Rosa rosa rosam. Rosae rosae rosa. Rosae rosae rosas. Rosarum rosis rosis ....

OUI!! Israel, cet Etat courageux a RAISON et les autres ont TORT!!!

Jocelyne,
Je passe en mode lecture
On reprendra plus tard ou plus loin si tu veux
bonne continuation et encore merci pour ta patience..
Du coup zappes mes questions ... je n'avais de toute façon posté que la moitié

Et qui va ainsi SUR N'IMPORTE QUEL BLOG , dire ce qui lui passe par la tête
Envoyé par Jean_010 - le Jeudi 3 Septembre 2009 à 09:23

Qu'est ce que c'est cette histoire de se débarrasser d'une compagne qu'un Juifs a déflorer ! Faut, lisez la Halakha, celui qui a une relation avec une vierge, soit assumer les conséquences de sont acte, c'est l'acte sexuel qui détermine qu'une union est faite et le Juif qui se dédit suite à un acte sexuel ou suite à la naissance d'un enfant sera jugé par le Bet Din, si il abandonne sa compagne après avoir déclaré sont désire de créer une union avec sa bien-aimée et qu'il se dédit, gare à ses fesses, il peut être rejeté par sa communauté et ses biens lui sont confisqués au profit de la promise.
Dans la Halakha, il n'y a pas de distinction entre une femme mariée et une femme non mariée, car cette notion n'apparait pas dans les textes sacrés. maintenant le Bet Din intervient depuis quelques siècle, depuis que des couples ont contracté un acte de mariage, mais les décisions sont identique que le cas d'une union "libre", il suffit de 3 témoins qui atteste que le couple partageait des relations et vivaient en concubinage, les conséquences sont les même.
Si la compagne n'est pas vierge lors de leurs première relation, le compagnon peut faire constater par une femme experte, l'absence de virginité pré-relationnelle. Dans ce cas la femme ne pourra pas le poursuivre en cas de séparation afin d'obtenir des réparations. Si des doutes apparaissent après la naissance d'un enfant sur la réel paternité de l'enfant, c'est l'intérêt de l'enfant qui prime, ce dernier ne doit en aucun cas suppor

supporter les retombée d'un différent en cas doute sur la paternité, et le père doit prouver l'infidélité de la femme, si il accuse sans preuve et humilie la mère, la punition sera sévère envers le père.
Il faut lire le Choulhan Aroukh et le Even Ha'ezer pour comprendre l'évolution du Judaïsme concernant les actes de mariages, il y a des pages et des pages sur ce sujet. Mais dans tous les cas cette institution et sa pratique provient au niveau Halahique du 14 - 16ème siècle!
Maintenant la Ketouba, ce terme signifie "contrat" "parole écrite", il a plusieurs fonctions, lors d'une union pour un couple, depuis quelques siècles lors d'un mariage, lors d'amener la preuve d'ascendance Juive, spécialement pour la femme, et pour établir différentes forme de contrats, non obligatoire et c'est là que j'appuie mon argumentation, contrat relatif à des partages de biens, avec sans conditions relatives au comportement ou vis-à-vis de cas de stérilité.
Ce type de contrats sont indépendants de quelques formes que se soit vis-à-vis de toute union entre deux êtres.
Pourquoi le mariage n'est pas Kasher ! seul l'amour et le désir naturel existant entre deux être est primordial, le mariage comme toute forme de contrat est anti-social. Le mariage permet à la société ainsi qu'aux famille de forcer des unions et pire, de rejeter des femmes enceinte non acceptée pour des raison bien trop souvent économique ! Combien de bonnes se sont retrouvées jetées sans aucune contre partie avec leurs enfants,

ou plus bêtement assassinées ? car non reconnues par les liens du mariage ! et pas que des bonnes !
Le Bet DIn ne tranche pas sur les actes moraux, ces derniers peuvent influencer une décision, quoi que ce n'est pas de sa compétence, lors de séparation, si il y a certaines forme de ketouba entre les époux, le Bet Din devra tenir compte des clauses du contrat, mais d'autres intérêts auront la priorité sur les accords écrits, pour ainsi dire, cette forme de contrat est rarement reconnue lors de litiges.
A moins de faire des ketouba contractuelles de partage de bien de 200 pages, comme certains Juifs américains ont tenté de faire, mais très vite ces affaire finissent devant un tribunal civil qui prend force sur la justice Rabbinique !
Dans le catholicisme ou le divorce n'est pas autorisé le mariage à une signification, mais dans le contexte du droit halakhique, il ne sert à rien, en tant qu'engagement "légal", donc une belle fête, oui, une déclaration publique envers sa communauté, oui, un rituel, oui, mais un contrat entre deux être pour dicter leurs conduite ou autre contrainte, inutile et anti-social !

Le terme "mariage" a une racine latine qui vient du terme mas,maris qui signifie : "mâle", (mot qui concurrence son synonyme latin vir), ainsi l'origine lexicale de l'union de deux êtres était masculine, la nouvelle n'y prenait même étymologiquement aucune part, son père la mariait à un homme, la tutelle de la femme passait du père au mari. Ainsi maritare ou donner en mariage était une action passive.
Au XIIème siècle, alors que le mariage devient un sacrement, le français intègre la notion active du concept, le "donner en mariage" évolue en "action de (se) marier".
Au XVème siècle, le mariage est lexicalement un état.
Au deux siècles suivants, ce terme ne signifie plus seulement l'union de deux âmes, mais on l'emploie aussi métaphoriquement, exemple : le mariage de deux couleurs, de deux vers... Au XVIIème siècle, il désigne le jour "J" ou la célébration des noces.