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Israël : infos Société

Quand les juifs orthodoxes découvrent les gays

Des questions scientifiques aux droits des femmes, les dilemmes modernes n'ont pu ébranler l'orthodoxie juive. Mais alors que de jeunes juifs orthodoxes militent pour l'intégration des homosexuels, le mouvement n'a, pour la première fois, pas de réponse logique à opposer aux critiques libérales internes. Si ce plaidoyer pour les droits des gays devait être couronné de succès, on assisterait à l'apparition d'une niche inédite: un groupe orthodoxe sur tous les plans, sauf un. Et les mentalités évoluent, comme l'a prouvé le mois dernier la participation massive à une discussion sur le thème de l'homosexualité organisée à l'université Yeshiva de New York, l'une des principales institutions orthodoxes.

Gays et femmes, même combat

Ce qui se rapproche le plus de cette bataille, c'est la lutte en cours pour l'intégration des femmes au sein de l'orthodoxie. Pourtant, sans minimiser l'importance de la lutte en question, force est de constater qu'il existe un monde entre les souffrances de quelqu'un que la religion empêche de devenir rabbin, et celles de quelqu'un que la religion empêche d'avoir un partenaire.

Sur le plan doctrinal, le besoin de revoir les règles rabbiniques (plutôt que la halakha, la loi juive) pour plus d'égalité entre hommes et femmes a toujours existé. Les principaux obstacles aux droits des femmes sont des préoccupations vagues sur l'organisation de la société. Mais comme du point de vue orthodoxe il n'y a pas de telles lacunes doctrinales au sujet des homosexuels, la bataille pour les accueillir dans la communauté est un jeu à somme nulle: soit le courant orthodoxe inclut les gays et perd fondamentalement son orthodoxie, soit les juifs homos et leurs alliés ne sont plus considérés comme orthodoxes.

Les gays, des orthodoxes comme les autres

Les libéraux qui critiquent la position des conservateurs chrétiens sur l'homosexualité se plaisent à souligner que ces derniers mangent des fruits de mer sans se poser de questions, alors que le Lévitique dit qu'il s'agit d'une «abomination»  (voir le site GodHatesShrimp.com - « Dieu déteste les crevettes »). Mais les juifs orthodoxes obéissent à toutes les lois du Lévitique (même si certains diront qu'une autre «abomination», le non-respect de l'éthique des affaires, n'est de nos jours pas suffisamment condamnée). Là où des courants plus libéraux du judaïsme peuvent réinterpréter les passages de la Bible et du Talmud pour les rendre plus gay-friendly ou ignorer certaines règles rabbiniques, l'orthodoxie ne peut, par définition, accepter ces méthodes. La formulation rabbinique classique, qui veut que les érudits actuels ne soient que des nains sur les épaules de géants, est prise au pied de la lettre par les orthodoxes; ce qui précède les engage souvent totalement.

La seule possibilité pour ceux qui défendent les pleins droits des homosexuels dans la communauté orthodoxe est de faire un pas en dehors de celle-ci - et une autre tendance actuelle laisse penser que cela pourrait arriver.

Des juifs plus orthopraxes qu'orthodoxes

Depuis de nombreuses années, quelque chose de nouveau progresse au sein de l'orthodoxie: l'orthopraxie - le respect des lois qui gouvernent les actes plutôt que les croyances. Tout porte à croire que l'orthopraxie est assez commune parmi les orthodoxes. L'idée derrière l'orthopraxie, c'est que beaucoup d'orthodoxes respectent les rituels inscrits dans la loi par habitude ou pour la communauté, ou parce que leur niveau de croyance détermine leurs propres actions sans les amener à juger les croyances des autres, même s'ils condamnent le laxisme de leurs pratiques. En termes de pratiques, rien dans le respect du shabbat ou dans l'interdiction des cheeseburgers n'est susceptible d'entrer en conflit avec une conscience.

Mais les jeunes orthodoxes montrent qu'ils sont déterminés à faire plier l'orthodoxie en ce qui concerne l'intégration des homosexuels, ou au moins à faire reconnaître les souffrances que doivent supporter les gays dans leur communauté. Il y a trois semaines, 800 étudiants de l'université Yeshiva auraient essayé de s'entasser dans une salle pour entendre des jeunes juifs orthodoxes raconter ce que c'est d'être gay. Il y avait tant de monde que même si beaucoup d'étudiants se sont assis par terre ou sont restés debout, plus de 100 ont dû partir. Après l'intervention du panel, un éminent rabbin de l'université a exprimé son désaccord. Pour lui, «aucun juif ne devrait être identifié comme ayant un penchant» pour le sexe entre hommes et c'est une «tragédie» quand un juif «avoue son homosexualité et s'identifie par rapport à cette toeivah», cette abomination. De nombreux autres rabbins de l'école et d'ailleurs ont signé des pétitions contre ce rassemblement; des étudiants conservateurs ont également fait circuler une lettre de protestation.

Un débat brûlant au sein de la communauté

Tout ceci montre que l'agitation que les dirigeants orthodoxes avaient pu contenir il y a dix ans, quand les gays du courant ont pour la première fois essayé d'être acceptés, est aujourd'hui difficile à maîtriser. Comme nombre de débats doctrinaux de la communauté orthodoxe, c'est à l'université Yeshiva que la plupart des épisodes de cette bataille pour les gays orthodoxes ont eu lieu. En plus d'être l'une des plus importantes des institutions orthodoxes, elle est, plus que les autres, tournée vers la modernité.

Cette université a commencé à faire parler d'elle et d'homosexualité avec ses troisièmes cycles financés par le gouvernement, donc soumis aux lois anti-discrimination. Au milieu des années 1990, forcé d'autoriser les clubs d'étudiants homosexuels, le président de l'université de l'époque, Norman Lamm, a subi les railleries des rabbins conservateurs de tout le pays. Un enregistrement audio dans lequel un rabbin de Cleveland critiquait Lamm pendant une heure est devenu célèbre chez les étudiants conservateurs de Yeshiva; beaucoup d'entre eux s'amusaient à qualifier Lamm de «pédé».

Quelques années plus tard, suite à un jugement, l'école a dû autoriser les couples gays à habiter dans les logements jusqu'alors réservés aux couples mariés. La réponse de l'université Yeshiva a créé un précédent pour les organisations socialement conservatrices cherchant à respecter les lois anti-discrimination : au lieu d'accepter explicitement les couples gays, elle a ouvert ses logements à tous les individus engagés dans une relation à long terme.

Dans ces deux cas, l'homosexualité avait été amenée à Yeshiva par des non-juifs et des non-orthodoxes, dans ses troisièmes cycles non-communautaires; mais il n'a pas fallu attendre longtemps pour que cette question fasse surface au sein même des écoles rabbiniques orthodoxes de l'université, ainsi qu'au sein de ses premiers et deuxièmes cycles.

En 1999, le rabbin Steven Greenberg, diplômé de l'école rabbinique de l'université Yeshuva, fut le premier rabbin orthodoxe à déclarer publiquement son homosexualité. Son coming-out a fait la une du Jerusalem Post. Quand il est venu s'exprimer devant les étudiants de l'université quelques mois plus tard, il n'avait été invité par aucune entité officielle de l'établissement. Sa conférence s'est déroulée dans un appartement en dehors du campus, où j'ai rejoint une vingtaine de jeunes hommes. Gays pour la moitié d'entre eux environ. Parmi eux, trois seulement ont fini par faire leur coming-out - bien après avoir quitté l'université et l'orthodoxie.

Un an plus tard, un étudiant soupçonné d'être homosexuel, qui avait assisté à la conférence de Greenberg, s'est présenté au poste de président du conseil des élèves. Même si ses chances d'être élu étaient très faibles, les deux principaux candidats ont été convoqués le soir avant l'élection dans le bureau du rabbin Yosef Blau, le conseiller spirituel de l'université. Là, ils ont tiré au sort dans son chapeau noir pour savoir qui resterait candidat à la présidence, et qui se contenterait de la vice-présidence, pour s'assurer que les suffrages ne se disperseraient et empêcher le supposé étudiant gay de l'emporter de justesse.

A la même époque, Trembling Before G-d, un documentaire avant-gardiste sur les gays et les lesbiennes de la communauté orthodoxe, étaient diffusé dans les salles de cinéma et dans les synagogues. J'ai interviewé le réalisateur Sandi Dubowski pour le journal de l'université de Yeshiva, mais ça n'a pas fait mouche. Ni le coming-out d'un rabbin, ni la candidature d'un étudiant probablement gay à la présidence du conseil des élèves, ni un documentaire largement diffusé n'avaient réussi à engager un débat sérieux.

La fin d'un tabou ?

Dix ans plus tard, les comportements ont totalement changé. Certes, les réactions suscitées par l'intervention du panel de jeunes homosexuels prouvent que les orthodoxes sont nombreux - et probablement largement majoritaires - à penser que le simple fait de reconnaître publiquement les souffrances des orthodoxes gays est interdit. Mais la participation massive à cette discussion et les quelques déclarations positives de ceux qui n'y étaient pas - sans compter le fait que l'université ait accepté d'accueillir l'événement - montrent qu'un certain nombre d'orthodoxes ne comptent pas se contenter d'ignorer le problème. Exemple intéressant de boucle bouclée : l'étudiant qui avait accueilli la conférence de Greenberg dans son propre appartement en 1999 comptait parmi les membres du panel, et le rabbin Blau, qui avait aidé à anéantir la candidature de l'étudiant probablement gay en 2000, était l'animateur du débat.

Mais les changements survenus ces dix dernières années ne suffiront pas à régler le problème de l'exclusion des homosexuels orthodoxes. Dans l'approche de l'homosexualité qu'autorise l'orthodoxie, il ne s'agit certainement pas de soulager les souffrances des gays orthodoxes en leur permettant une vie à deux. L'objectif est de respecter la loi. Les membres les plus libéraux demandent simplement aux autres d'apprendre à reconnaître que les juifs orthodoxes homosexuels souffrent. Les jeunes juifs orthodoxes se retrouvent finalement face à un dilemme qui défie leur foi d'une manière totalement inédite : est-ce vous croyez suffisamment à la nécessité de respecter le verset 22 du chapitre 18 du Lévitique pour supporter les souffrances de votre ami homosexuel ?

Pour ceux qui répondent «non», la route s'annonce difficile: le rabbin Gil Student, l'un des plus célèbres blogueurs orthodoxes, pense que tout cela pourrait entraîner un schisme. Il a certainement raison. Se contenter d'ignorer l'activisme des homosexuels et d'améliorer temporairement leur position au sein de la communauté orthodoxe n'est pas une solution à long terme. Ce qui est révélateur, c'est que de nombreux juifs orthodoxes gays prêts à évoquer publiquement leur cas sont encore assez jeunes pour avoir beaucoup d'amis célibataires ; dans dix ans, certains auront simplement arrêté de se battre contre l'orthodoxie.

Et pour ces juifs homosexuels et leurs alliés qui quittent le mouvement orthodoxe, il y a une réponse tout prête. A ceux qui ont l'habitude des restrictions de l'orthodoxie, le judaïsme conservateur, qui a trouvé un compromis sur l'homosexualité en 2006, pourrait ouvrir la porte d'un monde d'opportunités inépuisables.

Steven I. Weiss

Traduit de l'anglais par Aurélie Blondel

 

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Image de Une: photo extraite du film «Tu n'aimeras point» des productions Haut et Court

98 commentaires
Bonjour Élie,

Je pense que les parades de gay sont en réaction au rejet. Cette manière de se surexposer est, à mon sens , l'expression d'une blessure narcissique. La Torah ne s'impose pas, elle propose d'ailleurs le Libre-Arbitre : celui qu'on a réellement est de choisir ou non la Torah. Certains décident d'en choisir une partie, d'autres la choississent en entier. Au bout du compte, il faut voir comment la Torah nous amène à mieux vivre et à mieux être et cela est le fait d'expérience personnelle, d'échanges, de partages.

Jean, quoique vous soyez sujet à des "crises" lorsqu'on vous contredit, ma question demeure. Qu'est-ce qui est le plus dommageable ? Le lachon hara ou l'homosexualité ? J'ai remarqué que vous n'aimez pas les questions. C'est votre droit le plus élémentaire et vous n'êtes jamais tenu de répondre. Parfois les questions sont plus utiles que les réponses. Cette question est sur un forum public, elle s'adresse à tous. Elle est aussi offerte aux homosexuels qui auraient lu vos obscénités...histoire de présenter une autre attitude hétérosexuelle à l'égard des êtres humains que sont les homosexuels.

Un adolescent de 13 ans qui étaient très attiré par les hommes a réalisé que s'il souhaitait aimer un homme, c'était pour éviter de se faire "voler son enfant" si un jour il devenait père parce que sa mère lui avait interdit toute relation avec son propre père. Cette prise de conscience n'a pas été sans souffrance et doucement, il s'est ouvert à faire confiance de nouveau à « la mère » qui l’avait maintenu dans une relation fusionnelle. Quand j’ai lu vos injures, j’ai pensé à ce jeune homme et je me suis dit que s’il lisait vos « maux » , il apprécierait certainement de lire autre chose de plus constructif.

Vous pouvez écrire tout ce qu’il vous plaira mais attendez-vous à avoir des réponses à vos messages. Vous êtes sur un forum public !
Envoyé par Hélène - le Mardi 2 Mars 2010 à 12:52
Je suis de nouveau différée. Pourquoi ? Parce que j'ai posé la question suivante ?
Qu'est-ce qui est le plus dommageable ? Le lachon hara ou l'homosexualité ?

Un rabbin pourrait peut-être me répondre ?

Messieurs les modérateurs, mesdames les modératrices ,

Comment se fait-il que Jean et Hilda puissent injurier à qui mieux mieux les internautes et, dans cette discussion , les homosexuels...et que nous ne puissions pas nous opposer à de tels discours ?

Pourquoi suis-je différée ? Dans quel message aie-je manqué de respect à quelqu'un ?

Bonne journée à tous.

Envoyé par Hélène - le Mardi 2 Mars 2010 à 13:02
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Hilda - le Mardi 2 Mars 2010 à 13:04
... respect mutuel et aussi longtemps que fleurira des adjectifs qualificatifs aussi péjoratif les homos auront de bonnes raisons pour faire valoir le droit d'être ce qu'ils ressentent être sans jugement .
Ce jour la ce qui est aujourd'hui public retournera dans la sphère privé !
Envoyé par Sylviane_003 - le Mardi 2 Mars 2010 à 13:57
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Jean_010 - le Mardi 2 Mars 2010 à 14:45
Et encore un mot pour Jean et Hilda... Quelle leçon de décence avez-vous à faire aux homosexuels, vous qui décriviez vos ébats amoureux sur juif.org, il n'y a pas si longtemps...

Quand il s'agit de justice et d'intégrité, de vérité et de respect...je ne vois aucun intérêt à me taire et à laisser braire....surtout sur le dos des minorités qui souffrent beaucoup plus que vous ne pouvez l'imaginer. Le taux de suicide chez les homosexuels est très élevé...saviez-vous que vos mots peuvent être la "goutte" qui fait déborder le vase?

Je ne sais pas si ce message passera, comme celui de ce gamin avec qui j'ai travaillé, et qui découvrait d'où lui venait son désir des hommes. Dans tous les cas, j'espère que les modérateurs feront attention à ce qui sera posté sur ce blog. Les mots ont le pouvoir de guérir mais aussi de blesser profondément les gens.

Avant de traité les homosexuels d' "enfants un peu débiles, anorexiques, enfants demeurés...ayant des désirs tordus, séniles ,maladifs" pensez-y deux fois plutôt qu'une...


En passant, il serait essentiel que vous cessiez de me traité de BIQUE NON JUIVE
Envoyé par Hélène - le Mardi 2 Mars 2010 à 16:19
je lis les commentaires et je ne comprends pas,sylviane si tu etait homo tu n'irai pas dans un restau homo, mais les restau homo sont tenus par des gays, c'estune communauté avec ses valeurs et ses regles, je vais etre tres clair, je considere que tel aviv est une petite ville, tres petite, que le nombre de gays est important, et qu'il est evident qu'en été il y a surnombre de gays, que cela peut etre malsain sur un jeune homme fragile et se cherchant, qu'on disant cela ne veut pas dire que je suis homophobe mais que la permisiviténe ne veut pas dire faire tout ce qu'on veut, que je ne souhaite pas que tel aviv soit une capitale homo, on ne peut pas savoir quand un homme ou une femme arrive de l'etranger si il ou elle est gay, mais ceux qui le sont doivent respectes les habitants de tel aviv ou aller a ibiza ou tout est permis, par ailleurs jerusalem est une ville a vocation religieuse et si on respecte cela, on fait la gay prade ailleurs que devant ou pres du kotel, c'est une insulte pour les gens qui prient, le reste, chacun vit sa sexualité comme il veut, sans emmerder le voisin.
Envoyé par Elie_043 - le Mardi 2 Mars 2010 à 19:42
Elie , normalement j'ai pas voulu donner un commentaire aussi , vu quel tournure prend cet blog aussi et encore !
Sur la homosexualité on a déjà beaucoup discuté et la mon opinion ne a pas changé ! C'est ni une maladie , ni une question de éducation et encore moins choisi .
Ou je suis a 100% d'accord avec toi , Jérusalem est la dernière ville pour faire cet cirque de gay-Pride . Si Tel Aviv a vraiment une si grande communauté homo , alors que ils font ça a la plage par exemple . Et surtout habillé décentrement et sans comportement que peut choquer les enfants . Je ne connais pas encore Tel Aviv , mais en te lisant j'ai le impression que on voit rien de autre que les homos la-bas . Je espère quand même que tu exagères un peu car a forte concentration et surtout quand ça reste pas quelque chose de privé , alors il faut vraiment freiner . Car le respect est pour les deux cotes .
Envoyé par Sonia_004 - le Mardi 2 Mars 2010 à 20:17
l
élie
question valeur la plus importante est le respect mutuel
coté amour affiché de la retenue
et coté discours religieux un travail a faire avec le rapport a l'autre qui ne stigmatise pas les homos ,
je suis OK avec toi la gay prive est une insulte pour les gens qui prient
(c'est même affolant pour nombre d'homos tellement c'est caricatural et bien loin de ce que vive deux hommes ou de femmes amoureux )
mais le lexique pour designer les homos est très souvent inadmissible ,
on est d'accord la sexualité doit être un domaine privé
pour ce qui est de l'amour on a pas le droit de juger ,
avant d'être homo , bi , hetéro il y a un Homme qui est seul responsable de son intimité (toujours entre adultes consentant bien sur)
sans emmerder son voisin si et seulement si le voisin n'emmerde pas son voisin homo en ayant un discours péjoratif et ou insultant pour designer ce qu'il présume être la sexualité de l'autre
Envoyé par Sylviane_003 - le Mardi 2 Mars 2010 à 21:01
Il est impossible que d'.. Permettrait une chose pareil . Car une des plus grandes mitzva du peuple juif est de procréer .si le monde avait une meilleure morale il devrait accentuer les recherches sur l'homosexualité qui devrait être considérer comme une maladie.l'injection de testostérone peut être une des solutions pour ceux qui veulent guérir et faire la religion correctement .
Envoyé par Dan_016 - le Mardi 2 Mars 2010 à 21:03
Membre Juif.org





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