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La guerre - toute guerre - tue. Et fait, en chemin, des victimes innocentes ( ce que l'inhumain jargon technocratique appelle des " dommages collatéraux " ). Et nul doute que, dans la guerre de Gaza, il y a eu aussi des victimes innocentes. Les Juifs ne se réjouissent pas des morts, même des morts qui n'étaient pas " innocents " . Mais le respect et l'amour de la vie impliquent qu'on la défende. Et, s'il le faut, par les armes. Israël a supporté pendant huit ans que, chaque jour, des fusées s'abattent sur les villes et les villages du Sud. Puis il a répliqué.
Ceci étant, on peut valablement se livrer à des comparaisons : l'opération " Plomb fondu " dure un peu plus de trois semaines. Elle aurait fait, selon les décomptes communiqués par le Hamas, quelque 1300 à 1400 victimes civiles. Ces chiffres, émanés d'une organisation dont les deux seuls domaines d'expertise sont le terrorisme et la désinformation, sont éminemment suspects et mériteraient de sérieuses investigations qui ne font bien évidemment pas partie des préoccupations du " Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU ".
Mais, même si on les acceptait, on pourrait les comparer par
Ryad.
hammabel@gmail.com
« Nous avons surtout un patrimoine invendable, faits d’écoles et de chapelles, qui nous coûte plus qu’il ne nous rapporte. Effectivement, on ne peut pas vous cacher que nous avons certains immeubles rentables. A nous de les faire fructifier pour le bien de l’Eglise », glisse Bertrand de Feydeau, directeur des affaires économiques du diocèse de Paris et ancien président d’Axa Immobilier. En 1998, alors sous la casquette d’Axa, il avait piloté la rénovation du couvent des Bernardins, à la demande du diocèse. Une opération de 49 millions, financée à 35 % par le diocèse, et le reste par l’Etat, la Ville de Paris, la région, et le mécénat.
L’Eglise de France possède donc des « pépites » de grande valeur (lire page 3). Mais, et c’est moins connu, le Vatican lui-même est propriétaire d’une dizaine de magnifiques biens à Paris, dont certains sont loués par de hautes personnalités. En province, de multiples associations immobilières gèrent des dons et legs effectués par des bienfaiteurs.
L’appétit des promoteurs
Et les propriétés des grandes con