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Politique Israël«L'inquiétude concernant l'Iran et l'iranophobie est un mensonge et une conspiration»Le Président iranien a réagi aux allégations du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui avait affirmé que le programme nucléaire iranien avait une composante secrète malgré les contrôles de AIEA. Selon Hassan Rohani, il s'agit d'«un complot de propagande contre la nation iranienne».
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Dernière mise à jour, il y a 3 minutes
il est clair qu ' ISRAËL a intérêt d ' attaquer l ' ran en syrie ..autrement dit empêcher l ' iran de grossir ses bases miltaires en syrie , de neutraliser les 80.000 combattants installés en syrie , détruire l ' éventuel usine de fabrication de missiles à ogives nucléaires , dértruire toute tentative de l 'iran de construire des bases aériennes en syrie...et surtout détruire les convois d ' armements et de matériaux de construction venant d 'iran en travesant l 'irak , la jordanie pour arriver en syrie , sans oublier les gros porteurs de matériel de guerre , pour grossir son arsenal en armes sophystiquées , en attendant de trouver une solution pour que l ' iranne cherche pas à s ' implanter pour une longue période en syrie , représentant un danger pour ISRAËL qui se dit inquiet des préparatifs militaires de l ' iran en syrie !
il faut à tout prix empêcher l ' iran d ' avoir la capacité d ' attaquer ISRAËL à partir de la syrie
déloger l ' iran de la syrie est la seule solution pour ISRAËL
comment va se terminer la rencontre à moscou de B i B i avec Poutine ce 9 mai ?
La question de la mainmise iranienne sur la Syrie est autre chose. Il y a là un risque très réel et les avertissements israéliens à M. Bachar El-Assad et à la Russie se multiplient à une cadence accélérée depuis trois jours. Là en tout cas est l'enjeu essentiel de la rencontre à Moscou, dans 48 heures, entre M. Benyamin Netanyahou et M. Vladimir Poutine.
dépassent largement ces deux points. La question est donc, pour la Russie, de avoir si elle préfère l'aventure à la remorque de l'Iran - avec le risque de perdre ce qu'elle tient ( le lien avec le clan Assad et les bases ) - ou bien négocier avec les Etats-Unis une sorte de gentlemen's agreement lui garantissant l'essentiel de ce à quoi elle tient, moyennant le lâchage de l'Iran, ou, en tout cas, le refus de fournir à l'Iran les garanties et les moyens militaires de poursuivre ses propres buts ( la satellisation de la Syrie ). Avoir les yeux plus gros que le ventre est toujours risqué, et, pour ma part, je ne crois pas que M. Vladimir Poutine soit un aventurier risque-tout. D'autre part, il n'est pas lié à l'Iran, ni même à la Syrie par des liens aussi formalisés et aussi contraignants que ceux qui régissaient les systèmes d'alliance ( Triplice etTriple Entente) en 1914. - Je voudrais compléter ce raisonnement par la remarque que, jusqu'ici, la Russie n'a pas semblé réagir très fortement aux opérations qui ont eu lieu contre des bases iraniennes en Syrie. Bien sûr, elle " menace " de fournir à la Syrie, voire à l'Iran, des systèmes S-300 et S-400. Mais il s'agit peut-être de menaces en quelque sorte " rhétoriques " , comme, toutes choses égales d'ailleurs, celles que vient de formuler M.Yuval Steinitz ( liquider M. Bachar El-Assad ) : on montre ses muscles à la veille d'une négociation dont on sait, de part et d'autre, qu'elle risque d'être très serrée.
Maintenant, évidemment, rien ne garantit que le régime de Téhéran ne soit pas, lui, tenté de jouer le tout pour le tout : aller à la confrontation globale directe, militaire, avec Israël. Mais alors qu'il pourrait être très tenté de prendre le risque s'il se savait certain de l'appui russe, il sera sans doute plus circonspect s'il sait ne pas pouvoir compter sur cet appui. Demain mercredi 9 : rencontre Netanyahou - Poutine ; mardi 15 : déclaration de M. Donald Trump sur l'accord de juillet 2015 avec l'Iran à propos du nucléaire : d'ici une semaine, le paysage sera sorti du brouillard.
Je vous ai convaincus n'est-ce pas ?
-Pas du tout ! c'est vous qui êtes à enfermer !
1/ - Où avez-vous trouvé qu'il y ait une supériorité militaire russe ? - En quoi ? Sur quels terrains ? Par rapport à qui ? ...
2/ - Assad va sauter ? - Ce n'est pas si sûr. Qui imposerait qu'il sautât ? - Les Israéliens ? - Ils n'en ont rien à fiche du moment que M. Bachar El-Assad ne se fait pas le pion docile de l'Iran. Les Américains, alors ? - Mais la perspective américaine n'est plus celle de 2011-2012, quand les brzezinskiens dominaient le Département d'Etat et lançaient les " printemps arabes " .