Israël : infos Société

Le ministère de la santé a annoncé aujourd’hui dimanche aux Koupot Holim qu’Israël ne dispose plus que de suffisamment de vaccins Pfizer pour environ deux semaines, après quoi les vaccins Moderna seront mis en circulation.

La 12e chaine a rapporté que des envois devraient arriver prochainement avec des centaines de milliers de vaccins, mais ils sont réservés à ceux qui ont été vaccinés avec la première dose et n’ont pas encore reçu la seconde.

Nachman Ash, gestionnaire de la crise du coronavirus, a parlé cet après-midi d’une nouvelle variante du COVID-19 courante en Ouganda en Afrique de l’Est. Lors d’un point de presse, Ash a déclaré que « la présence de la variante britannique est estimée à environ 90% des nouveaux cas quotidiens. Elle est plus contagieuse, en particulier chez les jeunes enfants. »

« La solution pour couper la chaine de l’infection et de la morbidité est le vaccin. Allez vous faire vacciner, quel que soit votre âge. Les femmes enceintes et la population âgée de plus de cinquante ans sont particulièrement à risque », a plaidé Ash.

Le coefficient d’infection a été de 0,79 au cours des derniers jours et le nombre de patients gravement malades dans les hôpitaux continue de baisser. Le professeur Ash n’est cependant pas particulièrement optimiste : « le nombre quotidien de nouveaux patients vérifiés est toujours élevé, tout comme le nombre de personnes gravement malades en dessous de 40 ans. »

« La variante britannique est plus contagieuse, en particulier chez les jeunes, et provoque très probablement une morbidité plus sévère chez eux. Nous surveillons quotidiennement d’autres variantes communes. La mutation sud-africaine représente 1% des cas dans le pays, selon une enquête menée auprès des cas confirmés. Sept cas de la variante californienne ont également été identifiés. « Et hier, nous avons localisé un cas d’une variante qui est courante en Ouganda, mais sa signification clinique n’est toujours pas claire pour nous. »

Ash a ajouté que « de nouvelles mutations vont nous accompagner tout au long du proche avenir et le défi de les gérer, en particulier avec leur entrée de l’étranger, comprend la réalisation de tests, l’application de la quarantaine, l’extension des capacités de notre service hospitalier et la poursuite du travail du commandement intérieur pour réduire la morbidité. La clé de tout cela est la vaccination. S’il vous plait, faites-vous vacciner. »