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Israël : infos SociétéDes Netourei Karta passent Shabat à GazaPlusieurs membres de la secte antisioniste ont passé Shabat dans la bande de Gaza avec les ennemis les plus amères d’Israël, le Hamas, en signe de soutien au peuple palestinien.
Yisroel Dovid Weiss, chef des file des Netourei Karta, a déclaré que son groupe était à Gaza pour montrer son amitié et son soutien au peuple palestinien.
La secte refuse l’existence d’Israël, parce qu’ils croient que les juifs doivent vivre en exil, et pas dans leur propre pays, jusqu'à l’arrivée du Mashiah. Une croyance qui leur procure de nombreuses ‘amitiés’ dans la région et dans le monde.
Les Netourei Karta supportent traditionnellement les ennemis d’Israël, plus particulièrement le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, les membres du groupe ayant entre autre participé à Téhéran à une conférence de négation de la Shoah en 2006.
Cette secte est estimée à quelques milliers de membres, et fait fuir toutes les instances du judaïsme, qu’elles soient orthodoxes ou non. Articles connexes
65 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 1 minute
On pourrait même dire que tu fais trainer expres la mise au ko
certes le sionisme n'est pas un mouvement politique soumis au vote!
N'étant pas juif et n'étant pas tombé dedans quand j'étais petit ni depuis que j'ai grandi, je considère le sionisme néanmoins comme un système (rien de péjoratif dans ce mot).
Un système, avant tout, de pensée.
Corrigez-moi si je me trompe. Système en ce sens qu'il prône la mise en oeuvre d'un ensemble d'idées historiques et nationalistes et même religieuses pour doter les juifs d'un foyer national propre à eux!
Jusque là, rien de condamnable au contraire je trouve que c'est humain!
Mais un tel système ou un autre, ne peut aboutir s'il ne dispose pas d'hommes aptes à le mettre en oeuvre de telle manière que les idées en question se mettent en place sans mettre en danger ses bénéficiaires.
Or, vous en convenez avec moi que les homme politiques d'hier ne sont pas ceux d'aujourd'hui.
Ils manquent cruellement de clairvoyance, d'anticipation et d'un mélange de sagesse et de détermination.
C'est là où je voulais en venir dans mon post précédent.
A un moment de l'histoire, il faut explorer d'autres voies pour une solution définitive au conflit.
Comment le faire sans remettre en question l'idéal sioniste?
Vous pourrez me rétorquer que ce n'est pas aux israéliens de changer d'approche pour résoudre le problème!
C'est logique! Mais c'est sans compter avec la démographie galopante des voisins musulmans.
A moins de parier sa kippa contre la démocratisation de ces voisins!
Courriez-vous ce risque?
Quant au plan interne, il pose un vrai problème. Je considère, vous le savez, qu'Israël devrait expulser les populations arabo-musulmanes de Judée et de Samarie, et peut-être même celles de Galilée s'il s'avère - et c'est malheureusement le cas, voyez les discours récents de leurs députés à la Knesset, où ils se font les porte-parole du 'Hamas - qu'elles font passer leur fidélité à l'Umma avant leur loyauté à l'égard de l'Etat dont elles ont la citoyenneté. Pour les Bédouins du Néguev ou pour les Druzes, il ne semble pas qu'il y ait lieu d'envisager une telle issue. Je constate que l'expulsion des Allemands des Sudètes, de Poznanie, de Silmésie, des Carpathes, etc. a été bénéfique. De même que les échanges de populations entre Grèce et Turquie, Inde et Pakistan, etc.
Il s'agirait de rectifier, avec quelque soixante années de retard, deux " oublis " : si l'on veut fonder un Etat qui soit celui du peuple juif, ,il faut s'en donner les moyens et considérer qu'il n'y a pas compatibilité entre le caractère juif de cet Etat et la subsistance d'une minorité dont la croissance démographique risque
L'expulsion des populations arabo-musulmanes de Judée, de Galilée, de Samarie, pourrait - devrait - s'accompagner de vastes programmes de compensations pour les terres et les maisons et de réinstallationj. L'argent de l'Europe et des Nations Unies trouverait là un meilleur emploi que, par exemple, dans ce tonneau des Danaïdes qu'est l'UNRWA ou que dans le financement des fortunes privées des dirigeants de l'OLP ...
Quant à la " solution " présentée, tout récemment, par Sari Nusseibey - une annexion par Israël de territoires comportant de fortes minorités arabes, elle ne déboucherait que sur deux issues, l'une comme l'autre inacceptable : soit à terme un Etat bi-national dans lequel les Juifs se retrouveraient en minorité numérique ; soit un système dans lequel les Arabes ne jouiraient que d'une citoyenneté partiielle, réduite aux droits civiques à l'exclusion des droits politiques ( c'est ce que préconise le Professeur Nusseibey ) , c'est-à-dire une bforme d'apartheid inacceptable moralement et de toute façon condamné à brève échéance.
1)
"certes le sionisme n'est pas un mouvement politique soumis au vote!
N'étant pas juif et n'étant pas tombé dedans quand j'étais petit ni depuis que j'ai grandi, je considère le sionisme néanmoins comme un système (rien de péjoratif dans ce mot).
Un système, avant tout, de pensée.
Corrigez-moi si je me trompe. Système en ce sens qu'il prône la mise en oeuvre d'un ensemble d'idées historiques et nationalistes et même religieuses pour doter les juifs d'un foyer national propre à eux!
Jusque là, rien de condamnable au contraire je trouve que c'est humain!"
2)
"Peut-être que ces netourei-karta marquent tout simplement leur désaccord avec le SYSTÈME sioniste!
(....)
Un système politique gagnant c'est celui qui s'adapte à la réalité et qui anticipe sur les défis futurs auxquels il sera confronté. Sinon il s'engage fatalement par son inflexibilité, son entêtement et son aveuglement dans la voie de sa propres disparition.
C'est le cas du communisme, des dictatures, de l'apartheid et ça sera même le sort du capitalisme s'il persiste dans sa sauvagerie!"