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Politique IsraëlLikoud : "les 'haredim pourraient être exclus"Si le premier ministre Benyamin Netanyahou ne parvient pas à former un gouvernement et se retrouve sans autre choix que de céder aux exigences de Yair Lapid et Naftali Bennett, il préférera Bayit Yéhoudi et Yesh Atid comme membres de la coalition plutôt que les partis ultra-orthodoxes, a déclaré ce dimanche une source haute placée du Likoud. Alors que Netanyahou a pu dire au début des négociations qu'il n'avait pas l'intention d'exclure les 'haredim de la coalition, en cas de continuation des complications politiques, et peu importe si les 'haredim signent un accord de coalition, ils pourraient se trouver mis à l'écart. "Si Netanyahou sent qu'il est acculé dans un coin et risque de perdre la chance de former un gouvernement, il ne réfléchira pas à deux fois en laissant les 'haredim hors de la coalition," a dit la source. Le délai initial de Netanyahou pour la formation d'un gouvernement viendra à expiration à la fin de la semaine. Selon la loi électorale d'Israël, il peut alors demander au président Shimon Pères une prolongation de deux semaines. Si, après ces deux semaines, il échoue à nouveau, des élections générales seront à nouveau appelées. Des sources au sein du Likoud Beitenou ont critiqué la décision du premier ministre de favoriser les 'haredim depuis le début. Ils affirment que Netanyahou "a initialement voulu laisser Bennett en dehors en raison de considérations personnelles, d'autant plus qu'il était certain que Lapid était dans sa poche, donc il s'est rapidement consacré aux 'haredim." "Le public voulait un certain gouvernement lors de ces élections, et Netanyahou veut le forcer à accepter un gouvernement du passé." Même ainsi, une source au sein de l'équipe de négociation du Likoud Beitenou a revendiqué samedi, après une rencontre avec Bayit Yéhoudi, que l'écart entre les deux partis n'est pas aussi grand que les déclarations de Bennett et de son équipe le laissent entendre. Articles connexes
56 commentaires
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Qui dis mieux ??......
Sa vraie place serait a doha,dans le somptueux palais édifié .... a nos frais !
Je ne pense pas que ,cette femme terminera le mandat.
La capacité de Livni à trouver un accord de paix avec l'autorité palestinienne sera également entravée par l'insistance de Netanyahou que tout accord doit être voté et approuvé à la fois par la Knesset et le cabinet ministériel. "
Je crois qu'il faut faire attention et bien regarder l'accord conclu avant de se livrer, comme le fait Johanan ci-dessus, à des comparaisons qui paraissent outrées.
Mme Tzipi Livni dispose ( d'ailleurs, jusqu'à quel point peut-on dire qu'elle en dispose ? Et jusqu'où serait-elle suivie si, 'has veshalom, elle choisissait la voie de la trahison ? ) de sept sièges plus le sien sur120 MK. Est-ce que ça lui donne le pouvoir d'imposer sa politique en matière de relations avec les Arabes ? - On peut en douter.
" Bibi " pourrait-il faire aux Israéliens le coup fait aux Pieds-Noirs par la Grande Zohra ? ... - Si l'on examine les quatre années précédentes, il faut bien convenir que, si l'on met à part les discours ( celui de l'Université Bar Ilan, par exemple, dans lequel Bibi se positionnait sur les positions qui ont été, après tout, celles de tous les gouvernements israéliens depuis les funestes accords d'Oslo ), il n'a, dans les faits, dans la pratique, cédé sur rien d'essentiel, je l'ai très souvent dit ici : ni sur le Golan, ni sur les prétendues " frontières " de 1967 ; ni, malgré le moratoire, sur le principe du droit, pour les Juifs, de construire dans leur pays ; ni sur le soi-disant " retour " des soi-disants " réfugiés " ; ni sur la partition de Jérusalem.
Je ne crois pas qu'il ait quelque raison de céder sur ces points dans les quatre années qui commencent. D'autant que, contrairement à ce que l'on croit fréquemment, l'administration Obama est beaucoup moins qu'en 2009 en situation d'exercer des pressions sur Israël. J'ai dit aussi, ici, à plusieurs reprises, pour quelles raisons selon moi, la principale étant, je crois, que la politique proche et moyen-orientale de Baraq 'Hussein Obama est, pour l'essentiel, en échec : l'Iran marche à pas redoublés vers l'arme nucléaire et ne fait cas des perches que ne cesse de lui tendre Washington que pour gagner des délais supplémentaires. L'élection présidentielle de juin en Iran changera-t-elle cette donne ? - Il y a lieu