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![]() Israël : nos droits réels sur cette Terre
De nos jours, il faut savoir présenter de la meilleure manière possible nos droits sur cette terre, la Terre sainte, sous peine de voir les arabes gagner sans cesse les batailles d'emprise que se livrent notre peuple et leurs divers porte-parole.
Il est clair à nos yeux que le fond du conflit se joue à un niveau beaucoup plus élevé, où il est question des mérites de notre peuple sur la terre que l'Eternel a promise à Avraham - et sur notre attente de la fin du mérite de Yichma'ël d'avoir accepté de pratiquer la Mila. Si cette dimension spirituelle est évidente pour nous, il n'empêche qu'il faut également savoir se battre sur terre également - ce qui signifie de nos jours : dans l'arène des médias. L'éditorialiste du Yated pose à cet égard une question lancinante : les responsables politiques actuels, qui ont la charge de la défense morale d'Israël, sont-ils en mesure d'assumer réellement ce conflit ? En acceptant de rentrer dans le jeu arabe - pour qui la création d'Israël est une conséquence de la Shoah, venue apporter une «compensation« au peuple juif - le peuple juif ne renonce-t-il pas aux vrais arguments : ceux de ses droits historiques sur cette terre ? Au total, l'Israël laïc peut-il faire reposer son argumentaire sur de tels éléments, qui n'occupent pas grande place dans la pratique quotidienne de la majorité des Israéliens !? L'échec dans le domaine de la guerre de propagande qu'essuie Israël ne date pas de l'opération «Plomb durci», et ne sera pas évité par le biais d'une commission d'enquête - si toutefois ce projet prend forme. Il prend sa source dans un problème de méconnaissance profonde de notre histoire plurimillénaire, qui a pour conséquence cette incapacité d'expliquer aux nations quelles sont les bases réelles sur lesquelles les Juifs fondent leur prétention d'avoir droit à cette terre. Le sujet du mont du Temple et de l'endroit où était érigé le Saint des Saints (sans aborder ici l'interdit absolu pour les Juifs d'y monter) est un exemple de sujet sur lequel le monde musulman ne cesse de diffuser le message le plus mensonger dans le monde, sans qu'Israël y réponde avec suffisamment de force. Les Arabes sont plongés depuis des années dans une révision de l'histoire. Partout où ils le peuvent, dans le pays comme à l'étranger, ils proclament que le mont du Temple est un site musulman antique, et que jamais il n'y a eu de Temple en cet endroit. Pour eux, le Temple est une « invention juive » qui n'a aucun fondement dans l'histoire. Cela peut nous sembler stupide, ridicule et peut-être même infantile, quand c'est dit une première fois, puis une seconde. Mais quand le message est répété comme un mantra (condensée formée d'une série de sons répétée de nombreuses fois suivant un certain rythme), avec la fougue typique des Arabes, quand on fait paraître des analyses et des livres mensongers qui « prouvent » que jamais les Juifs n'avaient de Temple à Jérusalem et que ce message est relayé par d'autres médias, cet argument, pour douteux qu'il soit, finit par occuper une place légitime (!) dans les éléments du débat local. Un point de discussion de plus entre les deux protagonistes. Le propre d'un mensonge, quand on le répète souvent, est de se transformer en un argument convaincant, au point qu'il semble bien que les arabes croient réellement que telle est la véritable réalité des choses. [.] Il en sera de même pour les droits des Juifs à habiter sur cette terre. Le monde entier est convaincu que le Yichouv [l'installation] des Juifs en Erets Israël n'existe que parce que les nazis ont exterminé six millions de Juifs durant la Choa, et que les Nations ont voulu régler le problème des Juifs en créant un Etat pour les rescapés du génocide. Les Arabes, en réponse à cette conception, protestent dans tous les forums internationaux possibles qu'il s'agit là d'un scandale historique, car il n'est pas concevable que l'on puisse résoudre les problèmes d'un peuple en provoquant une catastrophe pour un autre. En termes plus simples : les Palestiniens n'ont pas de raison de faire les frais de l'extermination des Juifs. Et à ce niveau également, le conflit concernant la légitimité du Yichouv en Erets Israël finit par se transformer en un débat concernant la Choa, - et non point en une discussion à l'égard des droits historiques des Juifs de s'installer dans ce pays. Le monde arabe, et surtout palestinien, a réussi à transformer ces sujets parmi d'autres en débat d'apparence légitime, avec deux positions équivalentes, quand de manière naturelle les nations qui n'aiment pas particulièrement Israël font preuve d'une sympathie claire envers le peuple palestinien « pourchassé » et « digne de pitié ». Tombe de notre Patriarche Yits'haq à 'Hévron Le problème est que, pour persuader les nations que les Juifs ont le droit de vivre dans cette partie du monde, il faut tout d'abord en convaincre les autochtones. Ce droit repose, on le sait bien, sur la promesse divine accordée aux patriarches de notre peuple - mais pour se reposer sur cette promesse, il faut être croyant ! Or comme le système éducatif israélien se refuse d'inculquer que le Livre des livres est éternel, qu'il représente la Vérité absolue, que tout le peuple juif doit l'étudier et le suivre dans ses moindres détails, on ne peut faire le choix d'un autre élément et l'utiliser pour construire sur lui un Etat ! On ne peut pas davantage convaincre une génération pour laquelle la notion de Temple n'a aucun contenu que l'endroit où était érigé le Temple revient aux Juifs ! Avant de venir éduquer les Arabes ou de tenter de convaincre les nations de tout cela, il faut d'abord convaincre les Juifs. Or eux-mêmes ne sont pas persuadés qu'en dehors de la Choa, nous ayons encore d'autres arguments à opposer dans ce débat. Si certains pensent que le remède à cette situation - suicidaire à terme - consisterait à modifier durablement les programmes scolaires, à approcher les médias non religieux, à multiplier les conférences sur ce sujet, etc., d'autres font valablement remarquer que tant que les religieux seront marginalisés et démonisés, aucun progrès ne sera enregistré dans la connaissance de nos droits historiques sur cette terre chez ceux pour qui elle fait le plus défaut. Un publicitaire déclarait en privé : « Il faudrait faire un film qui ait l'impact des Dix Commandements. Ou transformer le 9 Av en une commémoration nationale : mais comment provoquer une adhésion de tous autour d'un jeûne complet de 25 heures ? Par contre, si on arrivait à démontrer que le monde et les affaires se porteraient beaucoup mieux avec le Temple que sans lui, alors, en réveillant l'intérêt des forces économiques, on pourrait peut-être espérer une modification de tendance. » Kountrass www.kountrass.com Drzz
rav Ron CHAYA
Guilad Shalit
Yonit MOZES
Yonit MOZES
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J’ai lu avec beaucoup d’attention votre article, plutôt votre plaidoirie ce qui me surprend est votre ignorance des sources théologiques et historiques.
L’islam symbolise encore aujourd’hui, jusqu’à la caricature le prototype d’un pouvoir théologico-politique. La violence invisible, sournoise et insidieuse de ce pouvoir politico-religieux freine tant qu’il le peut toute évolution de la société civile, lorsqu’il ne l’empêche pas par la peur ou le crime. Cette violence intériorisée lui permet de se perpétuer, malgré les avatars de l’histoire. C’est pourquoi, il est indispensable de lui opposer ses propres Ecritures saintes telles qu’elles sont prescrites dans le Livre saint du Coran « Incréé ».
Je vous donne ci-après quelques pistes, que tout gouvernement d’Israël, quelles que soient ses options politiques se doit d’appliquer, pour établir les DROITS REELS D’ISRAËL SUR LA TERRE DE CANAAN, face à l’Islam et au Christianisme, à savoir :
- Les sources théologiques de l’Islam et, de la Chrétienté dénient aux uns et aux autres de prétendre au territoire, ce que l’antiquité désigne sous le non de CANAAN, ce territoire d’après le Coran « Incréé » fut donné jadis par Allah aux enfants d’Israël.
- Voilà quelques ayats (versets) puisés aux sources de la révélation coranique :
La terre appartient au Seigneur, YHWH, Dieu ou Allah, celle de Canaan, Il l’a donné aux enfants d’Israël. (Judée-Samarie = Palestine). (Coran Se. La Table, V. 23-29)
Le Coran souligne et proclame face à l’Islam, que Dieu accorda la Terre Sainte aux Juifs (Cn. Voyage nocturne, XVII, 106)
Le Coran souligne l’Alliance conclue entre Dieu et Israël. (Cn. La Table V, 15)
Le Coran affirme que les promesses divines sont irrévocables. (Cn. Jonas, X. 56)
Le Coran affirme la véracité des prophéties reçues par Israël. (Cn. Joseph, XII, 111)
Le Coran, en plusieurs de ses versets (VI, 89-91 ; XX, IX, 27 ; XLV, 16 : LVII, 26, etc.) témoigne du dépôt divin du Livre, de la Thora, entre les mains des descendants et des successeurs d’Abraham, Isaac, Jacob/Israël, et Moïse particulièrement.
De plus pour couronner le tout : Le Messager d’Allah « Mohamed » signa avec les Juifs un pacte, texte déterminant – connu aujourd’hui sous le nom de « Sâhïfâ » ou « ‘ahd el-Médine » - convention, contrat social ou pacte – constitue l’ébauche d’une véritable constitution - Parmi les bénéficiaires des droits édictés par la constitution de Yathrib figurent les Juifs qui, pourtant n’ont pas embrassé l’Islam ni n’ont manifesté l’intention de le faire
- Quant au christianisme il partage avec ISRAËL les mêmes sources puisées dans la Thora (Bible) et la même espérance.
- Si le terme Palestine fut imposé par la défaite du soulèvement de Bar-Korbah en l’an 135 de notre ère par l’empereur Hadrien, pour faire oublier ce que celui qui fait trembler l’univers a donné aux enfants d’Israël.
- L’appellation de peuple palestinien fut inventée a
- Si le terme Palestine fut imposé par la défaite du soulèvement de Bar-Korbah en l’an 135 de notre ère par l’empereur Hadrien, pour faire oublier ce que celui qui fait trembler l’univers a donné aux enfants d’Israël.
- L’appellation de peuple palestinien fut inventée après la défaite subit, lors de la GUERRE DES SIX JOURS en juin 1967, par la coalition des cinq armées Arabo-islamiques (Egypte, Liban, Syrie, Irak, la Jordanie).
Vos débats seraient plus intéressants et surtout plus efficace s’ils pouvaient s’adosser sur des réalités passées ou présentes.
Ce qu’ISRAËL demande aux ARABO-MUSULMANS, qui se présentent comme ses COUSINS, c’est JUSTICE telle qu’elle est prescrite dans leurs ECRITURES SAINTES, c’est-à-dire le Coran « Incréé ».
Je me rallie à ce que le D.ieu d’Israël dit dans la Bible juive : Les versets, disent très clairement que Jérusalem n’appartient qu’à D.ieu et au peuple juif. L’importance de Jérusalem pour les juifs.
Si nous voulons discerner ce qui se passe aujourd’hui à Jérusalem, il faut plonger dans le passé. C’est, en effet sont passé qui expliquera son présent et le futur de cette ville unique. Jérusalem est le cœur spirituel de toute l’histoire juive. Elle appartient à Juifs et fut sa capital pendant 3000 ans. Le mont du temple au sommet du mont Morija, et le cœur même de Jérusalem. Antérieurement à son fils Salomon, le roi David avait déjà choisi Jérusalem comme capitale de la nation d’Israël ( 2 Samuel 5 : 6-10 La Bible en achetant lui-même le terrain où le temple allait être construit sur le mont Morijà ( 1 Chronique 21 : 18-21 : 1) Durant tout le temps de la dispersion de ce peuple, jusqu’à aujourd’hui cette ville et dans les pensées des juifs. La prière est : …si je t’oublie Jérusalem, que ma droite t’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais si je ne me souviens de toi, si je fais de Jérusalem le principal sujet de ma joie. Tiré du Psaume 137 ; 1à 6. Jérusalem n’est pas mentionné dans le coran et n’a jamais été le capital des musulmans. Entre la période final de l’Ancien Testament,
le temple qu'il a construit à Jérusalem confirmait bien la puissance d'Israêl. La seule histoire qui reste à refaire est celle des muzz, histoire qui n'a que 1500 ans et qui a repris dans le judéo-christianisme, certains préceptes qui les arrangeaient mais dont la doctrine n'a aucune substance et fait reculer le monde à grands pas ; mais peu importe, ça va leur passer ; pour ce qui est des palestiniens et de la publicité de victime qu'on leur fait aujourd'hui, c'est bien grace à leur muffti de jérusalem, condamné pour crime de guerre contre l'humanité avec les nazis d' hitler, qu'ils ont quitté les lieux où ils vivaient pendant la seconde guerre mondiale avant la création de l'Etat d'Israel, et ce, sur la demande de leur grand muffti qui leur avait laissé entendre qu'une semaine lui suffirait pour exterminer les juifs qui se trouvaient légalement en ce lieu, et qu'ensuite ils pourraient rentrer de nouveau chez eux ; -
am israel haye