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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Sarkozy: Paris soutient Washington sur la question israélo-palestinienne

Sarkozy: Paris soutient Washington sur la question israélo-palestinienne - © JournalMetro.com

CAEN - Le président Nicolas Sarkozy a affirmé samedi que la France soutenait les Etats-Unis sur la question israélo-palestinienne, réaffirmant le soutien de Paris à la solution de "deux Etats vivant côte-à-côte".

449 commentaires
à Elie
sans problème je connais bien l'histoire de la Judée
je suis même en ce moment en train de rédiger un chapitre sur l'histoire de la Judée à partir du retour de second Exil et j'en suis au sous chapitre concernant Antiochos IV et la naissance de la dynastie Hasmonéenne...
Relis bien j'ai déploré qu'à la suite de la victoire de Juin 1967 nous n'ayons pas annexé la Cisjordanie....
maintenant le mal est fait....
alors que faire
je t'ai également dit que nous avons fait la bêtise de nous retirer de façon unilatérale du Sud Liban et de la bande de Gaza....
maintenant qu'avons nous à proposer à la table des négociations...
là je ne me situe pas sur un plan religieux, mais diplomatique
car je sais par expérience que dès que le religieux s'invite dans la vie politique c'est un désastre
je suis socialement, politiquement un laic impénitent
si l'europe avait été laique nous n'aurions jamais connu l'antijudaisme
la religion dès qu'elle s'empare du temporel c'est une catastrophe Triste
pour finir je sais bien la valeur de la Judée sur le plan spirituel
mais il y a une réalité diplomatique
et faut faire avec
ce qui ne signifie en aucun cas le renoncement
mais bon faut développer
je te laisse la main
Chalom Sourire
Envoyé par Bernard_050 - le Dimanche 21 Juin 2009 à 18:09
Bernard, tu dis: "si l'europe avait été laique nous n'aurions jamais connu l'antijudaisme"

1) l´europe pet-être envahi par un etat puissant antisemite et 2) pas besoin d´être religieux pour hair les juifs, il suffit de faire passer par ex les protocoles des sages de sion dans toute l´europe.

Tu dis aussi: "je suis socialement, politiquement un laic impénitent"
pourtant tu te sers des textes du judaisme pour parler d´ethique au point de vue vivre en societe.

mais laissons cela de côté pour le sujet la judée, tu dis : "maintenant le mal est fait....alors que faire"

les juifs ont combattu, ont ete massacres pour cette region, humilies, chassés, des milliers d´années d´esperance et une fois realiser, enfin sur leur territoire, au lieu de preserver ce qui leur est le plus cher, selon toi, c´est la qu´il n´y a rien d´autre à faire que de donner?

Oui comme tu dis Bernard, faut developper, ce que je t´ai ecris ci-dessus, n´est pas uniquement lié au plan spirituel, combien de jeunes soldats sont mortes pour la cause, tu vas dire à leur famille, que voulez-vous, c´est la vie?
avec gaza aussi on pensait qu´il n´y avait rien d´autre à faire, faut donner, les israeliens ont vite compris qu´ils avaient fait la pire connerie depuis la creation d´israel.

Le minimum que peuvent faire les juifs "pacifiques" qui par generositer veulent distribuer, c´est au moins laisser les juifs attachés à cette terre defendre leur bien.
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 21 Juin 2009 à 19:30
BERNARD, desole, une europe non laic, c est une europe chretienne, et comme ils nous ont toujours adores, que serions nous devenus, oui pas l antijudaisme, anti juif c est certain, mais il n y a qu a voir aujourd hui leur comportement avec les islamistes en europe, par amour de l islam?? que nenni, pour nous emmerder nous juifs, peuple deicide, les cures au pouvoir, bernard il est temps, que tu te reposes , des vacances te feront du bien, regarde l iran pays moderne , retour au moyen age, meme si le schah, a commis des bavures, cordial chalom , roland cohen
Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 21 Juin 2009 à 22:31
Mustapha,
J'écris avec un GSM.
Arrêtez de me la jouer victime alors que vous savez très bien que vous bernez tout le monde avec votre histoire. Jusqu'où voulez-vous pousser la comédie ? Pour rendre service au sujet initial, je vous propose de discuter ailleurs et de vive voix, sur msn. Monsieur "Mustapha", votre film devrait ainsi avoir une fin, non ?
Je serai disponible dès samedi prochain pour discuter de vive voix avec vous, cela vous convient-il ?
Envoyé par Aziz_005 - le Lundi 22 Juin 2009 à 09:30
à Elie et Roland
boker tov
afin de préciser mon point de vue et éviter des malentendus Embarrassé
je transmet un texte ci-après
chalom Rigole
Envoyé par Bernard_050 - le Lundi 22 Juin 2009 à 09:52
PRECISIONS SUR LA «SOI DISANT» COLONISATION EN JUDEE SAMARIE
par Me B. RAMAS-MUHLBACH
Le 16 juin 2009, le Président américain Obama a salué le discours prononcé 4 jours plus tôt par le Premier Ministre Israélien (désormais favorable à la création d'un Etat palestinien). Il a toutefois renouvelé ses exigences quant à l'arrêt des constructions en Judée Samarie, constitutives, selon lui, d'un obstacle, à toute perspective de paix.

Loin d'ébranler le ministre des Affaires étrangères, cette recommandation américaine n'a pas empêché Avigdor Lieberman de confirmer à la secrétaire d'Etat Hilary Clinton, qu'il n'y aurait aucun gel des constructions en Judée Samarie, (le 17 juin 2009), en vertu d'accords passés en ce sens avec la précédente administration américaine (ce qu'a immédiatement démenti l'interlocutrice). Pour Avigdor Liberman, «des gens vivent et meurent en Judée Samarie» et il n'est pas possible d'empêcher l'extension naturelle des implantations même si le désaccord avec l'administration américaine peut être réglé par une volonté mutuelle «de trouver une formule consensuelle».

Sur le plan linguistique, les aménagements effectués par Israël en Judée Samarie sont généralement repris sous le terme de « colonisation » parce que les mots implantations, constructions et colonisations se traduisent en anglais par le même terme «settlements». Aussi, est il confortable pour ceux qui se livrent à une critique systématique de la politique israélienne, d'employer ce mot qui suggère à la fois une attitude condescendante, une illégitimité définitive et l'idée d'une future décolonisation puisqu'il faudra nécessairement défaire demain ce qui ne devait pas être fait aujourd'hui : soit la puissance coloniale tombe, soit elle organise elle-même sa propre décolonisation (après un retour à la raison).

Sur un plan géopolitique, le terme de colonisation résulte de ce que la Cisjordanie n'a pas été annexée par Israël et qu'ainsi, faute d'intégration à l'intérieur des frontières israéliennes, les aménagements sont nécessairement effectués sur une terre étrangère.

Enfin, pour ce qu'il en est des palestiniens, la condamnation de la « colonisation » légitime le combat mené par « l'occupé » et justifie tous les moyens employés pour se débarrasser de celui qui n'a rien à faire à cet endroit. Les palestiniens sont d'ailleurs confortés dans leur entreprise par la communauté internationale qui a, de façon récurrente, condamné l'occupation survenue en 1967, critiqué la politique d'implantation dans les territoires et jamais reconnu l'annexion de la partie orientale de Jérusalem intervenue à la suite de la guerre des 6 jours.

En fait, l'emploi du mot « colonisation » est impropre mais résulte de la rédaction de la résolution 242 de 1967, et de l'absence de prise en compte des modifications survenues en 1988.
Le 22 novembre 1967, l'Onu a adopté la résolution 242 qui a exigé « un retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés lors du récent conflit », exigence également reprise dans la résolution 476 du 30 juin 1980 (la nécessité impérieuse de mettre fin à l'occupation prolongée des territoires arabes occupés par Israël depuis 1967, y compris Jérusalem) ou encore par la résolution 478 du 20 août 1980 (qui reprend dans son 1er point la même formulation). Au delà de la discussion sémantique sur la traduction anglaise de la résolution 242, qui stipule un retrait « from territories » (c'est-à-dire de territoires) et non « from the territories » (c'est-à-dire des territoires), il convient de rappeler que le territoire occupé en 1967 était la Jordanie et non la Palestine, ce qui emporte des conséquences immédiates au regard de la soi disant colonisation.

En effet, ce sont les forces transjordaniennes qui ont, le 23 mai 1948, capturé la ville sainte de Jérusalem, et occupé la Samarie et une partie de la Judée en s'installant sur des zones qui avaient vocation à devenir le « futur État arabe » (en vertu du plan de partage de l'Organisation des Nations unies de 1947). Par la suite, le roi Abdallah de Transjordanie a annexé la Cisjordanie et la partie arabe de Jérusalem (le 24 janvier 1949), malgré la vive et unanime protestation des chefs d'Etat Arabes de la région. Puis, le nouveau Parlement d'Amman a, le 24 avril 1950, approuvé officiellement l'union des deux rives du Jourdain en un seul État pour fonder « le Royaume hachémite de Jordanie ».

Assiette territoriale du futur Etat arabe de Palestine (pourtant refusé par les arabes de Palestine en 1947), ces territoires sont devenus (un temps) une partie intégrante du pays qui allait devenir la Jordanie. Bien évidemment, pour marquer la désapprobation, le roi Abdallah de Jordanie a été assassiné le 20 juillet 1951 sur les marches d'une mosquée à Jérusalem, par un palestinien partisan du mufti Haj Amin el-Hussein opposé au contrôle jordanien sur la partie arabe de la Palestine. Par la suite, le fils du roi Hachémite, l'émir Talal fils bdallah a succédé un temps à son père, puis a été remplacé (pour cause d'incapacité mentale) par son petit fils Hussein en 1952 qui a été sacré roi de Jordanie en mai 1953.
Ainsi, il résulte de cette intégration dans le royaume hachémite, qu'à la suite de la guerre dite des « 6 jours », c'est la Jordanie (dans sa partie occidentale) qui a été occupée par Israël (et non la Palestine) et c'est la partie jordanienne (non palestinienne) de la ville de Jérusalem qui a été annexée.

C'est en l'occurrence cette occupation de la Jordanie par Israël et l'annexion de la partie jordanienne de Jérusalem qui ont été dénoncées dans les résolutions de 1967 et de 1980 : en aucun cas, la communauté internationale n'a condamné l'occupation de la Palestine qui n'a jamais existé en tant qu'entité indépendante et souveraine.

Le véritable problème est né le 31 juillet 1988, lorsque la Jordanie a rompu les liens juridiques et administratifs avec la Cisjordanie : depuis cette date, la Jordanie a cessé d'être occupée et la partie orientale de Jérusalem ne pouvait plus être considérée comme étant annexée. Ainsi, en déplaçant entre les mains de l'OLP la responsabilité de l'avenir des Territoires (anciennement jordanien) occupés, les résolutions 242 et suivantes sont devenues nulles et non avenues (même si elles sont toujours invoquées pour exiger le départ des israéliens).

En fin de compte, le véritable Etat colonial de la région n'était autre que la Jordanie (par l'annexion réalisée en 1950) même si les palestiniens se sont opposés au contrôle jordanien de ce territoire par l'assassinat du roi Abdallah puis lors des évènements de septembre 1970 (septembre noir). Par la suite, la décolonisation jordanienne sauvage survenue en 1988 a véritablement permis à Israël de s'établir sur des terres désertiques sans souveraineté, telle une île déserte qui attend un drapeau national.

Lorsque les palestiniens comprendront que les installations israéliennes sur des territoires sans souveraineté ne sont pas une colonisation, ils sentiront la nécessité d'établir leur Etat sur les terres sans souveraineté qui n'ont pas encore été annexées par Israël et réaliseront que le temps qu'ils ont perdu à faire la guerre, aura juste permis à Israël de se renforcer dans ses frontières géographiques.
Envoyé par Bernard_050 - le Lundi 22 Juin 2009 à 09:53
Aziz,
Quelle victime? Quelle comédie?
Je ne comprends pas votre acharnement à vouloir me démasquer! Expliquez -moi votre certitude quant au fait que je porte un masque! Et d'abord quel masque?

Je ne peux discuter avec vous sur MSN, car comme a dit (je crois que c'est Elie) je ne me "mail" pas avec des gens qui ne font pas partie de mes amis proches. Je n'ai pas l'intention de vous donner mon adresse e-mail ! Du moins pour le moment...qui sait !
Je peux vous assurer que je suis bien arabe pur jus, et j'habite un pays arabe.
Soyez en sûr, je n'ai aucune animosité envers vous (sincerement !), mais je vous reproche deux choses:
* Vous avez commencé les hostilités vis à vis de moi sans "sommation" !
* Vous m'avez traité de malhonnete sans me connaitre et surtout indirectement !


Envoyé par Mustapha_006 - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:00
mon cher bernard, mon commentaire concerne ton analyse sur la laicite, dont voici un resume du texte fondateur
Laïcité et neutralité: le principe de laïcité impose des obligations au service public, la neutralité à l'égard de toutes les opinions et croyances. "La neutralité est la loi commune de tous les agents publics dans l'exercice de leur service".
- Laïcité et liberté religieuse: la laïcité ne se résume pas à la neutralité de l'Etat, ni à la tolérance. Elle ne peut ignorer le fait religieux et implique l'égalité entre les cultes. Dans la ligne de sa jurisprudence classique sur les libertés publiques, le juge administratif s'efforce de concilier liberté religieuse et respect de l'ordre public.
- Laïcité et pluralisme: si le législateur, en 1905, a fait disparaître la catégorie des cultes reconnus, et si l'Etat ne doit donc désormais "reconnaître" aucune religion, il ne doit en méconnaître aucune. Parmi les acquis de la laïcité, figurent l'affirmation que toutes les religions ont droit à l'expression et, contrepartie de la précédente, celle qu'il ne doit pas y avoir, par une ou plusieurs d'entre elles, accaparement de l'Etat ou négation des principes fondamentaux sur lesquels il repose.»
Envoyé par Roland_002 - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:43
Depuis quand la justice doit-elle tenir compte d´une quelconque opinion internationale pour délibérer?

Tout comme une oeuvre d´art doit être restituer aux enfants légitimes héritiers, une personne qui veut vivre dans un monde juste, doit aller dans ce sens quelqu´en soit le bien.

Pour la métaphore:

Depuis quand un accusé peut-il déclarer sans être inquiété: "Monsieur le juge, j´aimerai gardé ce tableau (bien qu´il eu était volé), car il y etait déjà dans ma maison natale, et qu´en plus je n´ai aucune autre ressource de valeur"?! Rigole

Ceux qui conteste les veritables proprietaires de cette oeuvre d´art, sont ceux qui font mine d´ignorer le Temple de Salomon.

Envoyé par Elie_010 - le Lundi 22 Juin 2009 à 11:45
Membre Juif.org





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