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Politique IsraëlNetanyahou : "les habitants des implantations sont nos frères"Le premier ministre transmet un message de réconciliation aux résidents de Judée Samarie, disant que « les constructions reprendront dans 10 mois même si Abbas annonce la paix maintenant. » Le ministre Braverman appelle à un gel permanent dans certaines régions, « qui seront données aux palestiniens. »
S’exprimant à une réunion des ministres du Likoud, Netanyahou a appelé tous les ministres, tous les membres de la Knesset et tous les responsables des implantations à agir conformément aux décisions du gouvernement et de se conformer à la loi, précisant que la décision de geler les constructions est temporaire et ne dépend pas des progrès diplomatiques.
« Même si Abou Mazen (le président palestinien Mahmoud Abbas) vient dans huit mois en disant « la paix maintenant, » nous recommencerons à construire comme nous l’avons fait par le passé. La décision du cabinet est limitée dans le temps, » a déclaré le premier ministre.
Le ministre de la protection de l’environnement, Guilad Erdan, a lui aussi essayé de calmer l’atmosphère dans les implantations. « Le premier ministre a déclaré sans équivoque qu’il reste 9 mois et 20 jours jusqu'à la fin de la suspension temporaire, et cela ne dépend d’aucun autre élément, y compris de ce qu’Abbas peut faire ou dire, » a-t-il dit.
Netanyahou a répété ses remarques au début de la réunion du cabinet ministériel, « je tiens à préciser que la suspension est pour un temps limité et pas plus, » a-t-il dit. « Il s’agit d’une décision unique et temporaire et non d’une décision interminable et inconditionnelle. »
Le premier ministre a également abordé les refus d’Erdan et du ministre de l’intérieur Eli Yishai de nommer des inspecteurs pour appliquer le gel des constructions, tout comme les actes de protestations de certains députés et de dirigeants des implantations.
« Nous devons travailler ensemble, » dit-il. « Notre unité interne est la chose la plus importante. J’attends la coopération des ministres pour exécuter les décisions et de les adopter de la manière la plus simple afin de maintenir la loi et l’ordre. »
Netanyahou appelle les habitants des implantations à la retenue, indiquant que ce geste aidera Israël sur la scène internationale.
« Cette décision n’est certainement pas facile pour les chefs des communautés de Judée Samarie et pour nous, » a-t-il déclaré. « Ce sont des parties de notre Terre, et ce sont nos frères – ils font partie de nous et nous faisons partie d’eux. »
« La décision découle des intérêts de l’état d’Israël. Aujourd’hui il est clair de savoir qui veut la paix et qui la refuse. L’état d’Israël souhaite la paix. »
Le premier ministre a précisé que malgré l’application stricte de la décision mise en œuvre, les constructions qui ont déjà commencé dans les territoires continueront et ce sans limite.
Mais pas tous les membres du gouvernement cherchent à transmettre des messages de calme aux habitants de Judée Samarie. Le ministre pour les affaires des minorités, Avishay Braverman, a appelé à un gel permanent de certaines régions, jusqu'à ce qu’Israël s’en retire.
« La décision du cabinet doit être appliquée en dépit de la résistance, » dit Braverman. « Les habitants de Judée Samarie doivent comprendre que 75% d’entre eux devront vivre dans les blocs d’implantations, tandis que le gel doit se poursuivre dans les zones restantes, vu qu’elles seront finalement données aux palestiniens. »
Le ministre Yishai dit pour sa part que les pressions américaines qui ont conduit au gel contredisent les accords antérieurs entre Washington et Jérusalem.
« Tout le monde voit bien qu’il s’agit d’un véritable, difficile et pénible gel. L’ancien premier ministre Ehoud Olmert et l’ancien président américain George Bush déclaraient que les constructions dans les blocs d’implantations devaient continuer. Par conséquent la décision du premier ministre de mettre en œuvre un gel est extrêmement douloureuse, mais cette pression est uniquement temporaire. » Articles connexes
247 commentaires
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Ils donneraient le Pays entier pour ce Monde devenu fou et près
à ce débarasser une fois de plus du Peuple JUIF .
C'est innacceptable ,c'est trahire son propre PEUPLE .
Vous devriez redescendre sur terre, et observer comment le "grand brun" se comporte différemment suivant ses interlocuteurs. (D'ailleurs, on ne juge une personne que d'après ses actes et ses gestes, pas seulement d'après ses discours, surtout ceux, fallacieux, d'obamarabe).
Aves le monde arabo/muzz: obama baise les pans de gandoura des représentants d'arabie saoudite,en signe de soumission, prononce des discours au caire extrêmement virulents et propres à attiser encore + la haine contre Israêl, téléphone à abbas (ex abou-mazen, terroriste notoire) le 1er jour de son élection, etc...
- avec Israêl: ce même grand brun, d"'origine kenyane" reçoit Bibi avec une "décontraction" frisant l'insolence: ses 2 pieds sur son bureau, sous le nez de Bibi, et le regardant avec condescendance - cette image honteuse a été diffusée partout dans le monde, pour m!ieux discréditer Israel et son représentant- ; ses exigences éhontées et unilatérales à l'égard d'Israêl, et "pommade" pour les palos et leurs représentants et com-plices, etc.. etc...
Alors, le 2 poids, 2 mesures dont Israêl fait les frais depuis trop longtemps, "ras-le-bol"....et ceux qui croient encore au "père noêl", même si c'est la saison, à d'autres..
AM ISRAEL HAY
le PEUPLE JUIF doit baisser "son pantalon" devant l'ennemi ( qui est coriace, car cela fait fait tout de même près de 3000 ans qu'il nous harcèle et souhaite notre disparition)
"COMPOSER AVEC", me rappelle une bien triste période en France, Vichy....
Sans vouloir vous offenser, ou vous avez la mémoire courte ou vous porter des oeillères......ce qui ne laisse présager rien de bon pour AM ISRAEL. Shalom à vous.
Présidée par John Kerry, rival démocrate de George W. Bush aux
présidentielles de novembre 2004, la commission des Affaires
étrangères, l'une des plus puissantes du Sénat vient de publier un rapport d'enquête au titre sans appel : « Tora Bora revisité, comment nous avons échoué à capturer Ben Laden et pourquoi cela compte aujourd'hui. »
La commission s'y livre à une étude minutieuse des raisons pour lesquelles le chef d'Al-Qaida, encerclé dans le massif afghan de Tora Bora, trois mois après le 11-Septembre, a pu échapper aux forces américaines et se replier vers le Pakistan voisin, dans ces zones tribales où il est sans doute toujours réfugié.
L'exercice n'est donc pas qu'historique, il vaut procès de la conduite des opérations militaires par l'administration Bush et le verdict est effectivement sévère :
« Notre incapacité à terminer le travail (“finish the job”) à la fin de 2001 a contribué à un conflit qui menace aujourd'hui, non seulement nos troupes et celles de nos alliés, mais la stabilité d'une région volatile et vitale. »
Reprenons d'abord la chronologie, qui correspond à la cinquième de mes « neuf vies d'Al-Qaida » :
Ben Laden planifie les attentats du 11-Septembre à New York et Washington pour provoquer une intervention américaine sur le territoire de l'Afghanistan taliban, dans l'espoir que les Etats-Unis s'y enliseront aussi fatalement que la défunte Union soviétique.
Au lendemain des attentats, le chef d'Al-Qaida enregistre sa plus fameuse intervention télévisée, depuis une grotte afghane, et la cassette est remise à la chaîne Al-Jazira, au Qatar, pour être diffusée dès le début de l'offensive américaine en Afghanistan. C'est chose faite le 7 octobre 2001 et Ben Laden mise, à tort, sur une résistance durable de ses alliés talibans.
Le 8 novembre, il se trouve encore à Kaboul, mais l'effondrement des lignes talibanes l'amène à fuir vers l'Est et la frontière pakistanaise, accompagné de quelques centaines d'inconditionnels, majoritairement arabes. Il se réfugie dans les montagnes de Tora Bora, qui furent son sanctuaire lors de la guérilla antisoviétique, puis à son retour en Afghanistan en 1996.
Le rapport Kerry reproduit en annexe un document déclassifié des Forces spéciales, qui confirme la présence de Ben Laden à Tora Bora, entre le 9 et le 14 décembre 2001. Soumis à des bombardements d'une puissance dévastatrice (une bombe de plusieurs tonnes est même larguée, secouant le massif sur des kilomètres), les combattants d'Al-Qaida subissent de lourdes pertes et leur chef rédige même son testament.
Mais seule une centaine de commandos américains est déployée au sol et le sort d'Al-Qaida est remis entre les mains des milices afghanes alliées des Etats-Unis (curieusement, le rapport Kerry mentionne deux de ses chefs miliciens, à la loyauté déjà discutable, sans signaler que le troisième était… le fils du gouverneur qui avait accueilli Ben Laden dans la région en 1996 ! ).
Fiasco : le siège de Tora Bora demeure inabouti et Ben Laden s'échappe
Les demandes de renforts, exprimées avec insistance par la CIA et les commandos Delta, sont rejetées par la hiérarchie militaire, alors que le millier de soldats, nécessaires pour boucler la frontière et ratisser le secteur, étaient disponibles à proximité de la zone (mille à deux mille autres soldats pouvaient sans obstacle majeur rejoindre le théâtre). Le siège de Tora Bora demeure inabouti et Ben Laden parvient à s'échapper, sans doute le 16 décembre.
Le Sénat américain met très directement en cause dans ce fiasco le double aveuglement stratégique et idéologique de l'administration Bush. Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense, promeut alors avec constance un concept opérationnel à fort impact technologique et faible engagement terrestre, et il refuse d'aggraver le bilan somme toute limité d'une trentaine de soldats américains tués en deux mois de campagne en Afghanistan.
Surtout, l'administration américaine est engagée depuis le 11-Septembre dans une « guerre globale contre la terreur », où Al-Qaida est noyée dans un objectif d'ambition bien plus vaste, avec l'Irak de Saddam Hussein en ligne de mire.
Des accusations graves avant l'annonce par Obama de ses décisions sur l'Afghanistan
Le rapport Kerry considère que l'échec de décembre 2001 a plongé l'Afghanistan dans les huit années écoulées de conflit, où 950 militaires américains et près de 600 soldats alliés ont trouvé la mort. Le coût pour le contribuable US est évalué à 243 milliards de dollars, auxquels s'ajoutent environ 70 milliards pour l'année fiscale en cours. Pire, deux attentats inspirés par Al-Qaida ont, selon le FBI, été déjoués ces derniers mois sur le territoire des Etats-Unis.
La commission Kerry, composée de sénateurs démocrates et républicains, publie ces accusations particulièrement graves, à la veille de l'annonce par le président Obama de ses décisions sur le conflit afghan. Le chef de l'Etat martèle, en contraste évident avec son prédécesseur, sa détermination à « finir le travail » et à neutraliser définitivement Al-Qaida.
La revanche de Tora Bora se joue aujourd'hui dans les zones tribales pakistanaises et, du sort de cette nouvelle bataille, dépend la capacité de l'administration démocrate à tourner la sombre page du 11-Septembre
Je n'est rien à rajouter pour ma part à votre commentaire .
Simplement tous les JUIFS du Monde doivent ètre unanimes
et solidairent.
Elie de Lyon
Votre commentaire est complètement nul .
ouvrez les yeux notre Peuple est en danger.
Elie de lyon
A propos d'Obama avec les pieds sur le bureau, j'avais compris qu'il discutait avec Natanyaou au téléphone. Vous dites qu'il était en face de lui ?????? mais c'est énoooooooooooorme ca. Vous dites qu'il y a des photos ?? où peut on les trouver ?
Merci