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Politique IsraëlLe ministère de l'Intérieur devra expliquer son refus d'accorder la citoyenneté à une convertieLa Haute cour de justice a ordonné au ministère de l'Intérieur d'expliquer d'ici trois mois son refus d'enregistrer une convertie au judaïsme comme citoyenne israélienne. La femme en question, d'origine tchèque a été convertie selon la loi juive en Israël et depuis quatre ans le ministère de l'Intérieur refuse de lui donner la citoyenneté israélienne, sans laquelle elle risque l'expulsion vers son pays natal. 33 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 2 minutes
Pour apprécier si cette femme trouve un avantage à devenir israélienne, li faudrait savoir d'où elle est originaire.
Il existe beaucoup de raisons (boones ou mauvaises) de songer à devenir israélien, nius ignorons quelles sont les siennes.
Il me semble que dans l' histoire du peuple juif, il y a eu quelques conversions célèbres qui ne souffrent aujourd'hui aucune remise en question.
Il me semble aussi que certains rabbins s' arrogent des droits qui n'ont d'autre justification que leur propre décision. Personnellement, ce n'est pas mon approche de l'éthique juive dont je pense que la première qualité est la reconnaissance de l'Autre.
Szivélyes üdvözlet
YYM
Il existe des juifs orthodoxes qui combattent leur peuple comme les Netoure Karta, et des athées qui le défendent.
Or que faire de celui qui n'a pas de religion et se comporte en membre responsable du peuple juif ? doit-on lui refuser la nationalité par ce qu'il ne respecte pas le shabat ?
Ne doit-on admettre comme citoyen israélien que ceux qui sont agrée par les 'haredim ?
Il serait temps de la citoyenneté soit accordée par la République et non par des Rabbins à ceux qui se comportent en bons citoyens.
Je voudrais faire deux remarques. La première est que, mine de rien; comme Michel_003 a accoutumé de le faire, il y a déformation de la vérité par glissement et amalgame. De ce que la rabbanout a la haute main sur les naturalisations, il ne s'ensuit pas que celles-ci soient sous le contrôle des 'harédim - sauf à insinuer ( et c'est bien le sens réel de ce que fait Michel ) que tous les rabbins sont ' harédim.
La seconde est que l'opposition que pose Michel - là encore : mine de rien ... - entre République et rabbins est, sous couleur d'induire un raisonnement analogique relevant du gros bon sens démocratique ( du genre : " c'est vrai, tout de même : l'attribution de la " citoyenneté " est une question qui doit relever de l'autorité politique " ... ), Michel défend une position qui, si, par malheur, elle devait être suivie, conduirait à dissocier la notion de citoyenneté israélienne de la définition de l'Etat d'Israël comme Etat juif ( caractérisation qui n'implique pas absolument que des minorités non-juives ne puissent - comme c'est d'ailleurs le cas - bénéficier de cette citoyenneté ). Si l'Etat d'Israël ne se définit pas comme l'Etat des Juifs, alors qu'est-ce qu'il est ? S'il n'est pas " L'Etat des Juifs " ( " Der Judenstaat " , l'expression est de Theodor Herzl lui-même ) , alors il n'est qu'un Etat parmi d'autres, qu'un Etat comme
Même un laïque bon teint, et qui se proclamait " spinoziste " , comme David Ben Gourion ont senti et compris qu'ils devaient pas, qu'ils ne pouvaient pas rompre ce lien fondamental - au sens propre de ce mot - entre judaïsme et Etat d'Israël ( qu'on relise la " Déclaration d'Indépendance " ).
Et, s'il s'agit de définir l'Etat comme Etat des Juifs, il faut bien que le terme de " Juif " soit lui-même défini. Et comment ce faire, si ce n'est par référence au fondement, à la tradition religieuse juive ? Il y a là une nécessité logique ( qui est aussi, bien entendu, une nécessité politique, morale et spirituelle ). Bien sûr, on peut estimer que la position actuelle du rabbinat, en matière de nationalité comme en matière de conversion, est trop rigide. Mais cette appréciation ne vaut en aucun cas approbation de ce qui pourrait aboutir à la dissolution dans un vague " républicanisme " du caractère juif de l'Etat. Rompre ( à D. ne plaise ! ) le lien entre judaïsme et Etat d'Israël, c'est ouvrir les vannes à la submersion de l'Etat par des éléments non-juifs : que des gauchistes y consentent d'avance ( sans toutefois oser l'avouer clairement ... ), n'a rien d'étonnant. Mais ce serait une irresponsabilité criminelle que de prêter l'oreille à ce discours captieux.
Cette femmeset d'origine de la Republique Tcheque,ce qui est a partir de 2004 est membre de l'union europeen!!
la il est aucun problem d'ètre juive aujordhui!!!