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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL'écrivain jordanien Farid Salman : La Jordanie et la Cisjordanie doivent former un Etat palestinien qui accueillera les réfugiésFarid Salman : La Jordanie est une invention. La Transjordanie, qui était un émirat, et qui plus tard est devenue le Royaume hachémite, fait partie de la Palestine. La Grande-Bretagne l'a créée [la Jordanie] pour couronner l'un des fils d'Hussein, de la péninsule Arabique, sur une partie de la Grande Syrie – sur la Palestine. C'est encore aujourd'hui la raison… Si on ne la supprime pas, le problème palestinien ne sera pas résolu. C'est impossible.
58 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 38 minutes - Times of Israel
Il y a 2 heures - Kountrass
29 Avril 2025 - Le Figaro
29 Avril 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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Dernière mise à jour, il y a 36 minutes
QUE CHACUN RESTE FONC A SA PLACE ET POINT BARRE .................
Tout le monde le sait, et tout le monde se tait. A commencer par les jordaniens qui ont massacré leurs "cousins" lors du tristement célèbre "septembre noir", pour les dissuader de revenir les em.....et leur réclamer leur dû!!!
HAM ISRAEL HAYE
D'ailleurs avez-vous remarquer comme le petit Abdallah gesticule, et craint pour son pseudo royaume peuplé à 60 % de palestiniens
comme le dit Myriam
les palestiniens n'ont qu'un droit celui d'être des réfugiés à vie
tiens nous aurions du faire la même chose vis de nos frères chassés des pays muslemi (1 200 000 faut-il le rappeler
lamentable
depuis 1948 l'ONU totalise 110 millions de réfugiés
les seuls à avoir encore le statut de réfugiés sont les palestiniens ...
cherchez l'erreur
à mettre dans le livre des records !
chalom
Le problème pour Farid Salman c'est que la Palestine n'a à l'égard de l'histoire pas plus d'existence que la Jordanie. C'est un mot créé par les romains pour effacer la relation entre le peuple juif et sa terre et que l'église romaine a perpétré pour des raisons théologiques estimant être la continuatrice de l'Alliance avec un Dieu qui se serait détourné du peuple juif. Il n'a rien d'arabe et tous les documents prouvent que jusqu'à la trahison de la Grande Bretagne qui a mené sciemment entre less 2 guerres une politique de peuplement arabe
En 1695, Relandi (ou Reland) est envoyé en voyage d’études en Israël, en Palestine d’alors, pour un objectif bien spécifique : recenser plus de 2500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanah (Bible) ou de la Michna, dans leur appellation originelle. A chaque fois, Reland y mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère. Reland y fait également figurer son équivalent en Latin-Romain ou Grec ancien.
Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée : d’abord une considération d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors est pratiquement déserte, très peu peuplée. La majorité de ses habitants se concentre alors dans les villes de Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Yafo (Jaffa), Tveria (Tibériade) et Aza (Gaza). Surtout, le constat établi par le géographe conclut à une présence dominante de Juifs sur cette terre, quelques Chrétiens et très peu de Musulmans, dont la plupart étaient des Bédouins.
•Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe
•La grande majorité de ses villes ou villages possède un nom hébreu, quelques-uns en Grec ou Latin-Romain
•Pratiquement aucune ville qui possède aujourd’hui un nom en arabe n’en possédait à l’époque : ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shehem), Gaza ou Djénine.
•Aucune trace dans les recherches de Reland de sources historiques ou philologiques établies aux noms arabes, plus tardifs, de Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)
•En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”), Hévron s’appelle … Hévron et Méarat Hamahpéla (Caveau des Patriarches) : Al Halil, du nom donné à Avraham Avinou en arabe.
•La plupart des villes étaient composées de Juifs, à l’exception de Naplouse (Shehem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains
•A Nazareth, en Galilée, une ville entièrement Chrétienne : 700 Chrétiens
•A Jérusalem, plus de 5000 habitants, dont la plus grande majorité est juive, et quelques Chrétiens. Reland n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.
•A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de Chrétiens. Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les olives et le blé (Goush Katif).
•Une ville comme Oum El Fahem par exemple était complètement chrétienne : 10 familles
L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un “peuple palestinien”. Pas plus de patrie et d'ancêtre palestinien, n'en déplaise à l'occupant du Vatican de Rome, que de regrets dans la communiqué d'un évêque négationniste.