Voici le témoignage et une photo montrant une des 6 brûlures de cigarette éteinte sur la jambe de Tael, juive francophone, libérée il y a 2 semaines.
Tael (pseudo) est une jeune fille francophone qui vit dans l'une des villes francophone les plus réputées d'Israël. Elle est issue d'un foyer modeste, et ses parents sont divorcés depuis 8 ans. Voulant tout simplement travailler pour aider sa maman, elle avait trouvé un job dans une usine de la zone industrielle de sa ville. (Par mesure de sécurité, nous ne pouvons inscrire le nom de la ville).
Le premier jour, elle appela sa mère : "Maman, il y a plein d'arabes dans cette usine " lui a-t-elle dit. Sa mère lui conseilla de rester à côté des Juifs.
Tael continue son récit : La première semaine, tout s'est bien passé, jusqu'à ce que Yossi (Youssouf) commence à me parler. Il n'avait pas d'accent et s'habillait comme un Juif. Il me faisait des compliments touts les jours : tu es belle, tu es une princesse, etc… Peu de temps après, il m'offrit des cadeaux : une bague avec un diamant, des bracelets en or, des parfums, des vêtements et beaucoup d'autres choses. Cela a duré 3 mois.
Un jour, il me proposa d'aller manger chez ses parents en disant : "j'ai une surprise pour toi ". J'ai accepté mais arrivée à l'entrée du village, près de Beer Sheva, je lui ai posé la question : "mais c'est un village arabe ?" "C'est cela, la surprise ! " m'a-t-il répondu. J'étais sous le choc.
J'ai insisté "tu es arabe ? "
"Oui et alors, on s'en fout. On s'aime " a-t-il répondu.
Je ne savais plus quoi dire et j'ai eu très peur.
Chez ses parents, il y avait une autre fille juive, la copine de son frère.
Pour dire la vérité, cela m'a mise en confiance et petit à petit, j'ai commencé à oublier qu'il était arabe. Il me respectait beaucoup.
Comme la nuit arrivait, il proposa qu'on dorme sur place et qu'on reparte le lendemain. J'étais en confiance grâce à l'autre fille juive et j'ai encore accepté. Il avait un petit appartement dans le jardin de ses parents.
Ce soir-là, youssouf commença à me toucher. Avant lui, je n'avais jamais dormi avec un homme. J'avais peur. Je lui ai dit que je n'étais pas prête à cela. Il m'a giflée. J'avais de plus en plus peur, tellement que je l'ai laissé faire. Pendant qu'il abusait de moi, je pleurais. Il m'a fait faire des choses qui me font me dégoûter de moi-même. Puis, il s'est endormi et j'ai continué à pleurer.
Le lendemain, il m'annonça qu'on allait rentrer. Je n'osais pas lui répondre. Il commença à m'embrasser en demandant pardon, en disant qu'il ne recommencerait plus. J'ai cru.
Arrivés en ville, il me déposa chez moi. Ma mère était tombée gravement malade. Elle m'a demandé où j'avais dormi, "chez ma copine " ai-je répondu mais elle m'a regardé d'un air méfiant. Je lui avais dit avoir rencontré quelqu'un sans préciser qu'il était arabe.
Pendant 3 mois, nous sortions tous les jours, il était dur mais j'avais peur de le quitter.
Un jour, nous sommes retournés dans son village, le village de l'enfer. Le soir même, il est sorti avec son frère et je suis resté seule avec la copine de son frère. Nous avons parlé pendant 2 heures. Elle m'a conseillé de le quitter mais elle avait peur de parler. J'avais l'impression qu'elle était jalouse, je ne sais pas pourquoi. Il rentra vers 1heure du matin avec son frère et a ouvert une bouteille de vodka et des canettes de Red bull. Il voulait me forcer à boire mais comme je refusais, il s'est levé pour me gifler. De peur, j'ai bu.
Environ 30 minutes plus tard, il me demanda d'aller dans la chambre. Je sentais qu'il se passerait quelque chose. Il entra dans la chambre et commença à m'embrasser, me toucher, me disant je t'aime mais je n'aime pas que l'on me refuse quoi que ce soit. Après quelques minutes, il appela son frère. Alors que je me levais pour sortir, il me frappa, il alluma une cigarette et me brûla la jambe 6 fois d'affilé en me disant : " tu vas mourir ! ". Je ne pouvais rien faire que me laisser faire. Je suis restée au village pendant 2 semaines. Ma mère me croyait à Eilat.
Tous les soirs, c'était de pire en pire. Un matin, il m'annonça que nous devions rentrer. Je n'osais plus parler. En route, il me prévint qu'à la moindre faute je ne reverrai plus ma mère.
Lorsque je suis rentrée, ma mère remarqua mon trouble. Elle me demanda " Raconte moi quelque chose ". De peur, je ne pouvais ni ne voulais parler et durant 3 jours, je n'ai rien pu manger.
Youssouf revint me chercher pour me ramener dans le village de l'enfer. Mais à mon insu, ma sœur est entrée sur mon compte Facebook. Elle a prévenu ma mère, lui faisant remarquer que j'avais des amis arabes. C'est à ce moment-là que ma mère a contacté le responsable du département francophone de l'Association Hemla
B. H, aujourd'hui, je suis au foyer, et je remercie l'équipe de Hemla de m'avoir sauvé la vie.
(Martine Sroussi)
Les victimes des viols collectifs ont été doublement victimisées. Par les auteurs des crimes qui se sont posés comme étant victimes d'islamophobie, et par une justice aveuglée par la rectitude politique qui se refusait à admettre que le viol d'australiennes blanches puisse être motivé par la haine raciale.
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/471-histoire-dune-serie-de-viols-collectifs-racistes-en-australie-un-procs-de-la-bien-pensance.php
http://www.pointdebasculecanada.ca/breve/909-france--invitee-au-maroc-par-une-copine-de-lycee-elle-y-est-sequestree-pour-un-mariage-force.php
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/351-sequestree-en-arabie-saoudite-par-son-mari-violent-une-quebecoise-veut-rentrer.php
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/248-des-marocains-se-font-parrainer-par-des-amerindiennes-rencontrees-sur-internet.php
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/213-islamistes-en-grand-nombre-prts-la-violence-enqute-sur-les-marocains-de-bruxelles.php
Les hommes qui séquestrent les jeunes filles juives et leurs font subir des sévices rendent-ils des comptes à la justice israélienne ?
En mars, un juge de Francfort a refusé à une femme musulmane sa demande de procédure accélérée de divorce. La femme disait que son mari la battait, mais le juge a statué que le Coran sanctionne de telles violences physiques.
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/220-enfants-vendus-aux-enchres-en-gypte-8211-les-arabes-achtent.php
À la saison touristique, des milliers d’Arabes viennent passer leurs vacances en Égypte et en profitent pour consommer un mariage temporaire islamique. Puis ils disparaissent dans la nature, laissant derrière eux le fruit de quelques nuits d’amour et une femme désemparée ne sachant quoi faire de cet enfant, qu’elle finit par vendre au plus offrant.
Avec l’institution des mariages temporaires (chiites) ou sans obligations (sunnites), du coup le tourisme sexuel islamiquement correct (halal) devient possible et il connaît une vogue grandissante. Malheureusement il ne tombe pas sous le coup de la loi puisqu’il s’agit de mariage légal en bonne et due forme respectant en tous points la charia.
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/1289-rayhana-la-suite-avec-lacide-au-visage-et-la-burqa-en-plus.php
Rayhana, 45 ans, marchait mardi soir dans le quartier de Belleville, quand deux hommes l'ont interpellée, la traitant de «putain» et de «mécréante». «Je me dépêchais -je suis souvent en retard- je ne regardais pas autour de moi car je marchais tête baissée», raconte la comédienne qui dit ne pas avoir eu le temps de visionner leurs visages. «Tu crois qu'on ne sait pas qui tu es ?», lui ont-ils demandé avant d'ajouter : «On t'a prévenu.» La quadragénaire a accéléré le pas, quand, soudain, elle a senti qu'on l'«attrapait par derrière». «J'ai reçu une giclée sur le visage. J'étais aveuglée. J'ai reconnu à l'odeur que c'était de l'essence.» Mais à peine a-t-elle eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait qu'elle a reçu «une braise rouge, un bout de cigarette» au niveau de son bonnet. Elle s'est alors mise à courir.
http://www.pointdebasculecanada.ca/article/284-les-dons-saoudiens-aux-universites-occidentales-financent-l8217islam-radical-haineux-8211-l8217exemple-de-l8217universite-georgetown-us.php
Un article à faire dresser les cheveux sur la tête qui explore les liens entre le financement saoudien de Centres universitaires voués au dialogue interreligieux, et le rôle de conseiller pédagogique que jouent ces Centres dans la définition du curriculum d’écoles publiques, la formation des enseignants, la production de matériel pédagogique et la conception d'ateliers de «sensibilisation». Ou comment se dissémine l’islam radical haineux pendant que le gouvernement dort au volant.
Cet article analyse le cas de l'Université Georgetown dont le Center for Muslim-Christian Understanding a bénéficié d'une généreuse dotation du prince saoudien Alwaleed bin Talal. Il ne faut pas penser que nos universités canadiennes, et leurs chaires de recherche sur le Moyen-Orient, sont à l'abri de telles influences.
A lire, ainsi que les liens qui suivent l’article…
Qu'attendent les dirigeants pour réagir? Israel est un pays juif, il faut chasser tous les arabes y compris israéliens, y compris les députés arabes.
Israel ne pourrait il pas être un état démocratique uniquement composés de Juif? et n'en déplaisent à ces salops de 'shalom archav' et aux non moins pourris de pseudo intello de gauche qui ne méritent plus d'appartenir à notre communauté