Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

Le premier ministre de l'autorité palestinienne, Rami Hamdallah, a participé mardi à la septième conférence islamique internationale à Ramallah, en Samarie, où il a continué ses diffamations contre Israël.

Dans son discours, il a appelé la communauté internationale à intervenir pour "défendre" les résidents arabes de Jérusalem qui subissent des "activités illégales" de la part d'Israël "qui sont opposés au droit international et aux droits de l'homme."

L'appel de Hamdallah à prendre des mesures contre Israël exhorte à la pression internationale afin de mettre fin à "l'occupation" et a établir un état palestinien indépendant le long des lignes d'armistice de 1949, avec Jérusalem comme sa "capitale éternelle"…

Il a accusé Israël de tenter d'effacer "l'identité nationale arabe" de Jérusalem, qui est la capitale du peuple juif depuis 3000 ans, mais il semble qu'il n'ait pas été à l'école. Dans le cadre de ses accusations, il a allégué qu'Israël est en train de "réécrire l'histoire" et expulse les arabes de la capitale.

Le premier ministre de l'AP a poursuivi en disant que la conférence inculque le chemin de l'ancien mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, qui est connu pour avoir signé un pacte avec le régime génocidaire nazi pour anéantir tous les juifs.

Hamdallah a appelé al-Husseini, qui était un proche confident d'Hitler, comme "le fils au cœur pur" de la "nation palestinienne".

Dans une tournure ironique étant donné les tentatives palestiniennes de réécrire l'histoire, cette conférence est nommée Bayt al-Maqdis, en fait la version arabisée de l'hébreu "Beit Hamikdash", qui est le terme utilisé pour le Temple Juif de Jérusalem.