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Les « réfugiés » arabes : une invention ?
Les « réfugiés » arabes : une invention ?

Nous sommes depuis des années inondés par le flot ininterrompu de la litanie du malheur des « palestiniens » (comme s’il n’y avait pas dans le monde des situations autrement plus tragique et désespérées…) et par la non moins sempiternelle plainte venant des éternels réfugiés arabes (comme s’il n’était pas entretenu artificiellement par le monde arabe…).

Réfugiés, dites-vous ? Ceux qui ont parcouru parfois quelques kilomètres pour rejoindre les zones occupées par la Légion arabe en attendant la « libération » de la Palestine en 1948-49 ? Si l’on suit avec précision la définition du statut de réfugié de l’ONU, plus de soixante ans après, il ne devrait plus y en avoir beaucoup, leur descendants étant légalement exclu de ce statut. Et bien non, les statistiques augmentent à mesure que leur nombre réel diminue, c’est surtout un moyen de perpétuer le sursis du pays refuge des Juifs.
 
Déplacés, alors ? Immigrés ? Ré-émigrés ? Les termes sont polémiques, mais dans tous les cas, le mot « réfugié » n’est adéquat que dans le cas des Arabes et des Juifs ayant été forcés de quitter leur domicile et leur travail d’une expulsion ou de la guerre. Une responsabilité partagée, donc. Mais le « réfugié palestinien » dispose d’un statut à part : il doit rester ad vitam eternam un réfugié, mais un réfugié qui n’exige pas une compensation ou un retour à la vie normale. Qu’il soit interdit de dizaines de professions et interdit de liberté de domicile au Liban ne soulève aucune indignation chez les défenseurs des « réfugiés ». On ne lui demande pas de vivre comme il l’entend. C’est un réfugié utile. Une arme stratégique. Un réfugié qui vit à la charge des Nations Unies (et de son principal bailleur de fonds, les USA) et qui réclame l’expulsion des juifs.
 
En clair, un pseudo-réfugié qui veut voir des réfugiés (tels que les sépharades expulsés du monde arabe) devenir de véritables sans-refuge…
 
Paradoxe : l’UNRWA a accordé à Gaza le statut de réfugié à « tout arabe [c'est-à-dire à l'exclusion des juifs] ayant vécu depuis au moins deux ans en Palestine mandataire ». Curieuse définition qui s’apparente plutôt à une définition du statut du migrant. Deux ans ?… Les Juifs qui vivent en Palestine mandataire depuis plus de 50 ans, n’ont-ils pas alors plus de droits à être reconnus comme autochtones ?
 
Autre paradoxe : la puissance mandataire distinguent les « Palestiniens » des « Arabes »… Distinction importante à relever : les « Palestiniens » désignent les Juifs pour les Britanniques. Ce sont donc eux, les véritables habitants de la « Palestine ». Il est bien sûr notoire que l’identité palestinienne est un régionalisme arabe combiné à un irrédentisme antijuif…
 
Ainsi, les propagandes ont profité du manque de sources fiables côté arabe, contrastant avec la somme d’archives que l’État hébreu s’est efforcé de réunir et de conserver à destination des historiens. C’est aussi une des raisons pour laquelle on trouve autant de publications (certaines intéressantes et d’autres malhonnêtes) sur le point de vue israélien de la question. Et l’expulsion des Juifs du monde arabe ? Ils représentent un marketing bien moins rentable que la surenchère victimaire des Arabes de Palestine…
 
Plutôt que de faire la critique des « nouveaux historiens » israéliens – qui ont découvert que la guerre civile de 1947-48 et la guerre d’indépendance de 1948-49 s’est soldée par des déplacements de population – et plutôt que de rechercher de multiples « Plan Dalet » censé faire des réfugiés une politique intentionnelle, je vous propose de reprendre la trame des événements à partir des déclarations des protagonistes…
 
Et certaines déclarations mettent clairement en doute la version de l’histoire arabe d’une expulsion manu militari de civils désarmés… Cet article complète le précédent qui montrait en images l’expulsion manu militari des Juifs de Jérusalem…
 
Les nuances de l’histoire sont incompatibles avec l’unilatéralité des affres de la propagande…
 
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2 octobre 1947 : Assemblée juive de Palestine,
« Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour maintenir la paix et établir une coopération prospère entre juifs et arabes ».
 
29 novembre 1947: plan de partage de l’ONU
 
30 novembre 1947 : Agence juive,
« La chose la plus importante aujourd’hui est le désir de notre communauté de chercher la paix et sa détermination à coopérer avec les arabes. »
 
30 janvier 1948 : Ash Sa’ab (journal de Jaffa),
«Tous ceux qui abandonnent leur maison, surtout les plus riches, ou leur travail forment notre cinquième colonne. Dès les premiers indices de tension, ils s’en vont. »
 
8 mars 1948 : Comité National Arabe,
« Ordre est donné aux hommes ne pouvant combattre, femmes, enfants et vieillards de toutes les parties de Jerusalem de quitter leurs maisons. Toute opposition à cet ordre est un obstacle à la guerre sainte (jihad) et restreindra les opérations de nos combattants (mujahidin), dans ces districts. »
 
30 mars 1948 : AsSarih (journal de Jaffa),
« Les villageois sont notre honte, ils abandonnent leurs villages avant même d’avoir vu le moindre juif. »
 
Début avril 1948: les « irréguliers » arabes annoncent le prochain bombardement de Haifa et du mont Carmel.
 
22 avril 1948 : Aubrey Lippincott, Consul Général américain à Haifa,
« Les leaders arabes, dominés par le mufti local, exhortent les arabes de quitter la ville, ce qu’ils font en grand nombre. »
 
23 avril 1948: la ville de Haifa passe sous contrôle de la haganah.
 
23 avril 1948 : New York Times,
« Des milliers d’Arabes quittent la ville et rejoignent des régions contrôlées par les armées arabes, craignant que les juifs n’atteignent le pont de Rushmiya entre la Samarie et le nord de la Palestine. »
 
23 avril 1947 : Jamal Husseini, dirigeant le Haut-Comité Palestinien,
« Les arabes ont préféré abandonner leurs maisons et leurs biens et quitter la ville, plutôt que d’accepter la proposition des juifs de rester. »
 
26 avril 1948 : Rapport britannique de police de Haifa,
« Nous constatons tous les efforts faits par les juifs pour persuader la population arabe de rester et de continuer à mener leur vie habituelle, à ouvrir leur magasins, et pour leur assurer qu’ils sont en sécurité. »
 
Fin avril 1948 : Golda Meir est à Haifa pour convaincre les autorités arabes de rester; convaincues de la prochaine défaite juive, elles partent de peur d’apparaître comme traîtres à la cause arabe en ayant traité avec les ennemis.
 
3 mai 1948 : Time,
« En déplaçant les travailleurs arabes de Haifa vers le Nord, les leaders arabes espéraient paralyser tout vie à Haifa et faciliter la réddition de la ville. »
 
16 août 1948 : George Hakim, évêque catholique de rite grec-orthodoxe de Galilée, dans le journal Sada alJanub,
« Les leaders arabes ont promis aux Arabes que leurs armées allaient écraser les gangs sionistes très rapidement et qu’il n’y avait pas à avoir peur d’un exil. »
 
2 octobre 1948 : The Economist,
« Les Arabes qui resteraient à Haifa et accepteraient la protection des juifs étaient menacés d’être considérés comme des renégats et d’en subir les conséquences. »
 
12 août 1948 : John Bagot Glubb, dit Glubb Pacha, commandant de la Légion arabe, dans le London Daily Mail,
« Les villages étaient fréquemment abandonnés avant même qu’ils soient menacés par les progrès des combats. »
 
19 février 1949 : Filastin (journal jordanien),
« Les États arabes ont exhorté les Arabes de Palestine à quitter leur maisons temporairement, afin de ne pas entraver l’invasion des armées arabes. »
 
1949 : Haled AlAzm, premier ministre syrien, dans ses Mémoires,
« Depuis 1948, nous réclamons le retour des réfugiés. Mais nous avons nous-mêmes étaient ceux qui les encouragèrent à quitter leurs maisons. Quelques mois ont séparé le moment où nous les appelions à partir, et le moment où nous avons appelé les Nation-Unies à adopter une résolution demandant leur retour. »
 
4 mars 1949 : New York Times,
« Après l’armistice israélo-egyptienne, les observateurs conseillaient à juste titre la population arabe de rester. Le gouvernement israélien leur avaient donné des garanties concernant la sécurité des personnes et le maintien de leurs droits. Cependant, aucun effort n’a été fait de la part de l’Egypte, de la Transjordanie, ou même de la commission palestinienne de conciliation de l’ONU, pour demander aux arabes de Faluja [entre Tel-Aviv et Beersheba] de rester. »
 
octobre 1949 : Mussa Alami, dans le Middle East Journal,
« Les Arabes de Palestine avaient quitté leurs maisons. Mais ils conservaient l’espoir intact. Les armées arabes étaient sur le point d’entrer en Palestine pour sauver la terre musulmane [dar alIslam], et jeter à la mer le sionisme, ses rêves et les dangers qu’il représentait pour nous. Le 14 mai 1948, des foules arabes prenaient la route des frontières de la Palestine, accueillant avec enthousiasme les nouvelles de l’avancée des combattants arabes [mujahidin]. Les jours passèrent, accomplissant leur mission sacrée, mais les armées arabes ne sauvèrent pas le pays. Ils ne firent rien d’autre que laisser échapper Acre, Sarafand, Lyyda, Ramleh, Nazareth, le reste de la Galilée et la majeure partie du sud. Alors l’espoir de victoire les quitta. Au moins, ils ne vivaient pas dans le pays tenu par les Juifs. »
 
8 juin 1951 : Habib Issa, dans AlHoda (journal libanais),
« Le Secretaire Général de la Ligue Arabe Azzam Pacha a garanti aux Arabes que l’occupation de la Palestine et de Tel-Aviv ne serait qu’une simple promenade militaire et qu’il serait facile de jeter les juifs dans la Méditerranée. Le conseil fraternel fut donné aux Arabes de Palestine de quitter leur biens afin de rejoindre temporairement les pays frères voisins. »
 
Abdallah de Jordanie, Mémoires :
« La tragédie des Palestiniens est que leurs leaders leur ont fait la fausse promesse que derrière eux 80 millions d’Arabes et 400 millions de musulmans allaient miraculeusement venir à leur rescousse. »
 
Yigal Allon, général de la hagannah :
« Les villes de Ramle et Lod servaient de base pour les irréguliers arabes pour attaquer les convois juifs et les villages juifs environnants, bloquant la route stratégique pour Jérusalem qui était assiégée. Les arabes ont rejoint la région dominée par la Légion arabe à quelques kilomètres de là. »
 
Benny Morris, La naissance du problème des réfugiés arabes, Cambridge :
« Les commandants israéliens n’ont pas été confronté au dilemme moral posé par l’expulsion des populations arabes : les plupart du temps, les soldats de la haganah arrivaient dans des villages vidés de leurs habitants, où ne subistaient que les irréguliers arabes. »
à Contre-Courant
Réflexions critiques sur l’actualité, les médias et l’histoire : http://contrecourant1.wordpress.com
48 commentaires
Mais lors de la première Guerre du Golfe pour libérer le Koweït, et pour la première fois, Its’hak Shamir finit avec regret devant les pressions et promesses de Georges Bush père de renoncer à riposter contre les 39 « Scud » de Saddam, car les Arabes refusaient formellement de combattre Saddam Hussein en s’alliant indirectement avec Israël.
Au lendemain de cette guerre, se tint la Conférence de Madrid, le 30 octobre 1991, soutenue conjointement par les États-Unis et l’Union soviétique. Ce fut la première tentative de la communauté internationale pour engager un processus de paix au Proche-Orient impliquant Israël et les pays arabes dont la Syrie, le Liban, la Jordanie et, indirectement, les Palestiniens.
A partir de là Israël a été conduit petit à petit à subir de fortes pressions de nombreux pays et à entrer dans un processus international qui a gravement entamé sa liberté et son indépendance.
Le danger n’était pas d’entamer un dialogue entre Israël et les Arabes. Bien au contraire depuis sa création, Israël n’a cessé de tenter de dialoguer avec le monde arabe. Le danger était d’introduire de nombreux pays désireux d’aider à régler le conflit, car les intérêts de ces pays étaient très largement influencés par le lobby et les intérêts arabes, pétroliers en particulier.
Envoyé par Buffalo Soldier - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 14:09
A partir de là, Israël est entré dans un engrenage dangereux face au nombre et aux intérêts propres de ces pays. Il aurait fallu – mais nul ne l’a compris, à commencer par nous-mêmes – après les préliminaires exiger de mener un dialogue face à face avec les Arabes. Les intermédiaires ont, en fait, suivi leurs propres intérêts et les pays ont fait coalition avec les Arabes contre Israël.
D’année en année, l’Occident s’est radicalisé avec Israël. On est loin du temps où Mitterrand tenait des propos au conditionnel avec Israël tout en soutenant Arafat. La gauche mitterrandiste a beaucoup tenté de convaincre Israël de prendre le pari et le risque de la paix y compris avec Arafat. Depuis, la situation a radicalement changé.
Clinton a délibérément choisi de diriger Israël par personne interposée. C’est ainsi que tout l’état-major politique s’est investi pour faire tomber Netanyahu, trop indocile, pour se fabriquer un dirigeant israélien plus docile en transformant un brillant général, Ehud Barak, en un médiocre mauvais Premier ministre. Clinton avait eu l’indécence de s’exclamer après l’élection de Barak que c’était le plus beau jouet qu’on lui avait offert (sic).
La défaite de Barak après Camp David et l’intifada provoqua un bouleversement de l’opinion israélienne qui plébiscita Sharon. On espérait ainsi que l’indépendance du gouvernement israélien allait être reconquise au désespoir de la France de Chirac et de l’Europe. On reprenait espoir en l’indépendance d’Israël et en ses in
Envoyé par Buffalo Soldier - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 14:09
Avec l’invalidation tragique de Sharon par la maladie, c’est Olmert qui prit le pouvoir. Il était un fidèle vassal de Sharon et se conduisit en vassal des USA en se montrant incapable et prétentieux. Avec lui, Israël devint plus que jamais une annexe du Département d’Etat. Il allait prendre ses instructions régulièrement à Washington.
L’Europe de son côté, a adopté, dès le choc pétrolier, la politique arabe de la France en imaginant une union, le projet Eurabia, qui l’a rendue tributaire et dépendante des Arabes. Elle s’est progressivement transformée en adversaire d’Israël à la demande expresse des accords Eurabia.
L’opposition de l’Europe à Israël, accentué par la haine chiraquienne contre Bush et Israël, a atteint alors son comble. La France et l’Europe, pour flatter la haine arabe anti-israélienne, a commencé à glisser vers l’antisionisme et l’antisémitisme dans l’espoir de gagner l’amitié des pays arabes.
L’antisémitisme redevint à la mode en Europe. Chasser le naturel…
La fin du mandat de Bush, l’accession d’Obama, l’élection Netanyahu ont obligé l’Occident à prendre position. L’élection de Netanyahu contrariait l’Occident et le choix de Lieberman comme ministre des Affaires étrangères n’arrangeait rien.
Envoyé par Buffalo Soldier - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 14:09
Il ne fait aucun doute que les USA, l’Europe et bien sûr, la France ont pris immédiatement le taureau par les cornes pour assujettir Israël, non pour le coloniser et l’exploiter, à leur habitude, mais pour élaborer leur politique extérieure selon leurs intérêts en court-circuitant Israël condamné à jouer les figurants.
Et, soyez-en certain, la meilleure façon et la moins coûteuse solution est domestiquer le monde politique israélien. Neutraliser Netanyahou, casser la droite nationaliste en la calomniant et en la démonisant, chercher les maillons faibles, Livni d’abord mais aussi Barak militaire d’exception, et politique médiocre.
Netanyahu a clairement posé le cadre de sa politique et Obama, comme Sarkozy et Merkel ont parlé et agi que comme si Netanyahu n’existait pas. Les « conseils » de Sarkozy, et les insultes sur Lieberman permettent de mesurer l’ambivalence douteuse de Sarkozy que l’on a vu mielleux avec Khadafi, Assad et autres dictateurs africains qui valent moralement bien moins que Lieberman.
Obama, avec un mépris hautain, a exposé ses préférences : les accords de Taba et la divison de Jérusalem déjà mise en carte rue par rue selon ces mêmes accords que la population a rejetés avec horreur et à une majorité écrasante par ses suffrages.
Aujourd’hui la balle est dans le camp de Netanyahu.
Va-t-il faire face et relever le défi ?

Robert Cotta
Envoyé par Buffalo Soldier - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 14:10
Ce n'est absolument pas une invention!!!!!
Je me souviens au Maroc que l'on a regroupait,venant de toutes les régions rurales éloignées de Casablanca (des villages berbères entre autre) des juifs autochtones, que l'on a acheminé la nuit pour embarquer dans des bateaux au port de Casablanca, vers Israël. Ils étaient des milliers de paysans-propriétaires. Ils vivaient depuis des siècles au fin fond du Maroc. Ils ont quittés le Maroc en cachette dû aux autorités de l'époque (année 60), acheminés la nuit au port de Casablanca en direction d'Israël... Les gens en parlaient en Catimini... Surtout de leur passage à la grande ville de Casablanca, ou ils étaient désorientés...
Envoyé par Marie_018 - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 14:43
merci d'avoir porté à ma connaissance une vision de votre politique qui a sans doute ses fondements. Bien sûr je comprends votre position ; néanmoins, étant française, je ne suis pas aussi assidûment la politique internationalle qui est menée pour Israêl ; vous m'en voyez désolée mais chez nous, il y a suffisamment à faire ; néanmoins, soyez certain que la frilosité des dirigeants concernant Israêl indispose certes beaucoup de ceux qui vous soutiennent, mais elle est due probablement, outre certains intérêts économiques avec les pays arabes (ce qui ne durera pas encore des siècles au vu de l'épuisement de leur or noir d'après ce qu est rabaché), mais surtout à la crainte que ces barbares provoquent par leur extrémisme ; sachez que la France qui se veut une terre d'asile et d'accueil en est à mesurer ses propos et ses façons d'agir puisqu'elle est pratiquement envahie par les muzz qui y prennent plus de droits qu'ils ne respectent les devoirs républicains.
si ce n'étaient que des guerres économiques, nous pourrions encore pouvoir instaurer certain dialogue, mais nous avons regressé au stade presque féodal avec des gens qui ont mille ans de retard.
Envoyé par Chloe_001 - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 16:49
bonjour marie, il ne s'agit pas des juifs du maroc (que l'on a d'ailleurs bien sûr expulsés et pour lesquels il n'y a jamais eu autant de publicité !) mais des arabes de palestine auxquels leurs dirigeants promettaient de nettoyer en peu de temps la palestine de tous les juifs quelque temps après la création de l'état d'Israel , ce sont de ces régugiés-là que nous parlons ; relisez le premier commentaire du 6 juillet
Envoyé par Chloe_001 - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 17:01
L'Europe et les USA entretiennent la peur des Israëliens des Arabes pour rendre incontournales leurs services d'intermédiaires,les Palestiniens et El Qaida menacent quiconque des arabes qui ne soutient pas la cause dite nationale pour tous les pays arabes et ces derniers sont obligés de satisfaire toutes les demandes de l'Europe et des USA pour qu'ils fassent pression sur Israêl et la faire revenir à la table des négociations.Qui est gagnant dans ce jeux diabolique ? L'Europe et les USA dont les ventes en armes aux pays du Golf et au reste du monde arabe se compte en milliards de pétrodollars alors que les populations de ces pays croupissent dans la misère inimaginable , l'ignorance et en l'absence d'infrastructures les plus élémentaires.Nous avons désormais des Princes-généraux dans des Palais-casernes avec un arsenal de plus en plus sophistiqués et de plus en plus cher pour faire quoi ? contre qui ? Pourquoi? Sont-ils capables de l'utiliser ? Israël et les Arabes , pris au piège,sont utilisés par les pays européens et les USA ,comme des épouvantails dans cette opération de marketing internationale pour la vente d'armes .Vous avez raison de dire qu'il faut circuiter ces deux pôles et engager des discussions directes entre les Arabes et Israël.Le budget réservé chaque année pour l'achat d'armes de part et d'autre suffirait pour régler tous les problèmes en suspens et aller enfin de l'avant vers d'autres horizons.Le temps est impitoyable pour tous.
mohammed Hifad
Envoyé par Mohammed_008 - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 18:22
J'aimerais savoir ce que sont devenus ces Juifs Amazighs et s'ils ont transmis à leurs enfants leur langue, culture , histoire et leurs traditions amazighes.leurs villages et terres sont toujours là :ils n'ont ni vendu ni loué leurs biens titrés .Il y a encore des Kasbas entières ,des maisons fermées depuis leur départ.La terre d'Israêl , celle de Dieu , est partout!
mohammed hifad.
Envoyé par Mohammed_008 - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 18:34
Marie

Et le rapport entre la fuite des juifs du Maroc (encore faut-il connaître les raisons) et l´invention des réfugiés arabes en Israel?
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 12 Juillet 2009 à 20:22
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