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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient« L'idéologie et le régime sioniste sont les porte-drapeaux du racisme », a...« L'idéologie et le régime sioniste sont les porte-drapeaux du racisme », a déclaré dimanche le président iranien Mahmoud Ahmadinejad à la télévision iranienne, à la veille de sa participation à la Conférence de l'ONU sur le racisme à Genève.... Articles connexes
56 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 37 minutes
Laisser le s'épuiser contre les Talibans et puis boum on explose ses centrales.
Cela tient de la grosse farce quand on sait que les iraniens sont élevés avec la haine d'Israël, du peuple juif, des chrétiens, des incroyants, de l'occident, des femmes et je ne sais quoi encore. C'est une vaste plaisenterie quand on sait qu'aucune religion autre que l'Islam ne peut vivre librement en Iran et dans tous les autres pays islamiques. Rien que le traitement des femmes par les musulmans est un crime contre l'humanité, un des pires crimes qui soit d'ailleurs car ils s'attaquent à des individus sans défense qui n'ont ni indépendance financière ni pouvoir décisionnel.
Honte à vous Monsieur Mahmoud Ahmadinejad. Vous n'etes qu'un pantin à la solde d'une idéologie destructrice et humainement répugnante et on devrait vous interdire de particper à une telle conférence.
Vos propos sur Israël sont les plus honteux et mensongers qui soient. Nous en avons tous marre de vos conneries.
Il fût un temps où le christianisme portait également la palme mais à part quelques dérives (du style que les préservatifs ne protègent pas du sida), cela va un peu mieux de leur côté.
Mais à quoi s'attendre de mieux quand on sait ce qu'a été durban I et va encore être le nouveau Durban (auquel va assister la France. Honte sur elle! mais là aussi faut-il s'étonner!!!)
L HOMME ET DU CITOYEN ....Obama boycott et Sarko part en courant à Genève ...
Choqués par les tentatives de certains pays d’assimiler le sionisme au racisme, les Etats-unis et Israël avaient alors claqué la porte. Les participants restants avaient quand même réussi à accoucher d’une déclaration et d’un programme d’action tentant de fixer la première stratégie mondiale contre le racisme.
Les dérapages du président iranien
La conférence qui commence aujourd’hui risque d’être tout aussi houleuse, voire pire. Pour de nombreux observateurs, le bras de fer entre Occidentaux et pays musulmans sur la question d’Israël et la diffamation des religions risque d’occulter l’enjeu réel de la rencontre. D’autant que le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, connu pour ses virulentes diatribes contre l’Etat hébreu, sera présent à Genève. Il exige que le paragraphe distinct rappelant que « l’Holocauste ne doit jamais être oublié » soit fondu dans celui consacré aux grands crimes du passé, tels que l’esclavagisme. Une revendication que les capitales européennes jugent « inacceptable ».
Le président iranien doit, cet après-midi même, prononcer un discours dont on redoute les dérapages. N’a-t-il pas déclaré hier qu’Israël était « le porte-drapeau du racisme » ! On savait depuis longtemps qu’Israël, comme le Canada, boycotterait « Durban 2 ». L’administration Obama a fait savoir hier que les Etats-Unis ne viendraient pas, les Pays-Bas et l’Australie pas davantage. La France sera représentée, pas l’Allemagne, et la Grande-Bretagne se borne à envoyer son ambassadeur.
Après des tergiversations, la France a annoncé dimanche soir, par l'intermédiaire d'une source proche de l'Elysée, qu'elle participera bien à la Conférence de l'ONU sur le racisme qui s'ouvre lundi à Genève.
«La France ira à Genève pour être présente» à la conférence de l'ONU sur le racisme, «afin de défendre son point de vue concernant les droits de l'Homme», a affirmé cette source.
La question est «accepter ce texte minimaliste et nous rendre à la Conférence de Genève avec un niveau réduit de représentation ou ne pas nous y rendre et faire savoir que ce texte manque trop d'ambition pour justifier notre présence», résumait le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, dans une lettre envoyée vendredi à ses homologues européens pour tenter d'unifier la position européenne. Peine perdue puisque l'Allemagne a annoncé dimanche soir qu'elle ne serait pas présente à Genève.
La Grande-Bretagne, elle, avait annoncé plus tôt dans la journée qu'elle participerait bien à cette Conférence qui risque bien de virer au fiasco, comme la première édition.
Les Etats-Unis claquent la porte
Un peu plus tôt dans la matinée, les Etats-Unis ont fait savoir qu'ils «ne participeront pas» non plus, à l'instar de l'Australie, du Canada et d'Israël. En cause, dans la décision américaine, des passages dans la déclaration finale que les Etats-Unis «ne peuvent pas accepter», a annoncé samedi le porte-parole du département, Robert Wood, dans un communiqué. Selon lui, si Washington «applaudit les progrès» réalisés sur le nouveau projet de déclaration finale, «amélioré de façon significative» par rapport aux versions précédentes, celui-ci ne répond toujours pas aux inquiétudes américaines.
Les Etats-Unis avaient déjà claqué la porte en 2001
Il a notamment critiqué des passages singularisant le conflit du Proche-Orient et d'autres allant à l'encontre des engagements américains en faveur d'une totale liberté d'expression
Les Etats-Unis et Israël avaient déjà claqué la porte de la précédente et historique Conférence de l'ONU contre le racisme qui s'était déroulée en 2001 à Durban (Afrique du Sud), après des débats houleux avec des Etats musulmans sur le traitement des Palestiniens par Israël et sur l'antisémitisme.
Les négociateurs présents dans la capitale suisse avaient indiqué vendredi que les pays occidentaux et la plupart des pays musulmans avaient accepté le projet de déclaration finale de la Conférence, qui a aplani les questions les plus controversées relatives aux discriminations religieuses, à Israël et au Proche-Orient.
La présence d’Ahmadinejad fait tâche
La nouvelle mouture du texte ne contient pas de singularisation d'Israël, ni de mention de la diffamation des religions, considérés comme des «lignes rouges» par les Occidentaux. Un paragraphe soulignant l'importance de la mémoire de l'Holocauste, que ne voulaient pas les Iraniens, a été maintenu.
Mais la présence attendue, lundi à Genève, du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui a qualifié à plusieurs reprises l'Holocauste de «mythe» et multiplié les déclarations hostiles à Israël, dont il a réclamé la destruction, a jeté une ombre sur la Conférence.
C. F. (avec agence)