Alors que la Maison Blanche confirme que depuis la "déclaration de Jérusalem" il y a une déconnexion totale entre l'autorité palestinienne et l'administration Trump, il s'avère que l'administration précédente maintient des contacts avec des responsables de l'AP. Maariv a rapporté que l'ancien secrétaire d'état américain John Kerry a rencontré à Londres un proche collaborateur du dictateur de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, nommé Hussein Agha, pour une longue conversation ouverte sur une variété de sujets. Agha a apparemment rapporté les détails de la conversation aux hauts responsables de l'AP à Ramallah. Un haut responsable de l'AP a confirmé à Maariv que la réunion a eu lieu.
Agha est l'un des associés les plus proches d'Abbas et un des vétérans de la "paix" avec Israël. Il a dirigé le "London Track", des négociations secrètes tenues de 2010 à 2013 avec les émissaires de Netanyahou, l'avocat Yitzhak Molcho et le brigadier général Mike Herzog, sous la supervision et la présence de Dennis Ross. Agha a également écrit avec Yossi Beilin l'accord Beilin-Abbas dans les années 1990. Il est considéré comme un ardent défenseur du processus de paix, très proche d'Abbas, et maintient un vaste réseau de contacts avec de nombreux éléments, y compris des israéliens.
Au cours de la conversation, selon le rapport, Kerry a demandé à Agha de transmettre un message à Abbas et de lui demander de "tenir bon et d'être fort". Dites-lui, a-t-il dit à Agha, "qu'il devrait rester fort dans son esprit et jouer le temps, qu'il ne plie pas et ne cède pas aux demandes du président Trump." Selon Kerry, Trump ne restera pas longtemps au pouvoir. Il a été rapporté que d'ici un an, il y avait des chances que Trump ne soit plus à la Maison Blanche.
Kerry a offert son aide aux palestiniens dans le but de faire avancer le processus de paix et a recommandé qu'Abbas présente son propre plan de paix. "Il est peut-être temps pour les palestiniens de définir leurs principes de paix et de présenter un plan positif," a suggéré Kerry. Il a promis d'utiliser tous ses contacts et toutes ses capacités pour obtenir un soutien pour un tel plan. Il a demandé à Abbas, par l'intermédiaire d'Agha, de ne pas attaquer les Etats-Unis ou l'administration Trump, mais de se concentrer sur les attaques personnelles contre Trump lui-même, Trump qui pour Kerry est le seul responsable de la situation.
Selon le rapport, se référant au président, Kerry a utilisé des termes péjoratifs et pires encore. Kerry a offert d'aider à créer une initiative de paix alternative et a promis d'aider à obtenir le soutien international, entre autres, des européens, des états arabes et de la communauté internationale. Kerry a laissé entendre que beaucoup dans l'establishment américain, ainsi que dans le renseignement américain, sont mécontents du travail de Trump et de la manière dont il dirige l'Amérique. Il a surpris son interlocuteur en disant qu'il envisageait sérieusement de se présenter à la présidence en 2020. Interrogé sur son âge avancé, il a dit qu'il n'était pas beaucoup plus âgé que Trump et qu'il n'aurait pas de problème d'âge.
Il est raisonnable de supposer que le gouvernement Netanyahou utilisera les détails de cette conversation pour prouver l'ancienne théorie selon laquelle John Kerry est "obsédé et messianique" et pro-palestiniens. Mais il ne faut pas oublier que Kerry est un vieil ami de Netanyahou, et croit qu'un véritable processus de paix est essentiel pour les deux parties et pour la survie de l'état d'Israël, et que la solution à deux états est la seule réaliste qui permettra à Israël de continuer à maintenir son caractère démocratique juif.
C'est le cercueil qui parle au cadavre.
C est minable ......et en dessous de la ceinture
J espère que l équipe Trump va lui casser les reins ainsi qu à son chef Obamahontede l Amerique ...
Netanyahou SAIT tout cela et ne fait pas grand chose, sinon rien, pour démasquer ces traitres et réaffirmer que les "falestiniens" ont déjà un pays (offert illégalement par les Grands Bretons dans le silence des Nations) : la Transjordanie.
Alors que nous lisons en ce moment le récit de la sortie d'Egypte chaque Sabbat, il y a encore des Juifs CHEZ NOUS, qui ont oublié notre passé, y compris celui très proche du XXème siècle.
Ce ne sont pas les Kerry, Hussein Obama, Macron, Poutine ou l'UE qui peuvent nous dicter notre politique et c'est à nous d'y veiller !
La semaine prochaine nous allons planter des arbres sur notre Terre, d'autres rêvent d'y mettre le feu...
Shabbat Shalom !
"Avec 16 ans de règne 8 hussein et 8 la tricheuse Ils auraient détruit tout les deux l'Amérique.
Quand à kerry le clown aussi tarée que toute la gauche Américaine, pour la destruction d’Israël et pro
fakelestinien est une grosse merde comme carter,obamerde,clinton etc..finiront tous en prison à la grâce de ACHEM.