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Israël : infos SociétéA Jérusalem, un jeune homme de 20 ans a été grièvement blessé à la tête au cours de la manifestation contre l'ouverture du parking Karta pendant chabbat.Par ailleurs, vingt-trois manifestants ont été arrêtés et quatre policiers légèrement blessés. Articles connexes
57 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 45 minutes
Je vous encourage vivement , suite à votre prétentieuse correspondance et à vos manières de donneur de leçons,d’indiquer ce qu’est le christianisme, le bouddhisme, le protestantisme et l’islamisme.
Bon courage cher monsieur .En tout cas, je peux résumer sans fausse modestie,que chacune de ces religions défend les mêmes valeurs et tient le même discours.
Un peuple n’est pas forcément attaché à une religion . On peut être français,anglais,américain ,chinois etc…,appartenir à un peuple,avoir une culture, une langue,sans partager les mêmes valeurs spirituelles ou religieuses.
Les juifs demeurant en Israël aujourd’hui ,ont un état,une culture ,une langue et sont comme tous les habitants des autres pays du monde ,rien de plus et rien de moins.
Si vous vous estimez investis personnellement d’une quelconque mission,précisez moi laquelle je serai bien curieux d’en rire .
Vous devez probablement faire parti de ces ultras orthodoxes pour prendre avec autant d’ardeur leur défense.
Bien le bonjour chez vous
votre approche du Judaisme et des religions m'étonne
les Juifs un peuple comme les autres ?
reprenons la signification du substantif Juif
il vient du grec Judaeos qui désigne :
1. les habitants de la Judée ou les Judéens.
2. les personnes issues des tribus d'Israel installées ailleurs qu'en Judée et parfois ne parlant plus l'hébreu mais l'araméen, le grec, le chaldéen, le copte, etc... mais sont Juifs parce que vivant selon les moeurs et rites de la religion juive.
3.les personnes issues de toutes nations ayant décidé d'embrasser la religion juive.
Donc la judaité est multiple :
à la fois
1 nationale et internationale
2 civile et religieuse
3.particulariste et universelle.
Si vous pouviez me donner l'exemple d'un autre peuple pouvant être définis par les mêmes critères je vous saurai gré de me le faire savoir
Si les Juifs sont un peuple comme les autres ils le sont comment ?
a)en tant que communauté religieuse, culturelle ?
b)en tant que communauté ethnique (alors que faites vous de tous les descendant des différents convetis depuis Ruth la Moabite jusqu'au Léemba d'Afrique du Sud) ?
c)en tant que communauté nationale alors faudrait-il considérer les Juifs de la Diaspora comme des expatriés d'Israël ?
Si vous pouviez me sortir des arguments autres que ceux pêchés dans une sale d'attente de dentiste.
Je vous conseille la lecture du "dictionnaire amoureux du Judaisme" de J.Attali, ça vous décrassera les méninges
votre connaissance des religions semble relever de "ouïe dire" comme le disait Spinoza ( Baruch de son prénom). je vous cite "chacune de ces religions défend les mêmes valeurs et tient le même discours"
je vais vous prendre un exemple.
en Islam l'homme a été créé pour adorer D.ieu, la foi est fondamentale et quiconque depuis la venue de Mohammed mécroit sera condamné aux enfers. hors de l'Islam pas de salut quelle que soient les mérites de la personne. Lisez le Coran ou un manuel de théologie musulmane.
Dans le judaisme, ce sont les anges qui ont été créés pour adorer D.ieu, l'homme est créé le 7° jour pour achever le monde, continuer le projet divin, D;ieu l'associe à un achèvement et lui demande aussi de s'humaniser. ce qui compte ce n'est pas la foi mais les oeuvres : Générosité, Compassion, Pardon, faire oeuvre de paix, etc...
la Gloire de D;ieu c'est l'homme debout face à D;ieu et non un esclave prosterné.
Dans le judaisme le salut est offert à tout homme observant les lois confiées à Noé. Quiconque observe l'éthique de Noé et un Juste, c'est pour cela que le judaisme posséde des saints issus de toutes nations et religions.
Est-ce le meme discours ?
Sont-ce les mêmes valeurs ?
voilà première leçon,
que je me ferai un plaisir de développer face à vos interrogations.
j'ai un catalogue de 1000 pages à votre disposition
méditez la phrase de Wittgenstein : "ce qu'on ignore on le tait"
chalom quand même
enfin je ne suis nullement un ultra orthodoxe (lisez mon post à ce sujet)
ne me sens nullement investi d'une quelconque mission
simplement un petit français de confession juive
qui réfléchit à son judaisme
et l'incarne vaille que vaille avec ses faiblesses....
je ne pourrai hélas pas vous faire rire
j'aimerai que vous puissiez m'expliquer (si vous êtes Juif)
comment peut-on être Juif sans au minimum adhérer à la culture juive ?
culture très diverse, car notre force c'est la capacité que nous avons pu montrer à assimiler toutes les cultures des pays où nous vivions....
Par exemple vous pouvez être athée, voire marxiste comme Ernst Bloch, et pourtant toute son oeuvre est marquée par l'Espérance juive !
vous pouvez être un philosophe deiste comme Hüsserl et pourtant dont l'oeuvre phénoménologique est marquée par les fines investigations talmudiques....
être un écrivain comme Kafka ou un cinéaste comme Woody Allen dont les oeuvres sont traversées par l'humour juif
etc....
un Juif sans identité juive excusez moi mais cela m'échappe un peu
"could you elaborate ?"
chalom
par Me B. RAMAS-MUHLBACH
Lors de sa rencontre avec le Président Français Sarkozy du 24 juin 2009, le Premier Ministre Netanyahu a de nouveau évoqué les deux conditions préalables à la création d'un Etat palestinien, à savoir la reconnaissance du caractère juif de l'Etat d'Israël et l'absence de militarisation du futur Etat palestinien.
La première de ces exigences a immédiatement déclenché la réaction du député arabe israélien Hanna Swaid pour qui la position de la population arabe israélienne n'est pas prise en compte puisqu'en cas d'admission du caractère juif de l'Etat d'Israël, les arabes israéliens (vexés) se retrouveraient placés au cœur du conflit sans aucune représentation dans les négociations.
Dans le monde arabe, cette revendication est également rejetée mais pour d'autres raisons. Selon le Président égyptien Hosni Moubarak, cette demande compliquerait les choses et ruinerait toute les possibilités de paix (raisons avancées le14 juin 2009).
Sur le plan interne, cette volonté de rendre opposable à la communauté internationale le caractère juif de l'Etat d'Israël prolonge une mesure qui a été prise quelques semaines auparavant, le 27 mai 2009, lorsque la Knesset a adopté un projet de loi sanctionnant de peines d'emprisonnement toute contestation du caractère juif d'Israël. Cette loi n'est d'ailleurs pas encore entrée en vigueur faute d'avoir été votée à la Knesset, mais les débats avaient alors provoqué les foudres du député arabe Jamal Zahalka, qui avait du être expulsé de la Knesset en raison de la virulence de son intervention.
Concrètement, cette volonté de figer le caractère juif de l'Etat d'Israël et d'exiger cette reconnaissance comme préalable à la création du futur Etat palestinien, permettra de restituer à l'Etat hébreu sa nature originelle.
Il convient en effet de rappeler qu'au-delà des susceptibilités non ménagées par la mesure, le nom même «Israël» exprime la judéité de l'Etat puisqu'il s'agit du nom donné au petit fils d'Abraham (troisième patriarche du judaïsme), Jacob, par l'ange avec lequel il avait combattu : «ton nom ne devra plus être dit Yaakov, mais Israël ; car avec D. comme avec les hommes, tu es devenu le dominateur, puisque tu as triomphé» (Gn 32,29). C'est encore le nom d' «Israël» qui a été donné au peuple juif lorsque les 12 fils de Jacob ont été appelés les «béné Israël», c'est-à-dire les enfants d'Israël. Enfin, «Israël» est également l'appellation donnée au pays de Canaan après les 4 siècles d'esclavage passés en Egypte, une fois encore parce que les 12 tribus d'Israël s'y trouvaient.
En tout état de cause, rétablir sur le plan international la nature juive de l'Etat d'Israël, constituerait un joli clin d'œil de l'histoire. En effet, ce sont les romains qui ont débaptisé le pays en l'an 70 pour effacer tous les liens qu'avaient les juifs avec leur terre. Ceux sont encore les romains qui ont décidé de nommer le pays «Palestine» parce que ce mot était tiré du nom des occupants «les philistins» qui avaient précédemment envahi le pays (le mot «philistin» est lui-même tiré du mot arabe «phlistim» qui signifie «envahisseur»). Aussi, restituer à l'Etat d'Israël sa véritable nature s'inscrirait parfaitement dans la préconisation mentionnée dans les Evangiles (désormais entré dans le langage courant), qui rappelle l'obligation de rendre "à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu". (Matthieu, XXII,21).
S'agissant des populations arabes qui vivent en Israël, le principe d'une telle reconnaissance est contesté même si elle leur serait directement profitable.
En effet, il serait alors adopté de manière définitive les valeurs du judaïsme en Israël sans remise en question possible du cadre institutionnel.
Or, le mode de pensée du judaïsme repose sur la tolérance, le respect de la vie, la prééminence de l'individu et sa perfection dans le cadre du projet Divin. Les populations arabes d'Israël pourront donc continuer de grandir et de s'épanouir tout en conservant leur système de foi et leur parfaite liberté religieuse, c'est-à-dire sans risquer d'être contraintes à la conversion forcée au judaïsme avec une transformation qui s'en suivrait, des mosquées du pays en synagogues.
Pour ce qu'il en est de la liberté d'expression, les citoyens arabes israéliens jouissent déjà des plus grandes prérogatives qu'ils risqueraient naturellement de perdre s'ils n'étaient pas protégés par l'Etat juif. En effet, et à titre de comparaison, il n'existe aucun pays musulman qui offre une telle liberté aux ressortissants nationaux, soit parce que les systèmes politiques en place sont de type dictatorial soit parce que l'apparente démocratie n'est qu'un leurre, à l'instar de l'exemple iranien où les résultats des élections sont tronqués par les titulaires du pouvoir, moins préoccupés par le bien être général que par le contrôle du pouvoir politique.
Notons également que la vie en Israël n'est pas fondamentalement désagréable : en dépit des difficultés économiques conjoncturelles, l'activité reste dynamique à en juger par le nombre de palestiniens qui franchissent quotidiennement la frontière pour venir y travailler. La police israélienne doit d'ailleurs constamment faire preuve de vigilance pour intercepter les travailleurs palestiniens qui entrent en Israël de manière clandestine, non pour faire du mal au israéliens mais simplement pour offrir leurs services.
Enfin, au sein d'un Etat juif, les populations arabes ne sont pas incitées à faire la guerre comme le sont les membres de leur familles qui demeurent à Gaza ou en Judée Samarie.
Ainsi, non seulement il est temps pour les palestiniens comme pour l'ensemble des pays de la planète de reconnaître la judéité de l'Etat d'Israël mais il faut encore, tout comme l'ont fait les pays démocratiques attachés aux droits de l'homme, se doter des outils juridiques pour préserver l'identité spécifique nationale et la rendre opposable à ses ressortissants.
Pour ce faire, il est possible de s'inspirer du système français et notamment de l'article 22 du Code civil français selon lequel les nationaux jouissent des droits mais sont également tenus à toutes les obligations attachées à la qualité de français. Dans ce cadre, l'article 23-7 du Code prévoit qu'un français qui se comporte en fait comme le national d'un pays étranger peut, s'il a la nationalité de ce pays, être déclaré avoir perdu la qualité de français. Ce texte est tout à fait transposable en Israël puisque les arabes israéliens n'ont jamais perdu leur qualité de palestinien. Il est donc possible de leur retirer la citoyenneté israélienne et de les expulser vers le futur Etat palestinien, en cas d'action contraire aux intérêts supérieurs de la nation juive. Notons également que l'article 23-8 du Code civil droit français fait perdre la nationalité française aux français qui, occuperaient un emploi dans une armée ou dans un service public étranger au mépris d'une interdiction de l'Etat français. Une fois encore, cette règle est bien naturellement transposable dans le Droit israélien.
Si donc les israéliens arabes n'entendent pas participer au devenir de l'Etat juif, rien ne les y contraint. Le futur Etat palestinien sera pour eux un parfait refuge.
bravo bernard pour vos 3 exposés !
ce fut avec plaisir
étant un jeune retraité j'ai le temps
chalom