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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou au Congrès : « Jérusalem ne sera pas divisée »Le premier ministre Benyamin Netanyahou s’est adressé au Congrès américain dans un discours historique et très attendu mardi. Netanyahou a exhorté le président palestinien Mahmoud Abbas à déchirer le pacte avec le Hamas et à faire la paix avec l’état juif, et a noté qu’Israël se retirera de certaines implantations de Judée Samarie.
Le premier ministre israélien a reçu un accueil particulièrement chaud au Congrès, y compris plusieurs ovations (26 exactement) pendant lesquelles toute l’assemblée se levait. « Je suis profondément ému par cet accueil chaleureux, et je suis très honoré que vous m’ayez donné l’occasion de m’adresser au Congrès pour la seconde fois, » a-t-il dit.
« Je vois beaucoup de vieux amis et beaucoup de nouveaux amis aussi, démocrates et républicains, » a-t-il noté. « Israël n’a pas de meilleur ami que l’Amérique et l’Amérique n’a pas de meilleur ami qu’Israël. »
Netanyahou a déclaré : « je suis prêt à faire des compromis douloureux pour parvenir à la paix. En tant que leader, il est de ma responsabilité de diriger mon peuple vers la paix. Ce n’est pas facile, parce que je reconnais que, dans une véritable paix, nous serons tenus de renoncer à des parties de la patrie juive ancestrale. »
Il a ajouté : « nous allons êtres généreux sur la taille de l’état palestinien, mais comme a dit Obama, la frontière sera différente de celle de 1948, Israël ne sera pas reconduit à la frontière de 1967. »
Netanyahou a souligné qu’Israël n’est pas une puissance coloniale. « Le peuple juif n’est pas un occupant étranger. Nous ne sommes pas les britanniques en Inde, ou les belges au Congo. C’est la terre de nos ancêtres… aucune distorsion de l’histoire ne niera le lien vieux de 4 000 ans qu’il y a entre le peuple juif et la terre juive. »
Netanyahou a félicité les Etats-Unis pour l’élimination d’Oussama Ben Laden. « Félicitation à l’Amérique. Vous avez eu Ben Laden. Bon débarras ! »
Se referant aux soulèvements au Proche Orient, le premier ministre a dit que « sur les 300 millions d’arabes, seuls les citoyens d’Israël jouissent des droits fondamentaux. »
Il a également remercié le président Obama pour son grand engagement à la sécurité d’Israël.
Il y a eu plusieurs perturbations au cours du discours, y compris un manifestant en faveur des droits égaux pour les palestiniens, auquel Netanyahou a répondu que de tels actes de protestation n’auraient pas été possible à Tripoli ou Téhéran, mais seulement dans une véritable démocratie.
Netanyahou a rappelé au Congrès qu’Israël est la seule démocratie dans un Proche Orient turbulent. « Dans un environnement instable au Proche Orient, Israël est le point d’ancrage de la stabilité, » a-t-il noté, disant qu’Israël sera toujours l’ami de l’Amérique.
Se referant à la menace iranienne, Netanyahou a déclaré : « nous sommes une nation qui renaît des cendres de l’Holocauste. Quand nous disons jamais, nous voulons vraiment dire jamais. »
Netanyahou a noté que le statut des implantations sera décidé dans les négociations, et a déclaré que « dans tout accord de paix réel qui met fin au conflit, certaines implantations se retrouveront au-delà des frontières d’Israël. »
Il a mentionné le retrait de Gaza et du Liban, et a mis en garde contre un afflux massif d’armes dans un état palestinien qui pourraient êtres tirées sur Israël si il se retirait des territoires.
Enfin, Netanyahou s’est adressé à Mahmoud Abbas et lui a demandé d’annuler l’accord de réconciliation avec le Hamas. « Déchirez votre pacte avec le Hamas, asseyez-vous et négociez, faites la paix avec l’état juif. Si vous faites cela, je vous promet ceci, qu’Israël ne sera pas le dernier état à accueillir un état palestinien, il sera le premier. »
Le discours de Netanyahou au Congrès conclut sa visite mouvementée à Washington, qui a exposé les désaccords aigus avec l’administration américaine, notamment après sa rencontre avec Obama.
Plus tôt mardi, Netanyahou a déclaré à la conférence de l’AIPAC que l’état d’Israël n’est pas la racine du problème au Proche Orient, et ne doit pas être blâmé pour les troubles de la région. Articles connexes
35 commentaires
| Membre Juif.org
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Regarde, le grand président du plus puissant pays de la terre dit "retour aux frontières de 67" et Bibi va au congrès américains et il dit en gros, oui retour aux de 67, mais celles du 10 juin et tout le congrès explose de joie et l'accueille comme un roi !
Qui pouvait le prédire ? Qui pouvait imaginer que la situation imposée par obama allait se retourner avec une telle rigueur ? qui, hormis HM ?
Je crois que vous cherchez la corruption là où elle n'est pas vraiment. Alors que vous devriez bien plutôt la voir là où elle est : d'où croyez-vous que proviennent les 28 milliards de dollars que Yasser Arafat a laissés à sa Veuve Joyeuse ? Et n'avez-vous jamais entendu parler de cet enquêteur, Fahmi Shabaneh, lui-même Arabe palestinien, commis, par les " Palestiniens " eux-mêmes, pour faire la lumière sur la corruption de l'Autorité Palestinienne et qui, ayant remis un rapport qui dévoilait une corruption effarante, doit, depuis, se cacher pour échapper à la mort que lui promettent les sbires au service de la clique de Mahmoud Abbas ?
que faisait tu sous la table puisque tu parle de millards sous la table,c'est que tu as du voir l'argent passé de main en main,pourtant je ne crois pas que dsk fait partie des invités a une election presidentielle,ne reponds pas coquine,et ne rougis pas.....
ils ne comprendront jamais ils ont une civilisation en retard de 120 ans par rapport a israel
ILS VERRONT BIEN
les vérités
1o le pays d Israel est la patierie ancestral du peuple juif depuis la nuit des temps.Que les juifs y soeient revenus aptres multiples génocides qu a connus ses enfants n est pas une faveur mais son droit fondamental
2o se faire encore anéantir n est plus possible ,plus jamais ca.par conséquent négocier avec ceux qui veulent sa déstrucion n est meme pas pensable
3o la guerre de 1967 ce n est pas Israel qui l a déclanché.Ceux qui l ont déclanché doivent en assumer les consé quences notamment les changements de frontieres
4o les négociations sont nécessaires dans les interets mutuels bien compris. Les deux peuples doivent vivre en paix pour enfin s atteler a leurs développements.
-"Yirushalaim Shel zahav, v'shel nekhoshet v'shel Or!!"-dit le chanson!!
cete ville plusure fois millenaire est Notre capital indivisible,fonde par Notre Melkha Gadol!!
Il n'y a pas à discuter sur le tracé de frontières qui nous rendraient encore plu vulnérables que nous ne le sommes déjà. Bibi l'a justement souligné et c'est la seule réponse que nous devrions opposée à chaque fois que l'on nous casse les oreilles avec cette frontière .
Par contre il y a quelque chose qui n'est jamais souligné dans les discussions, que j'aimerais bien voir mettre sur le tapis, au moins une fois, c'est le refus palestinien réitéré de toute présence juive dans leur futur état alors que plus d'un million d'arabes vivent tranquillement en Israël. Pourquoi personne ne met en avant cette réalité.... pourquoi certains auraient-ils toutes les exigences et d 'autres tous les devoirs????