voulons pas faire la paix et que ce qui est pire nous avons plus faire la paix, ni la guerre d'ailleurs"...il a tout à fait raison ce Monsieur, j'étais étonné de son analyse pragmatique et honnête, ça change par rapport à d'autres.
Z.R.
hammabel@gmail.com
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Les Etats-Unis «ne sont pas et ne seront jamais en guerre contre l'Islam», a affirmé lundi président américain Barack Obama lors de sa première visite dans un pays musulman, la Turquie.
«Nous voulons montrer par des actions concrètes notre engagement pour un monde meilleur», a-t-il dit devant les députés turcs en annonçant un programme pour venir en aide aux pays musulmans.
«Nous voulons aider plus d'enfants, vers une éducation qui leur ouvre la voie de la réussite. (...) Dans les mois qui viennent, je présenterai un programme spécifique en vue d'atteindre ces objectifs. Nous allons nous concentrer sur ce que nous pouvons faire en partenariat avec le monde musulman», a-t-il poursuivi.
Nouvel appel en direction de l'Iran
De ce pays voisin de l'Iran, il a adressé un nouvel appel à de la République islamique, invitée à choisir entre l'arme nucléaire et un avenir meilleur. «J'ai clairement fait savoir au peuple et aux dirigeants que les Etats-Unis recherchent une relation fondée sur les intérêts et le respect mutuels (...). Maintenant, les dirigeants iraniens doivent choisir s'il veulent fabriquer une arme ou bâtir un avenir meilleur pour leur peuple», a-t-il dit.
Israël-Palestine : suivre la «feuille de route»
A propos du Proche-Orient, Barack Obama a affirmé que le processus d'Annapolis et la «feuille de route» constituaient la voie de la paix. «Laissez-moi être clair : les Etats-Unis soutiennent fermement l'objectif de deux Etats, Israël et la Palestine cohabitant dans la paix et la sécurité», a-t-il précisé. Les propos du président américain interviennent après que le nouveau chef de la diplomatie israélienne, Avigdor Lieberman, a déclaré que son pays était lié par la feuille de route, dont l'objectif est une «solution à deux Etats», mais qu'il n'était pas lié par le processus d'Annapolis, qui a tenté de relancer les négociations avec les Palestiniens en renonçant au caractère graduel de la feuille de route.
Un encouragement au dialogue turco-arménien
Pendant ses entretiens avec les dirigeants turcs, le président Obama a insisté sur le caractère stratégique des relations entre les deux alliés, mises à mal en raison de l'occupation américaine de l'Irak, en 2003. Il a en outre encouragé le dialogue entre la Turquie et l'Arménie, assurant que le processus de dialogue en cours «pourrait très vite porter ses fruits» vers une normalisation des relations entre les deux pays.
Répondant à une question, le président américain a fait comprendre qu'il n'avait pas changé d'avis sur la réalité du génocide arménien, mais a préféré mettre l'accent sur les discussions actuelles entre la Turquie et l'Arménie. Arrivé dans la soirée à Istanbul, il a d'ailleurs a rencontré en marge d'une réception les ministres turc et arménien des Affaires étrangères Ali Babacan et Edouard Nalbandian pour «les appeler à parvenir rapidement à un accord», selon un responsable américain. La Turquie et l'Arménie n'entretiennent pas de relations diplomatiques, et Ankara refuse de considérer comme un génocide les massacres d'Arméniens sous l'empire ottoman (1915-1917).
Un partisan de la Turquie intégrée dans l'UE
Enfin, Barack Obama a profité de son déplacement en Turquie pour soutenir, de nouveau, l'adhésion de ce pays à l'Union européenne. C'est la deuxième fois qu'il s'immisce dans le débat européen en moins d'une semaine, déplaisant à des pays européens comme la France qui ne proposent qu'un partenariat privilégié à Ankara.
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Concernant Obama, je suis tres heureux qu'il ne perde pas une minute pour retirer toutes les argumentations de racisme et autres qui pendaient a la bouche des anti-Bush primaires(voir suite)