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Netanyahou et Barak honorent les soldats tombés

Netanyahou et Barak honorent les soldats tombés - © Juif.org
Le premier ministre Benyamin Netanyahou et le ministre de la défense Ehoud Barak ont parlé aux cérémonies du jour du souvenir ce lundi, réconfortant et félicitant les familles endeuillées.
 
Le premier ministre Benyamin Netanyahou a parlé lors de la cérémonie commémorative qui se tenait au cimetière militaire du mont Herzl, qui a débuté après le son des sirènes ce lundi matin à 11h. Le président Shimon Peres, le président de la Knesset Reuven Rivlin et la juge Dorit Beinish étaient également présents.
 
Netanyahou a ouvert son discours avec une histoire personnelle sur sa période passée dans l’unité d’élite Sayeret Matkal. Il a décrit deux jeunes soldats qui ont servi avec lui. « Zohar Link était un jeune homme séduisant et charismatique. Il était conseillé dans le mouvement de jeunesse Shomer Hazair, jouait de l’harmonica, aimait la photographie, aimait la nature. Qui sait où il aurait été avec sa personnalité ? David Ben-Hemo était intelligent, beau garçon, excellent athlète, curieux, sensible et modeste. Il a gagné mon cœur au moment où je l’ai rencontré. Je crois qu’il avait un brillant avenir devant lui. »
 
Link et Ben-Hemo ont été blessés alors qu’ils se préparaient pour une opération militaire. « Je les accompagnais dans l’ambulance qui nous amenait à l’hôpital Tel Hashomer, » a dit Netanyahou, « en tenant David de toute mes forces. Il est mort dans mes bras, avant que nous atteignions l’hôpital. Zohar est décédé peu après. Je n’oublierai jamais ces moments, tous les deux auront 19 ans pour toujours. »
 
Netanyahou a poursuivi avec l’histoire de son frère, Yoni Netanyahou, qui a été tué dans la célèbre opération de sauvetage à Entebbe en 1975, opération dont Yoni était le commandant. « Un jour, j’ai vu ma mère Tzila, qu’elle repose en paix, assise sur une chaise dans sa maison, regardant dans le vide, » dit-il. « J’ai demandé à ma mère, ‘maman, à quoi penses-tu ?’ Elle m’a répondu : ‘je pense à Yoni, à Yona’le’, et elle rajouta ensuite : ‘il n’y a que des bons souvenirs’. »
 
« Aujourd’hui, toute la nation se tient aux côtés des mères et des pères, des frères et des sœurs, des fils et des filles, et des épouses en deuil, en deuil de pertes qui sont trop lourdes à porter, » a-t-il déclaré. « Notre devoir est de continuer les routes de nos êtres aimés, et de réaliser leurs rêves. »
 
« Nous sommes une nation qui cherche la paix et qui prie pour la paix. Une main est tournée vers la paix, nous rêvons tous de la paix, et l’autre tient l’épée de David, pour protéger notre nation contre ceux qui nous veulent du mal, » a dit Netanyahou.
 
Netanyahou a terminé son speech en disant : « puisse le souvenir de ceux qui sont tombés, de nos êtres chers et aimés, créer des souvenirs pour nous tous, pour toujours. »
 
Barak a parlé au cimetière militaire de Kiriat Shaoul, au nord de Tel Aviv, lors d’une cérémonie qui a débuté après le son des sirènes.
 
« Nous nous tenons ici, en face de ces longues rangées de tombes, qui sont les témoins tangibles des prix que vous avez payé dans le sang, chères familles, pour que notre nation puisse vivre sur cette terre, » a déclaré Barak. « Il y a quelques instants, la sirène a été entendue sur toute notre terre comme le souffle d’un Shofar, donnant écho au commandement de nos cœurs, de nous souvenirs de ceux qui sont tombés. »
 
Il a continué : « 22 684 qui sont tombés est le prix nécessaire, que nous ne voulions pas, le prix de notre souveraineté en Israël, dans cette génération. Un état n’est pas donné à une nation sur un plateau d’argent, et la paix est seulement donnée à ceux qui sont prêts à la défendre. »
 
« La lutte pour le droit d’être une nation libre sur notre terre, » dit Barak, citant l’hymne national, « provient du choix de vie malgré le prix payé dans le sang pour ce choix. C’est le destin de notre génération, et construire une ‘société modèle’, qui sera digne du sacrifice de ceux qui sont tombés, est la mission de notre génération, et son test. »
 
Barak a terminé en disant : « je suis désolé que je ne puisse tenir dans mes bras chacun d’entre vous personnellement, et exprimer mes sentiments, mais aujourd’hui je me sens proche de vous et je m’identifie à vous, et reconnaît le prix trop élevé que vous avez payé pour la sécurité d’Israël. »
25 commentaires
Oh oui, Daniel ! O combien ! Comme disait à peu près Golda Méir : mieux vaut recevoir un blâme que des condoléances. Am Israël 'haï !
Envoyé par Edmond_002 - le Mercredi 21 Avril 2010 à 16:46
Am Israel Hai! comme disait Viviane, et Viva Israel, ont t'aime Israel!
Envoyé par Julia - le Mercredi 21 Avril 2010 à 18:06
Nesher, je suis de ton avis, il ne faut pas ecouter les sondages en realite son toujours faux.
Envoyé par Julia - le Mercredi 21 Avril 2010 à 18:10
oui Nesher Guilat est.cher a notre coeur ! M.SARKOZY LUI QUI A TAND LIBERE LES PRISIONNIERS
ansiI que sa femme en un tour de main!! nos ennemis l en empechent !.nos soldats et notre armee
sont notre fierte. et chaque.perte est une douleur ::: c est enorme 111 victimes en un an ,,
c est.une goutte d eau chez les muzz ils sont trop nombreux ::// Nesher il faut faire votre allya
d urgence et entrenner une grosse partie avec vous !!!!!
Envoyé par Chabbat - le Jeudi 22 Avril 2010 à 11:00
oui oui !! comme disait Edmond et Daniel :: nous preferons avoir un blame que des condolences::
et l ecrire a chaque lieu publique chalom a vous tous::: Golda est une sage!!
Envoyé par Chabbat - le Jeudi 22 Avril 2010 à 11:13
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 35 minutes